par Théné Lamour » mar. mars 16, 2010 12:42 pm
Merci Daniel pour cette synthèse qui éclaire ma candide lanterne et balaye de mon esprit l’idée que le processus d’autonomie avait pour visée de jeter aux orties manteau tutélaire du Ministre de la Santé.
Or, de cela il n’en est pas question : Bien au contraire donc.
Si j’ai bien compris tes propos, doit-on envisager, dans cette dynamique, qu’il existera des « kinés-consils » ou des infirmiers-conseils », à l’identique des médecins-conseils, qui seront « des acteurs de la gestion des risques auprès de chaque caisse d’assurance maladie » ?
Personnellement, ce cas de figure serait un signal fort marquant cette autonomie.
De même qu’il serait possible d’envisager que des représentants de ces professions « ordonnées » soient partie prenante dans la composition du conseil de la CNAMTS, en matière d’organisation du système de soins en particulier ?

Merci Daniel pour cette synthèse qui éclaire ma candide lanterne et balaye de mon esprit l’idée que le processus d’autonomie avait pour visée de jeter aux orties manteau tutélaire du Ministre de la Santé. :mrgreen:
Or, de cela il n’en est pas question : Bien au contraire donc.
Si j’ai bien compris tes propos, doit-on envisager, dans cette dynamique, qu’il existera des « kinés-consils » ou des infirmiers-conseils », à l’identique des médecins-conseils, qui seront « des acteurs de la gestion des risques auprès de chaque caisse d’assurance maladie » ?
Personnellement, ce cas de figure serait un signal fort marquant cette autonomie. :wink:
De même qu’il serait possible d’envisager que des représentants de ces professions « ordonnées » soient partie prenante dans la composition du conseil de la CNAMTS, en matière d’organisation du système de soins en particulier ? 8)