par Renouf » lun. déc. 10, 2001 5:28 am
Bonjour,
actuellement en train de tester Véga4 en vue de mon informatisation professionnelle prochaine, je me permet de répondre à votre message pour prendre la défense de la nouvelle interface graphique: le bleu me semblant infiniment plus reposant pour la vue que les couleurs des versions antérieures qui me faisaient fuir...
Une concession, toutefois, j'apprecierais que le changement de couleur d'un icone selectionné soit plus "flagrant": la surbrillance me semble effectivement un peu limite, pour esthétique qu'elle soit, elle n'attire sans doute pas assez le regard.
Quant à l'usage de la barre d'espace, depuis que j'ai découvert cette fonctionnalité, je trouve "super pratique" de pouvoir l'utiliser en association avec les flèches de déplacement pour valider/invalider: il est vrai que pour sortir de l'écran de veille j'ai depuis longtemps l'habitude de faire bouger ma souris par une poussée loin des zones de "clic" éliminant par la même le risque que vous évoquez.
Meilleures salutations.
Jacques RENOUF
Bonjour,
actuellement en train de tester Véga4 en vue de mon informatisation professionnelle prochaine, je me permet de répondre à votre message pour prendre la défense de la nouvelle interface graphique: le bleu me semblant infiniment plus reposant pour la vue que les couleurs des versions antérieures qui me faisaient fuir...
Une concession, toutefois, j'apprecierais que le changement de couleur d'un icone selectionné soit plus "flagrant": la surbrillance me semble effectivement un peu limite, pour esthétique qu'elle soit, elle n'attire sans doute pas assez le regard.
Quant à l'usage de la barre d'espace, depuis que j'ai découvert cette fonctionnalité, je trouve "super pratique" de pouvoir l'utiliser en association avec les flèches de déplacement pour valider/invalider: il est vrai que pour sortir de l'écran de veille j'ai depuis longtemps l'habitude de faire bouger ma souris par une poussée loin des zones de "clic" éliminant par la même le risque que vous évoquez.
Meilleures salutations.
Jacques RENOUF