Le problème avec le sport, c'est que certains sont
plus populaires que d'autres.
Le problème avec les médias c'est qu'en matière de sport,
la médiatisation de ce(s) dernier(s) doit aboutir à une "retombée" comme ils disent.
D'ailleurs, cette dernière se doit d'arroser aussi bien la fédération sportive médiatisée que l'enseigne médiatique.
Le problème avec le sport moderne c'est le développement de la culture du
"tout le monde y gagne quelque chose".
Ainsi : Si vous avez des enfants qui pratiquent un sport co. ou individuel, même si l'équipe finit dernière ou que l'enfant se fait éliminer dans les premiers tours d'un tournoi de judo ; tous, ils recevoront soit une coupe soit une petite médaille.
Cette nouvelle perception de
"je gagne qque chose parceque je participe" me dérange beaucoup.
Elle accoutume à la systématisation de la récompense. Et quand il n'y en a pas, ça devient un drame.
=>
Aujourd'hui, nous vivons pleinement ce schéma avec la déroute de l'Equipe de France en foot.
Le sport doit (à mon sens), valoriser d'abord l'individu (le pratiquant). Eventuellement par des preuves matérielles mais, surtout, par la prise de conscience "introspective" qui doit lui donner envie d'être encore meilleur tout en entretenant une satisfaction humble; pas débordante sur les autres mais motivante.
=>
Ecoutez les jeunes talents et (surtout) leurs parents ; ils commencent à réfléchir sur l'éventualité de pratiquer dans une voie PRO...Et le rêve prend naissance...Et la déception ne sera que plus grande...
Perso : Je crois pouvoir dire que j'étais ce que l'on appelle un "sportif de niveau
reconnu".
Quand je regarde mes quelques trophés, ils se comptent sur les doigts d'une seule main. Mais, il n'empêche que cela ne m'as jamais démotivé et ce jusqu'à mes 36 ans...
Aujourd'hui, comment peut-on simplement se positionner par rapport à un (ou plusieurs) sprt(s) que l'on pratique avec plaisir, enthousiasme et (parfois) réussite?
Difficile puisque "j'ai des tas de trophés"...
La réponse "moderne" se mesure en termes d'intérêt médiatique et de sponsoring.
Exemple : Un ami de mon fils réussit moyennement dans les tournois de tennis départementaux...Et bien, il a un tas de raquettede pro qui lui sont distribuées par un sponsor mondialement connu.
Quand je pratiquais mon sport (en NAT 2), mon équipe, ou les joueurs qui la composaient, n'ont jamais été démarchés par des équipementiers.
Mais, tout ceci est normal. La société évolue, les mentalités changent.
Pour finir, et en particulier pour vous, Mesdames qui sont les plus nombreuses à excécrer les soirées de foot; sachez que vos maris (souvent bedonants, houblonnée et "charentaisés"), vous imposent ce spectacle télévisuel car c'est un moyen "cocardier" d'être sportif...
Si un jour il vous propose de l'accompagner dans un stade, permettez moi ce conseil :
Dites NON si c'est du foot. Mais dites OUI si c'est du rugby.
...Je ne sais pas pourquoi mais le monde de l'ovalie compte beaucoup moins de QI de pétoncle que l'univers des pousseurs de citrouilles.
Et l'exemple que vous connaissez :
ON a gagné...
ILS ont perdu...
Le problème avec le sport, c'est que certains sont [b]plus populaires [/b]que d'autres.
Le problème avec les médias c'est qu'en matière de sport, [b]la médiatisation de ce(s) dernier(s) doit aboutir à une "retombée"[/b] comme ils disent.
D'ailleurs, cette dernière se doit d'arroser aussi bien la fédération sportive médiatisée que l'enseigne médiatique.
Le problème avec le sport moderne c'est le développement de la culture du [i]"tout le monde y gagne quelque chose".[/i]
Ainsi : Si vous avez des enfants qui pratiquent un sport co. ou individuel, même si l'équipe finit dernière ou que l'enfant se fait éliminer dans les premiers tours d'un tournoi de judo ; tous, ils recevoront soit une coupe soit une petite médaille. :wink:
Cette nouvelle perception de [i]"je gagne qque chose parceque je participe"[/i] me dérange beaucoup.
Elle accoutume à la systématisation de la récompense. Et quand il n'y en a pas, ça devient un drame.
=> [i]Aujourd'hui, nous vivons pleinement ce schéma avec la déroute de l'Equipe de France en foot.[/i] :wink:
Le sport doit (à mon sens), valoriser d'abord l'individu (le pratiquant). Eventuellement par des preuves matérielles mais, surtout, par la prise de conscience "introspective" qui doit lui donner envie d'être encore meilleur tout en entretenant une satisfaction humble; pas débordante sur les autres mais motivante.
=> [i]Ecoutez les jeunes talents et (surtout) leurs parents ; ils commencent à réfléchir sur l'éventualité de pratiquer dans une voie PRO...Et le rêve prend naissance...Et la déception ne sera que plus grande...[/i]
Perso : Je crois pouvoir dire que j'étais ce que l'on appelle un "sportif de niveau [i]reconnu[/i]".
Quand je regarde mes quelques trophés, ils se comptent sur les doigts d'une seule main. Mais, il n'empêche que cela ne m'as jamais démotivé et ce jusqu'à mes 36 ans...
Aujourd'hui, comment peut-on simplement se positionner par rapport à un (ou plusieurs) sprt(s) que l'on pratique avec plaisir, enthousiasme et (parfois) réussite?
[i]Difficile puisque "j'ai des tas de trophés"...[/i]
La réponse "moderne" se mesure en termes d'intérêt médiatique et de sponsoring.
Exemple : Un ami de mon fils réussit moyennement dans les tournois de tennis départementaux...Et bien, il a un tas de raquettede pro qui lui sont distribuées par un sponsor mondialement connu.
Quand je pratiquais mon sport (en NAT 2), mon équipe, ou les joueurs qui la composaient, n'ont jamais été démarchés par des équipementiers.
Mais, tout ceci est normal. La société évolue, les mentalités changent.
Pour finir, et en particulier pour vous, Mesdames qui sont les plus nombreuses à excécrer les soirées de foot; sachez que vos maris (souvent bedonants, houblonnée et "charentaisés"), vous imposent ce spectacle télévisuel car c'est un moyen "cocardier" d'être sportif...
Si un jour il vous propose de l'accompagner dans un stade, permettez moi ce conseil :
Dites NON si c'est du foot. Mais dites OUI si c'est du rugby.
[i]...Je ne sais pas pourquoi mais le monde de l'ovalie compte beaucoup moins de QI de pétoncle que l'univers des pousseurs de citrouilles.[/i]
Et l'exemple que vous connaissez :
[b]ON[/b] a gagné... [b]ILS[/b] ont perdu...