Absolument pas Migal.
Ici, nous n'avons vu qu'une maternité se fermer, puis la chirurgie, et des urgences qui survivent.
Travail de sape de l'état, des ARH puis des ARS, relayés par des directeurs d'hôpitaux plus gestionnaires qu'humains.
Avec des réorganisations des services qui laissent le personnel dans l'expectative et l'inquiétude.
La compétence, le dévouement et le courage du personnel n'y résistent pas, le travail est dévalorisé, l'hôpital moins considéré. Le patient étant le premier à en ressentir les effets sans forcément analyser et remonter à la source.
Les services "rentables" ferment dans le public et sont repris par les cliniques qui se frottent les mains
Pas étonnant qu'elles se cassent les infirmières.
Fais une petite recherche sur l'hôpital Tenon ou sur le service de radiothérapie de Guéret. Tu peux aussi aller du côté d'Ambert, Carhaix ... la France est vaste.
Vive le libéral, nous n'avons pas ces soucis.

Absolument pas Migal.
Ici, nous n'avons vu qu'une maternité se fermer, puis la chirurgie, et des urgences qui survivent.
Travail de sape de l'état, des ARH puis des ARS, relayés par des directeurs d'hôpitaux plus gestionnaires qu'humains.
Avec des réorganisations des services qui laissent le personnel dans l'expectative et l'inquiétude.
La compétence, le dévouement et le courage du personnel n'y résistent pas, le travail est dévalorisé, l'hôpital moins considéré. Le patient étant le premier à en ressentir les effets sans forcément analyser et remonter à la source.
Les services "rentables" ferment dans le public et sont repris par les cliniques qui se frottent les mains
Pas étonnant qu'elles se cassent les infirmières.
Fais une petite recherche sur l'hôpital Tenon ou sur le service de radiothérapie de Guéret. Tu peux aussi aller du côté d'Ambert, Carhaix ... la France est vaste.
Vive le libéral, nous n'avons pas ces soucis. :wink: