En fait, les demandes d'envoi de bordereaux plus ou moins détaillés et nombreux varient d'une CPAM à l'autre.
Il y a en gros deux "camps".
Les CPAM qui ont bien compris l'utilité du système. Des télétransmissions faites par des logiciels agréés sont sources de meilleurs traitements (moins de risques d'erreur de calculs, de saisie, de paiement, etc.)
Donc, ces CPAM considèrent qu'une télétrans suffit à débloquer le paiement du dossier. Même si réglementairement il faudrait une trace papier (Feuille de soins) et un bordereau d'accompagnement (pour ne pas payer 2 fois). On a donc là des situations et des départements que je qualifie d’intelligents et de pragmatiques.
A l'opposé il y a des CPAM pour lesquelles le circuit SESAM-Vitale a mis en évidence l'inutilité flagrante d'un grand nombre d'agents administratifs. Ici, ce n'est pas l'intérêt économoque du système qui prime, c'est la garantie d'un emploi tranquille à vie. Donc, sous couvert d'aspects réglementaires qui n'ont rien à voir (responsabilité du Trésorier payer, par exemple), ces CPAM imposent encore de nos jours à la plupart des professionnels un monceau de papier ahurissant.
Tous ces gens se réunissent une fois par an au Mans pour échanger sur leurs façons de faire, et les avantages de chaque situation.
Avec les années, à l'échelle nationale, nous avons constaté une réelle baisse des exigences en matière d'impression de bordereaux ou même de fréquence d'envoi.
Mais il reste des progrès à faire.
Au passage, pour les patients d'IDE qui égarent la CV, n'oubliez-pas qu'ils l'ont TOUJOURS avec eux quand ils vont à la pharmacie.
En fait, les demandes d'envoi de bordereaux plus ou moins détaillés et nombreux varient d'une CPAM à l'autre.
Il y a en gros deux "camps".
Les CPAM qui ont bien compris l'utilité du système. Des télétransmissions faites par des logiciels agréés sont sources de meilleurs traitements (moins de risques d'erreur de calculs, de saisie, de paiement, etc.)
Donc, ces CPAM considèrent qu'une télétrans suffit à débloquer le paiement du dossier. Même si réglementairement il faudrait une trace papier (Feuille de soins) et un bordereau d'accompagnement (pour ne pas payer 2 fois). On a donc là des situations et des départements que je qualifie d’intelligents et de pragmatiques.
A l'opposé il y a des CPAM pour lesquelles le circuit SESAM-Vitale a mis en évidence l'inutilité flagrante d'un grand nombre d'agents administratifs. Ici, ce n'est pas l'intérêt économoque du système qui prime, c'est la garantie d'un emploi tranquille à vie. Donc, sous couvert d'aspects réglementaires qui n'ont rien à voir (responsabilité du Trésorier payer, par exemple), ces CPAM imposent encore de nos jours à la plupart des professionnels un monceau de papier ahurissant.
Tous ces gens se réunissent une fois par an au Mans pour échanger sur leurs façons de faire, et les avantages de chaque situation.
Avec les années, à l'échelle nationale, nous avons constaté une réelle baisse des exigences en matière d'impression de bordereaux ou même de fréquence d'envoi.
Mais il reste des progrès à faire.
Au passage, pour les patients d'IDE qui égarent la CV, n'oubliez-pas qu'ils l'ont TOUJOURS avec eux quand ils vont à la pharmacie. :roll: