par JMD » mer. mars 09, 2011 10:56 pm
Quelques réflexions en passant.
Ce pavillon a certainement été acheté à usage d'habitation.
A moins que les règles n'aient changé récemment, en affectant une certaine surface à usage professionnel il y a un changement de destination.
Il ne serait pas inutile de consulter les services fiscaux à ce sujet avec une réponse écrite de leur part sur la faisabilité de votre projet et ses conséquences fiscales. (1)
J'ai très longtemps été contre cette pratique d'habiter sur le même lieu que mon exercice pour toutes les raisons déjà exposées ici et celles qui le seront.
Depuis 4 ou 5 ans j'ai fini par y succomber et depuis je loue une villa qui habrite le cabinet et mon logement.
J'y ai trouvé un confort au quotidien évident. 3 minutes pour me rendre au bureau et consulter l'agenda. Jamais d'embouteillages sauf ceux que rendontrent les patients, la pause café sur la terrasse le regard distrait par les colibris, etc., etc. etc.. ..
J'en passe et des meilleures, dont l'intérêt financier évident.
A ce propos, la création d'une SCI est-elle toujours d'actualité ? (2)
Pour ce qui est du respect des patients de la vie privée, je crois et j'affirme péremptoirement que :
- il n'y pas de configuration de lieux qui ne permette pas de faire côtoyer les deux modes de façon indépendante et satisfaisante, quitte à envisager les travaux nécessaires qui seront comptabilisés au compte du cabinet. (3)
- à vous de savoir imposer le plus courtoisement mais ferment possible vos règles de fonctionnement. Entrée pro bien séparée, entrée privée quasi inaccessible ou très nettement séparée, affichage clair, précis et sans malentendu possible des horaires de réception tout en précisant sans équivoque aucune que toute exigence particulière tant d'horaire que de lieux sera affectée d'un supplément de facturation dit D.E. tel que prévu à la nomenclature. (4)
Enfin en matière de soins en kinésithérapie il n'existe pas d'urgence qui ne puisse se traiter le lendemain. En 30 ans d'exercice je les compte sur les doigts d'une main et ceux que j'ai perdus sont encore moins nombreux.
Voilà quelques réflexions. Votre situation est certainement différente de la mienne et cela mérite d'y penser sérieusement.
(1), (2), (3), (4) sous réserves de vérifications par nos spécialiste préférés.
Quelques réflexions en passant.
Ce pavillon a certainement été acheté à usage d'habitation.
A moins que les règles n'aient changé récemment, en affectant une certaine surface à usage professionnel il y a un changement de destination.
Il ne serait pas inutile de consulter les services fiscaux à ce sujet avec une réponse écrite de leur part sur la faisabilité de votre projet et ses conséquences fiscales. (1)
J'ai très longtemps été contre cette pratique d'habiter sur le même lieu que mon exercice pour toutes les raisons déjà exposées ici et celles qui le seront.
Depuis 4 ou 5 ans j'ai fini par y succomber et depuis je loue une villa qui habrite le cabinet et mon logement.
J'y ai trouvé un confort au quotidien évident. 3 minutes pour me rendre au bureau et consulter l'agenda. Jamais d'embouteillages sauf ceux que rendontrent les patients, la pause café sur la terrasse le regard distrait par les colibris, etc., etc. etc.. ..
J'en passe et des meilleures, dont l'intérêt financier évident.
A ce propos, la création d'une SCI est-elle toujours d'actualité ? (2)
Pour ce qui est du respect des patients de la vie privée, je crois et j'affirme péremptoirement que :
- il n'y pas de configuration de lieux qui ne permette pas de faire côtoyer les deux modes de façon indépendante et satisfaisante, quitte à envisager les travaux nécessaires qui seront comptabilisés au compte du cabinet. (3)
- à vous de savoir imposer le plus courtoisement mais ferment possible vos règles de fonctionnement. Entrée pro bien séparée, entrée privée quasi inaccessible ou très nettement séparée, affichage clair, précis et sans malentendu possible des horaires de réception tout en précisant sans équivoque aucune que toute exigence particulière tant d'horaire que de lieux sera affectée d'un supplément de facturation dit D.E. tel que prévu à la nomenclature. (4)
Enfin en matière de soins en kinésithérapie il n'existe pas d'urgence qui ne puisse se traiter le lendemain. En 30 ans d'exercice je les compte sur les doigts d'une main et ceux que j'ai perdus sont encore moins nombreux.
Voilà quelques réflexions. Votre situation est certainement différente de la mienne et cela mérite d'y penser sérieusement.
(1), (2), (3), (4) sous réserves de vérifications par nos spécialiste préférés.