par TITJO » mar. janv. 12, 2010 9:16 am
Bonjour MIMADEL, bonjour Véga,
Sans fausse pudeur, il faut affirmer que la pratique libérale, c'est du business.
Il y a quelques années, au temps des quotas, il est apparu le concept de "SEUIL d' EFFICIENCE" que j'ai interprêté ainsi: "seuil d'activité en-dessous duquel le BNC ne peut plus être qualifié de revenu".
A 50 actes/semaine, soit (compte tenu des congés) un CA très inférieur à 40Keuros/an, reste-t-il un BNC? Cette pratique à minima relève donc ou d'un choix (que je ne m'explique pas) de la part du praticien ou, nous dirons, d'une popularité professionnelle qui le confine dans une fréquentation confidentielle - à moins bien sûr qu'il offre des séances singulières type Mézière...
En proposant de sensibiliser les prescriteurs à ta présence et développer ainsi la fréquentation du cabinet, mais par Ta présence et Ton image professionnelle, ce qui à mon avis est légitime si tu veux vivre de ta pratique, quelque part tu ternis peut-être profondément l'image de celle que tu remplaces: tout dégringolera à son retour, les patients te demanderons où tu vas te réactiver...et si elle te propose une association, n'est-ce pas sur la base d'un C.A. plus consistant grâce à toi que ton apport sera évalué?
Mais la pratique en association, c'est un autre sujet - le premier coup, les partenaires se choisissent, comme dans un mariage, puis quand un des partenaires revend ses parts, il faut 'faire" avec le repreneur ...
Bonjour MIMADEL, bonjour Véga,
Sans fausse pudeur, il faut affirmer que la pratique libérale, c'est du business.
Il y a quelques années, au temps des quotas, il est apparu le concept de "SEUIL d' EFFICIENCE" que j'ai interprêté ainsi: [i]"seuil d'activité en-dessous duquel le BNC ne peut plus être qualifié de revenu"[/i].
A 50 actes/semaine, soit (compte tenu des congés) un CA très inférieur à 40Keuros/an, reste-t-il un BNC? Cette pratique à minima relève donc ou d'un choix (que je ne m'explique pas) de la part du praticien ou, nous dirons, d'une popularité professionnelle qui le confine dans une fréquentation confidentielle - à moins bien sûr qu'il offre des séances singulières type Mézière...
En proposant de sensibiliser les prescriteurs à ta présence et développer ainsi la fréquentation du cabinet, mais par Ta présence et Ton image professionnelle, ce qui à mon avis est légitime si tu veux vivre de ta pratique, quelque part tu ternis peut-être profondément l'image de celle que tu remplaces: tout dégringolera à son retour, les patients te demanderons où tu vas te réactiver...et si elle te propose une association, n'est-ce pas sur la base d'un C.A. plus consistant grâce à toi que ton apport sera évalué?
Mais la pratique en association, c'est un autre sujet - le premier coup, les partenaires se choisissent, comme dans un mariage, puis quand un des partenaires revend ses parts, il faut 'faire" avec le repreneur ...