par TITJO » mer. nov. 20, 2013 12:57 am
Je perçois dans cette rubrique une inquiétude bien légitime et je me permets de contempler d'un peu plus haut.
Demain, peut-être rien qu’en Bretagne, il serait facile de démontrer que les éleveurs de porcs triment pour produire entièrement de A à Z ce qu’ils vendent alors que les pêcheurs se contentent de récolter et de mettre sur le marché des produits que la nature offre gratuitement à leur disposition ; idem pour les apiculteurs… Comment réagiront ces professionnels quand on leur démontrera qu’ils gagnent trop facilement leur vie en se servant dans le patrimoine universel ? Pourquoi ne pas taxer aussi l’EDF qui se sert de l’eau et du vent comme si ça lui appartenait en propre ?
Perso, ce qui me préoccupe, c’est que ces tracasseries fiscales et catégorielles ne sont peut-être que l’arbre qui cache la forêt, un enfumage piloté par les consultants du conseil d’analyse économique qui, dans leurs idéations psychédéliques, sont incapables de se représenter les conséquences en chaine de ce qu’ils improvisent au presque quotidien pour légitimer les forfaitures de Bercy. Ils n’ont qu’une écope manuelle comme seul outil pour tenter de maintenir le vaisseau qui prend l’eau de partout : tondre les citoyens. Le climat social est explosif. La pathétique classe « dirigeante » en place, quelque soit l’obédience qu’elle affiche, n’est plus crédible depuis longtemps. Elle substitue l’agitation à l’action. Le vrai pouvoir lui échappe. Il appartient désormais aux puissances financières apatrides en collusion avec les promoteurs des systèmes numériques infiltrés dans chaque foyer et dans chaque secteur de la société, très au-dessus des frontières et des structures politiques traditionnelles.
Qui dans l’ombre tire les ficelles, manipule les consciences, les populations, les ressacs de l’économie planétaire ?
Qui bouleverse les valeurs, la morale, reconditionne les rapports sociaux, et surtout dispose de données et de moyens inimaginables ?
Je continue à penser que si 2012 n’a été l’année de la fin du monde, les historiens du futur y situeront tout de même, quelque part, la fin d’un monde.
bonne nuit quand même à tous
Je perçois dans cette rubrique une inquiétude bien légitime et je me permets de contempler d'un peu plus haut.
Demain, peut-être rien qu’en Bretagne, il serait facile de démontrer que les éleveurs de porcs triment pour produire entièrement de A à Z ce qu’ils vendent alors que les pêcheurs se contentent de récolter et de mettre sur le marché des produits que la nature offre gratuitement à leur disposition ; idem pour les apiculteurs… Comment réagiront ces professionnels quand on leur démontrera qu’ils gagnent trop facilement leur vie en se servant dans le patrimoine universel ? Pourquoi ne pas taxer aussi l’EDF qui se sert de l’eau et du vent comme si ça lui appartenait en propre ?
Perso, ce qui me préoccupe, c’est que ces tracasseries fiscales et catégorielles ne sont peut-être que l’arbre qui cache la forêt, un enfumage piloté par les consultants du conseil d’analyse économique qui, dans leurs idéations psychédéliques, sont incapables de se représenter les conséquences en chaine de ce qu’ils improvisent au presque quotidien pour légitimer les forfaitures de Bercy. Ils n’ont qu’une écope manuelle comme seul outil pour tenter de maintenir le vaisseau qui prend l’eau de partout : tondre les citoyens. Le climat social est explosif. La pathétique classe « dirigeante » en place, quelque soit l’obédience qu’elle affiche, n’est plus crédible depuis longtemps. Elle substitue l’agitation à l’action. Le vrai pouvoir lui échappe. Il appartient désormais aux puissances financières apatrides en collusion avec les promoteurs des systèmes numériques infiltrés dans chaque foyer et dans chaque secteur de la société, très au-dessus des frontières et des structures politiques traditionnelles.
Qui dans l’ombre tire les ficelles, manipule les consciences, les populations, les ressacs de l’économie planétaire ?
Qui bouleverse les valeurs, la morale, reconditionne les rapports sociaux, et surtout dispose de données et de moyens inimaginables ?
Je continue à penser que si 2012 n’a été l’année de la fin du monde, les historiens du futur y situeront tout de même, quelque part, la fin d’un monde.
bonne nuit quand même à tous