par Stéphane Bernabé » lun. nov. 20, 2006 7:04 pm
Je partage assez ce point de vue. La version actuelle du CdC SV 1.40 a très largement simplifié et amélioré la gestion des complémentaires : on devrait donc voir les PS adhérer à ce principe avec plus de facilité. C'est du moins le travail que nous faisons, et le message que nous allons faire passer auprès d'eux. En d'autres termes, notre rôle d'éditeur responsable est de faire un logiciel agréé, mais aussi un logiciel simple d'emploi (ce qui était quasi-impossible avec les premiers CdC 1.40, j'en conviens). En parallèle de ça, notre rôle en tant qu'éditeur militant est d'expliquer à nos clients que s'ils veulent faire du tiers-payant intégral, ils ont tout intérêt à procéder à un éclatement à la source, afin de maîtriser eux-même leurs flux. C'est à ce prix que les complémentaires, mises devant leurs responsabilités techniques, accéléreront leurs développement, dans l'intérêt de leurs adhérents.
Les OCT restent une "roue de secours" bien utile mais qui va devoir développer sa valeur ajoutée pour rester concurrentielle.
Par ailleurs, si nous, éditeur, avons un agrément OCT à passer (ce que nous ferons dans un second temps pour Vega5), les OCT n'ont toujours aucun équivalent probant, ce qui à mes yeux les met de fait dans le même sac que les complémentaires : ça marche quand ça veut...
Je partage assez ce point de vue. La version actuelle du CdC SV 1.40 a très largement simplifié et amélioré la gestion des complémentaires : on devrait donc voir les PS adhérer à ce principe avec plus de facilité. C'est du moins le travail que nous faisons, et le message que nous allons faire passer auprès d'eux. En d'autres termes, notre rôle d'éditeur responsable est de faire un logiciel agréé, mais aussi un logiciel simple d'emploi (ce qui était quasi-impossible avec les premiers CdC 1.40, j'en conviens). En parallèle de ça, notre rôle en tant qu'éditeur militant est d'expliquer à nos clients que s'ils veulent faire du tiers-payant intégral, ils ont tout intérêt à procéder à un éclatement à la source, afin de maîtriser eux-même leurs flux. C'est à ce prix que les complémentaires, mises devant leurs responsabilités techniques, accéléreront leurs développement, dans l'intérêt de leurs adhérents.
Les OCT restent une "roue de secours" bien utile mais qui va devoir développer sa valeur ajoutée pour rester concurrentielle.
Par ailleurs, si nous, éditeur, avons un agrément OCT à passer (ce que nous ferons dans un second temps pour Vega5), les OCT n'ont toujours aucun équivalent probant, ce qui à mes yeux les met de fait dans le même sac que les complémentaires : ça marche quand ça veut...