Sauf erreur, une aux de vie peut donner le traitement oral tant que cela ressort de l'aide aux actes de la vie courante (ce qui devrait etre précisé sur l'ordonance), mais la préparation reste du ressort des professionnels médecins, pharmaciens ou IDE.
Une petite lettre rappelant les risques encourus en cas d'erreur devrait remettre les choses en place : exercice illégal de la profession de.........(indiquer votre profession préférée), voir coups et blessures par imprudence en cas d'erreur.
Mais, je me pose la question : comment on facture la préparation et/ou la distribution (sauf erreur, pas à notre nomenclature) ?

chers collègues, rebonjour
Une auxiliaire de vie nous affirme qu'elle a eu un certificat du médecin d'un de nos patient l'autorisant a gérer la gestion des médicaments. ce qui , sans aucune compétence de pharmacopé peut avoir des conséquences catastrophiques.
Etes vous, ou avez vous etez confrontés a ce genre de problème ? Si oui, qu'elle a été vos réactions et vos actions.
merci de vos réponses