par Laurent Dugué » lun. mars 04, 2002 1:34 pm
Le sentiment de ne pas avoir été complet, voir mal compris dans ma réponse du 01/03/2002 m'amène à un supplément d'information, en m'excusant pour le discours technique rébarbatif qui suit, mais cela est nécessaire à la vue des réactions suscitées. Il peut effectivement sembler à l'oeil inutile de mentionner plusieurs fois une même identification de complémentaire (au passage, la CMU est une complémentaire qui peut sembler à part, mais le montage d'une prise en charge en CMU et identique à celui de toute complémentaire sous contrat avec l'organisme auquel est affilié l'assuré). En mode papier (ou dégradé), l'identification d'une Mutuelle et son mode de calcul peuvent être partagés par plusieurs bénéficiaires car ces informations sont suffisantes. Dans le contexte SESAM-Vitale, VEGA stocke (et doit stocker pour être agréé) à chaque lecture de carte Vitale les informations concernant le contrat de la complémentaire du patient. Vous ne voyez dans la fiche que la partie émergée de l'iceberg, où l'on vous épargne bien des informations indigestes mais nécessaires à la facturation sécurisée qui sont masquées dans la fiche de la mutuelle. Pour ce qui est de déterminer l'utilité de la complémentaire par rapport à une exonération, je dirais pour simplifier au risque d’être simpliste, que l'exonération est liée à un contexte alors que la complémentaire est liée à une situation; il est tout à fait possible dans une même FSE d'avoir pour une prescription bizone une série d'acte avec prise en charge en principal et complémentaire et une autre série en exonération complète. Pour conclure, ou poursuivre, les évolutions de SESAM-Vitale, et donc de VEGA, vont donner la part belle (et complexe) à la gestion des quelques 12000 nouvelles complémentaires avec leurs cortèges de contrats et règles de remboursement souscrites par les patients. Alors, nous essayerons de continuer à vous simplifier la tâche même si notre démarche ne semble pas évidente à tous de prime abord.
Le sentiment de ne pas avoir été complet, voir mal compris dans ma réponse du 01/03/2002 m'amène à un supplément d'information, en m'excusant pour le discours technique rébarbatif qui suit, mais cela est nécessaire à la vue des réactions suscitées. Il peut effectivement sembler à l'oeil inutile de mentionner plusieurs fois une même identification de complémentaire (au passage, la CMU est une complémentaire qui peut sembler à part, mais le montage d'une prise en charge en CMU et identique à celui de toute complémentaire sous contrat avec l'organisme auquel est affilié l'assuré). En mode papier (ou dégradé), l'identification d'une Mutuelle et son mode de calcul peuvent être partagés par plusieurs bénéficiaires car ces informations sont suffisantes. Dans le contexte SESAM-Vitale, VEGA stocke (et doit stocker pour être agréé) à chaque lecture de carte Vitale les informations concernant le contrat de la complémentaire du patient. Vous ne voyez dans la fiche que la partie émergée de l'iceberg, où l'on vous épargne bien des informations indigestes mais nécessaires à la facturation sécurisée qui sont masquées dans la fiche de la mutuelle. Pour ce qui est de déterminer l'utilité de la complémentaire par rapport à une exonération, je dirais pour simplifier au risque d’être simpliste, que l'exonération est liée à un contexte alors que la complémentaire est liée à une situation; il est tout à fait possible dans une même FSE d'avoir pour une prescription bizone une série d'acte avec prise en charge en principal et complémentaire et une autre série en exonération complète. Pour conclure, ou poursuivre, les évolutions de SESAM-Vitale, et donc de VEGA, vont donner la part belle (et complexe) à la gestion des quelques 12000 nouvelles complémentaires avec leurs cortèges de contrats et règles de remboursement souscrites par les patients. Alors, nous essayerons de continuer à vous simplifier la tâche même si notre démarche ne semble pas évidente à tous de prime abord.