par César60 » ven. oct. 15, 2010 10:25 pm
Réponse un peu tardive,...
L'instit, comme n'importe qui, a le droit (en fin je veux dire : que le droit pénal ne le lui interdit pas), de dire que tu es nulle et qu'il vaut mieux aller chez une autre...
Quand le boucher du coin dit à un de mes patients d'aller ailleur, je m'en fiche, car le boulanger de l'autre coin dit à un de ses clients d'aller me voir... C'est l'incertitude de la libéralité, et le mieux c'est de "s'en fiche". Je veux dire : de ne pas faire de fixation la dessus et de le comprendre, car on ne peux pas plaire à tout le monde, que la connerie des rumeurs se véhicule partout, et que, dans le fond, ce n'est pas grave, même, (et surtout), si on est passionné, pourvu qu'on ait des clients et de bons résultats comme preuve de notre valeur intrinsèque.
Ma femme est ortho libérale depuis peu, je suis kiné depuis 43 ans, et s'il m'a fallu du temps pour être aussi relax, je regrette de ne pas l'avoir pas été plus tôt... et si je lui prodigue ces conseils, je l'encourage aussi à se former pour avoir toujours plus de connaissances et de recul sur les gens et leurs réactions... .
On a des enfants de 7 et 12 ans et des instits à tordre, qui ne comprennent pas (entre autres) la différence entre syllabes écrites et orales, mais qui en savent beaucoup sur l'orthophonie !!!
Alors, de temps en temps, on cause avec elles, mais toujours avec politesse, et toujours ça ne sert à rien, car l'année suivante elles refond les mêmes erreurs pédagogiques...
Be cool ! Ici, entre confrères et consoeurs, quand un client s'en va de chez l'un pour aller en voir un autre, souvent on est libéré et content, car ce n'est jamais quelqu'un de facile, et on continue de se faire la bise entre nous.
Donc, laisse l'instit faire son intelligente et refiler tes clients à son ami(e), attend que la mère t'en parle, et à ce moment, seulement, tu pouras (pourrais) défendre ton bout de gras.
Tu pourrais aussi dire à la gamine que son instit est nulle, mais ce serait semer le doute dans un esprit enfantin, et ça, c'est pas bien...
Dire de pareilles choses à un enfant, (que son thérapeute est nul(le), c'est pervers, déstabilisant, destructeur,...,
Et c'est le seul reproche que je pourrais faire à cette instit ; et ce reproche là, je serais capable de le lui faire à la prochaine réunion de parents d'élèves, et devant tous les parents. (Il faut dire que quand je vais à ces réunions, je ne me gène pas... J'ai déjà fait virer un directeur de centre aéré...), Mais aussi, lettre à l'inspection académique, même si ça ne sert à rien la plupart du temps, avec l'espoir qu'elle en aura un retour. (Il faut une lettre musclée, argumentée psychologiquement, montrant la perversité et la "dangerosité" de la chose, si possible avec l'aide d'un psy...)
Mais bon...
Fais parler l'enfant, écoutes la, valides la autant que possible, essaies de ne pas pourrir l'instit tout en essayant de savoir à quel moment et pourquoi elle a dit ça...
Si tu comptes partir prochainement, dis toi que tu as la conscience tranquille, que tu as bien fait ton boulot, et sois contente de ne pas être cette instit... je veux dire, de ne pas avoir des idées toutes faites sur la compétence des autres... ce qui n'est certes pas facile, mais pas facile du tout... "Que celui qui n'a jamais pêché me jette la première pierre" ( à non maman ! pas toi!)
Bises et amitié.
Réponse un peu tardive,...
L'instit, comme n'importe qui, a le droit (en fin je veux dire : que le droit pénal ne le lui interdit pas), de dire que tu es nulle et qu'il vaut mieux aller chez une autre...
Quand le boucher du coin dit à un de mes patients d'aller ailleur, je m'en fiche, car le boulanger de l'autre coin dit à un de ses clients d'aller me voir... C'est l'incertitude de la libéralité, et le mieux c'est de "s'en fiche". Je veux dire : de ne pas faire de fixation la dessus et de le comprendre, car on ne peux pas plaire à tout le monde, que la connerie des rumeurs se véhicule partout, et que, dans le fond, ce n'est pas grave, même, (et surtout), si on est passionné, pourvu qu'on ait des clients et de bons résultats comme preuve de notre valeur intrinsèque.
Ma femme est ortho libérale depuis peu, je suis kiné depuis 43 ans, et s'il m'a fallu du temps pour être aussi relax, je regrette de ne pas l'avoir pas été plus tôt... et si je lui prodigue ces conseils, je l'encourage aussi à se former pour avoir toujours plus de connaissances et de recul sur les gens et leurs réactions... .
On a des enfants de 7 et 12 ans et des instits à tordre, qui ne comprennent pas (entre autres) la différence entre syllabes écrites et orales, mais qui en savent beaucoup sur l'orthophonie !!!
Alors, de temps en temps, on cause avec elles, mais toujours avec politesse, et toujours ça ne sert à rien, car l'année suivante elles refond les mêmes erreurs pédagogiques...
Be cool ! Ici, entre confrères et consoeurs, quand un client s'en va de chez l'un pour aller en voir un autre, souvent on est libéré et content, car ce n'est jamais quelqu'un de facile, et on continue de se faire la bise entre nous.
Donc, laisse l'instit faire son intelligente et refiler tes clients à son ami(e), attend que la mère t'en parle, et à ce moment, seulement, tu pouras (pourrais) défendre ton bout de gras.
Tu pourrais aussi dire à la gamine que son instit est nulle, mais ce serait semer le doute dans un esprit enfantin, et ça, c'est pas bien...
Dire de pareilles choses à un enfant, (que son thérapeute est nul(le), c'est pervers, déstabilisant, destructeur,...,
Et c'est le seul reproche que je pourrais faire à cette instit ; et ce reproche là, je serais capable de le lui faire à la prochaine réunion de parents d'élèves, et devant tous les parents. (Il faut dire que quand je vais à ces réunions, je ne me gène pas... J'ai déjà fait virer un directeur de centre aéré...), Mais aussi, lettre à l'inspection académique, même si ça ne sert à rien la plupart du temps, avec l'espoir qu'elle en aura un retour. (Il faut une lettre musclée, argumentée psychologiquement, montrant la perversité et la "dangerosité" de la chose, si possible avec l'aide d'un psy...)
Mais bon...
Fais parler l'enfant, écoutes la, valides la autant que possible, essaies de ne pas pourrir l'instit tout en essayant de savoir à quel moment et pourquoi elle a dit ça...
Si tu comptes partir prochainement, dis toi que tu as la conscience tranquille, que tu as bien fait ton boulot, et sois contente de ne pas être cette instit... je veux dire, de ne pas avoir des idées toutes faites sur la compétence des autres... ce qui n'est certes pas facile, mais pas facile du tout... "Que celui qui n'a jamais pêché me jette la première pierre" ( à non maman ! pas toi!)
Bises et amitié.