par Odile N. » ven. juin 15, 2007 12:25 pm
Chaque fois que vous abordez ce sujet, ca m'interpelle.
J'ai été syndiquée dès la première heure de mon installation, pour moi c'était une évidence.
J'ai fait partie du bureau du syndicat une dizaine d'années.
Et un jour, de membre du bureau, je suis passée à non syndiquée, avant que la sclérose me gagne!!
En effet 29 ou 30 ans avec le même président et environ 85% du bureau non renouvellé.
Des réunions consistant à reprendre les nouvelles fournies par tout bon journal professionnel.
Et surtout, au niveau départemental, aucune dynamique pour attirer les jeunes installés, quasiment pas de prospective et une mise au pilori de toute personne se permettant de remettre en question la politique de la Fédé.
Résultat:une syndiquée de moins, celle là même qui avait rabattues plusieurs personnes vers le syndicalisme en insistant sur l'importance d'un syndicat puissant dans toute négociation.
Quant au montant de la cotisation, ce n'était pas, pour moi, un élément décisif.
Et pourtant, seuls au fond de nos cabinets, comment pourrions nous défendre notre profession? Comment critiquer le manque de résultat de ceux qui s'y emploient?
Chaque fois que vous abordez ce sujet, ca m'interpelle.
J'ai été syndiquée dès la première heure de mon installation, pour moi c'était une évidence.
J'ai fait partie du bureau du syndicat une dizaine d'années.
Et un jour, de membre du bureau, je suis passée à non syndiquée, avant que la sclérose me gagne!!
En effet 29 ou 30 ans avec le même président et environ 85% du bureau non renouvellé.
Des réunions consistant à reprendre les nouvelles fournies par tout bon journal professionnel.
Et surtout, au niveau départemental, aucune dynamique pour attirer les jeunes installés, quasiment pas de prospective et une mise au pilori de toute personne se permettant de remettre en question la politique de la Fédé.
Résultat:une syndiquée de moins, celle là même qui avait rabattues plusieurs personnes vers le syndicalisme en insistant sur l'importance d'un syndicat puissant dans toute négociation.
Quant au montant de la cotisation, ce n'était pas, pour moi, un élément décisif.
[b][u]Et pourtant, seuls au fond de nos cabinets, comment pourrions nous défendre notre profession? Comment critiquer le manque de résultat de ceux qui s'y emploient?[/u][/b]