par Stéphane Bernabé » mer. juil. 23, 2003 5:05 pm
Bonjour,
je n'ai pas retrouvé le sujet que vous évoquez, lancé par Tof et dont Laurent aurait fait une réponse. Pouvez-vous m'en dire plus ? (Date du message, titre)
Pour ce qui est des évolutions de Vega, elles sont bien de deux natures différentes, mais liées. Une (grande) part des évolutions est faite à notre propre initiative, souvent à la suite de suggestions émises par nos clients. Une autre part (la plus lourde il est vrai) est liée aux évolutions réglementaires, et plus spécifiquement à SESAM-Vitale. A ce titre la prochaine 1.40 va bien occuper nos développeurs...
Là où il peut y avoir une difficulté, c'est lorsque les évolutions de SV empiètetent sur notre libre choix de fonctionnement de votre logiciel. Nous n'avons plus autant de liberté de développemtent qu'autrefois, même si nous essayons de contourner la plupart des contraintes imposées, tout en les respectant scrupuleusement.
Pour répondre à vos interrogations : à ce jour on peut considérer que les éditeurs sont peu ou pas consultés au cours de l'élaboration d'un CdC SESAM-Vitale. C'est normal en ce sens qu'il s'agit d'implémentation réglementaires, à large motivation politique. C'est anormal car nous serions les plus à même d'assouplir certaines contraintes, car nous sommes confrontés quotidiennement à la réalité du terrain. Dans un même ordre d'idée, les gens du CNPS (lire notre dossier sur le site
www.epsilog.com) ont une vision toute politique de la chose, et en partie financière (risque de conflit d'intérêt majeur à mon sens), mais ne sont pas plus conseillés par les véritables acteurs en jeu : les éditeurs et les usagers des logiciels en question.
Nous oeuvrons pour notre part (Epsilog) au sein d'un groupement important (le Gipsim,
www.gipsim.com), qui a pour but, entre autres, d'être un partenaire incontournable de concertation et de proposition dans l'évolution des systèmes d'informatique du domaine médico-social. C'est une voie de réel progrès qui a déjà fait sentir ses effets.
Pour ce qui est du "logiciel made in Sécu", la Vieille Dame en question l'envisage depuis pas mal de temps, en raison (en particulier) des carrences et des oppositions de certains éditeurs dna les phases de développement et de déploiement des nouvelles fonctionnalités. Mythe ou réalité, je pense que l'avenir tranchera dans un sens utile et pragmatique, dans l'intérêt de chacun. Pour notre part, une nouvelle fois, nous travaillons sur une telle approche afin de nous y préparer "intellectuellement" : le but est d'accompagner nos clients si une telle décision venait à être prise, et de leur rendre un tel changement aussi invisible que possible. C'est finalement ça notre rôle d'éditeur. Et c'est aussi pour ça que nos clients nous payent un abonnement annuel.
Vaste sujet...
Bonjour,
je n'ai pas retrouvé le sujet que vous évoquez, lancé par Tof et dont Laurent aurait fait une réponse. Pouvez-vous m'en dire plus ? (Date du message, titre)
Pour ce qui est des évolutions de Vega, elles sont bien de deux natures différentes, mais liées. Une (grande) part des évolutions est faite à notre propre initiative, souvent à la suite de suggestions émises par nos clients. Une autre part (la plus lourde il est vrai) est liée aux évolutions réglementaires, et plus spécifiquement à SESAM-Vitale. A ce titre la prochaine 1.40 va bien occuper nos développeurs...
Là où il peut y avoir une difficulté, c'est lorsque les évolutions de SV empiètetent sur notre libre choix de fonctionnement de votre logiciel. Nous n'avons plus autant de liberté de développemtent qu'autrefois, même si nous essayons de contourner la plupart des contraintes imposées, tout en les respectant scrupuleusement.
Pour répondre à vos interrogations : à ce jour on peut considérer que les éditeurs sont peu ou pas consultés au cours de l'élaboration d'un CdC SESAM-Vitale. C'est normal en ce sens qu'il s'agit d'implémentation réglementaires, à large motivation politique. C'est anormal car nous serions les plus à même d'assouplir certaines contraintes, car nous sommes confrontés quotidiennement à la réalité du terrain. Dans un même ordre d'idée, les gens du CNPS (lire notre dossier sur le site www.epsilog.com) ont une vision toute politique de la chose, et en partie financière (risque de conflit d'intérêt majeur à mon sens), mais ne sont pas plus conseillés par les véritables acteurs en jeu : les éditeurs et les usagers des logiciels en question.
Nous oeuvrons pour notre part (Epsilog) au sein d'un groupement important (le Gipsim, www.gipsim.com), qui a pour but, entre autres, d'être un partenaire incontournable de concertation et de proposition dans l'évolution des systèmes d'informatique du domaine médico-social. C'est une voie de réel progrès qui a déjà fait sentir ses effets.
Pour ce qui est du "logiciel made in Sécu", la Vieille Dame en question l'envisage depuis pas mal de temps, en raison (en particulier) des carrences et des oppositions de certains éditeurs dna les phases de développement et de déploiement des nouvelles fonctionnalités. Mythe ou réalité, je pense que l'avenir tranchera dans un sens utile et pragmatique, dans l'intérêt de chacun. Pour notre part, une nouvelle fois, nous travaillons sur une telle approche afin de nous y préparer "intellectuellement" : le but est d'accompagner nos clients si une telle décision venait à être prise, et de leur rendre un tel changement aussi invisible que possible. C'est finalement ça notre rôle d'éditeur. Et c'est aussi pour ça que nos clients nous payent un abonnement annuel.
Vaste sujet...