C'est une histoire qui se passe dans un resto de Nîmes, près des arènes.
Un type, en vacances pour une huitaine de jours, entre dans un resto pour déjeuner.
Le garçon lui apporte la carte.
Le type découvre un plat qu'il ne connaît pas : "Couillas dé toro" ...
Il appelle le garçon et lui demande ce qu'est ce plat, inconnu pour lui.
Le garçon lui recommande alors vivement d'essayer cette spécialité régionale, et lui garantit qu'il ne sera pas déçu.
Le type commande le plat et se lèche les doigts, tellement il s'est régalé. Il se promet de revenir les jours suivants, pour déguster ce plat délicieux et très copieux, qui ressemble à deux énormes boules de Vega (version 5.10) mais sans la bande bleue ondulée.
Les jours suivants, comme prévu, le type revient et se régale à chaque déjeuner, jusqu'au septième jour, où le garçon lui apporte, à la place des deux énormes boules habituelles, deux petites billes ridicules (même pas des "calots" ou des "boulards" comme les appellent nos écoliers aujourd'hui.
Il demande alors à voir le maître d'hôtel, prêt à faire un énorme scandale ...
Voici ce que le maître d'hôtel a répondu, face aux protestations de ce client:
"Que voulez-vous, Monsieur, on n'y est pour rien : hier soir, c'est le taureau qui a gagné ..."
Moralité : Ceux qui les ont en or ne risque pas de se les faire croquer ...
C'est une histoire qui se passe dans un resto de Nîmes, près des arènes.
Un type, en vacances pour une huitaine de jours, entre dans un resto pour déjeuner.
Le garçon lui apporte la carte.
Le type découvre un plat qu'il ne connaît pas : "Couillas dé toro" ...
Il appelle le garçon et lui demande ce qu'est ce plat, inconnu pour lui.
Le garçon lui recommande alors vivement d'essayer cette spécialité régionale, et lui garantit qu'il ne sera pas déçu.
Le type commande le plat et se lèche les doigts, tellement il s'est régalé. Il se promet de revenir les jours suivants, pour déguster ce plat délicieux et très copieux, qui ressemble à deux énormes boules de Vega (version 5.10) mais sans la bande bleue ondulée.
Les jours suivants, comme prévu, le type revient et se régale à chaque déjeuner, jusqu'au septième jour, où le garçon lui apporte, à la place des deux énormes boules habituelles, deux petites billes ridicules (même pas des "calots" ou des "boulards" comme les appellent nos écoliers aujourd'hui.
Il demande alors à voir le maître d'hôtel, prêt à faire un énorme scandale ...
Voici ce que le maître d'hôtel a répondu, face aux protestations de ce client:
"Que voulez-vous, Monsieur, on n'y est pour rien : hier soir, c'est le taureau qui a gagné ..."
Moralité : Ceux qui les ont en or ne risque pas de se les faire croquer ... :wink:
