par TITJO » jeu. oct. 10, 2013 11:45 pm
il semble que AL cherche surtout des dépenses non amortissables en regard de leur coût modeste (?!) à l'unité pour obtenir un effet défiscalisant immédiat.
Il convient de distinguer:
- ce qui est du matériel durable pas trop cher (mobilier, appareils...) qui ne peut quand même pas s'exclure du patrimoine du cabinet, même si la valeur ne justifie pas un amortissement.
- ce qui est du consommable (produits de soins et d'entretien, papier Q, cartouches d'encre...) dont il faudrait éventuellement justifier l'usage.
- ce qui est immatériel (congrès bidons avec ou sans accompagnant, forfaits numériques, réceptions...) dont les montants peuvent déclencher des suspicions.
- ce qui défiscalise sur les comptes pro (achat du local, Madelin...) ou perso.
- les non-revenus conseillés par Théné (réduction d'activité , partage...) - très efficace dans la mesure où le montant des charges est très peu affecté par une réduction du C.A.
quoique, AMHA, avoir des gros impôts à payer, c'est un rêve inaccessible pour beaucoup de gens, de plus en plus nombreux, qui ne s'en sortent plus - mais ne dit-on pas que l'authentique souffrance est muette?
Webkissouille
il semble que AL cherche surtout des dépenses non amortissables en regard de leur coût modeste (?!) à l'unité pour obtenir un effet défiscalisant immédiat.
Il convient de distinguer:
- ce qui est du matériel durable pas trop cher (mobilier, appareils...) qui ne peut quand même pas s'exclure du patrimoine du cabinet, même si la valeur ne justifie pas un amortissement.
- ce qui est du consommable (produits de soins et d'entretien, papier Q, cartouches d'encre...) dont il faudrait éventuellement justifier l'usage.
- ce qui est immatériel (congrès bidons avec ou sans accompagnant, forfaits numériques, réceptions...) dont les montants peuvent déclencher des suspicions.
- ce qui défiscalise sur les comptes pro (achat du local, Madelin...) ou perso.
- les non-revenus conseillés par Théné (réduction d'activité , partage...) - très efficace dans la mesure où le montant des charges est très peu affecté par une réduction du C.A.
quoique, AMHA, avoir des gros impôts à payer, c'est un rêve inaccessible pour beaucoup de gens, de plus en plus nombreux, qui ne s'en sortent plus - mais ne dit-on pas que l'authentique souffrance est muette?
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