Merci beaucoup pour ta réponse ultra rapide. J'ai posé la même question il y a un mois sur le site internet d'un syndicat et je suis toujours sans réponse de sa part.

La NGAP, d'interprétation stricte, dispose:« Pour les actes du chapitre II, la kinébalnéothérapie donne lieu à supplément :
« - en bassin (dimensions minimales : 2 m x 1,80 m x 0,60 m) : 1,2 ;
« - en piscine (dimensions minimales : 2 m x 3 m x 1,10 m) : 2,2. »
La balnéo est donc une technique ouvrant droit à supplément, pas un acte.
Dès lors et même en cas de prescription qualitative s'imposant au MK, si nous ne pouvons pas faire moins, rien n'interdit de faire plus.
Le problème est de justifier, par le BDK et sa fiche de synthèse, l'utilité de la balnéo.
Le mieux est de contacter le contrôle médical, après le BDK et avant l'envoi de la DEP (qui devra comporter la demande de supplément balnéo).
Le plus simple est encore de solliciter le généreux prescripteur pour qu'il complète sa prescription.
Attention de ne pas "ajouter" quoique ce soit sur la prescription = faux et usage de faux + exercice illégal de la médecine et le tribunal correctionnel au bout (on ne rit pas : deux confrères y ont droit en ce moment...).
Vu l'amabilité et la générosité du contrôle médical, attendez-vous à nourrir le contentieux...

Bonjour à tous.
Quelqu'un pourrait-il me dire s'il est possible, lors de l'établissement d'une DEP et d'un BDK, de demander une cotation bassin alors que l'indication bassin n'est pas prescrite par le médecin ?
Merci.