Merci pour la réponse, ça va bien aider...

1/- Dans quelles conditions exercent-elles dans cette Mdr ? (Bien que plus d'actualité mais, existe-til un contrat de rapprochement entre ces IDE et la Mdr qui coure toujours?)
2/- Conditions déplorables? ...A mon avis, la solution est constat par DDASS (qui est partie prenante pour avaliser cette activité) et aussi toute la filière HSCT pour la partie imobilière (EDF/GDF, etc...)
3/- Le coté juridique sur le plan de la non assistance à personne en danger...
Mais, quelque soit la procédure déclanchée, il faudra ne pas oublier de graduer l'action à savoir :
1/- Par écrit, faire une note de transmission aux exploitants de la Mdr et disant que ça va mal (points probants à l'appui). Garder des doubles à verser au "dossier".
2/- Si aucune suite, recommencer en disant "c'est la dernière fois et maintenant on vous informe que l'on va prévenir dans nn jours:
- l'autorité de tutelle;
- Mr le maire de la commune où cette Mdr est implantée (ça, ils n'aiment pas trop de savoir que sur leur territoire de jurisprudence y a un blem...surtout si on ajoute le Conseil régionnal qui a peutêtre du participer à l'existance et au maintien de cette activité);
- les parents des personnes qui sont dans cette Mdr (il pourront se constituer partie prenante dans l'affaire) dans NN jours"...
C'est, à mon sens, suivant ces voies qu'il ne faut pas avoir peur d'agir dans le cadre déontologique de prestataire de santé publique.

Pour une fois, c'est moi qui vais poser une question au nom d'une de nos clientes.
Celle-ci, infirmière, exerce (entre autres) dans une maison de retraites dans laquelle les conditions de travail sont déplorables : mauvaises relation avec les soignants de la MdR, avec le prescripteur exterieur, conditions sanitaires et de sécurités déplorables, etc.
Notre cliente et son associée n'ont plus qu'un seul patient dans cette MdR, car depuis plusieurs mois elles refusent d'en prendre de nouveaux. Et c'est aussi le cas de la quasi totalité des IDE du secteur.
Notre cliente m'a posé la question suivante : sa consoeur et elle peuvent-elle abandonner le client qui leur reste lors d'un prochain renouvellement de prescription ? Doivent-elles prévenir la MdR de façon formelle. Mais surtout, sont elles responsables de la continuité des soins ? Dans l'affirmative, comme aucune IDE du secteur n'accepte plus aucun patient dans la MdR en question, notre cliente et sa consoeur sont dans une impasse.
Merci de vos réponses, ici ou en BAL privée.