par Stéphane Bernabé » ven. janv. 04, 2002 7:33 am
Ce qu'il faut comprendre, c'est que les comptes tenus sur les cahiers proposés par ne AGA doivent être tenus "sans rature ni surcharge". Donc, en cas d'erreur, on fait une autre écriture qui corrige ou annule la première.
Pour un logiciel, l'approche théorique est la même : en cas d'erreur, on devrait faire une écriture en sens inverse. Comme nous ne sommes pas dans le cadre d'une tenue de comptabilité commerciale (très réglementée), on peut considérer que les comptes tenus par Vega sont une sorte de "brouillard", sur lequel il est possible de faire ce qu'on veur comme modif.
L'AGA ne peut pas savoir si vous avez modifié ou supprimé des écritures, puisque ce qu'imprime le logiciel est un document propre, sans ratures ni surcharges...
Ce qu'il faut comprendre, c'est que les comptes tenus sur les cahiers proposés par ne AGA doivent être tenus "sans rature ni surcharge". Donc, en cas d'erreur, on fait une autre écriture qui corrige ou annule la première.
Pour un logiciel, l'approche théorique est la même : en cas d'erreur, on devrait faire une écriture en sens inverse. Comme nous ne sommes pas dans le cadre d'une tenue de comptabilité commerciale (très réglementée), on peut considérer que les comptes tenus par Vega sont une sorte de "brouillard", sur lequel il est possible de faire ce qu'on veur comme modif.
L'AGA ne peut pas savoir si vous avez modifié ou supprimé des écritures, puisque ce qu'imprime le logiciel est un document propre, sans ratures ni surcharges...