par TITJO » sam. nov. 21, 2009 9:06 am
Bonjour Véga,
Pas de réponse type à ce genre de question très importante.
Je dirais pour ma part que si le praticien ne cotise que pour lui-même jusqu'à 65 ans, que son conjoint cotise aussi pour lui-même de son côté, la rente carpimko actuelle est acceptable.
Tout est à reconsidérer pour un conjoint ne se constituant pas de retraite (épouse non active) et aussi si le praticien envisage de cesser son activité avant 65 ans. En fonction de l'âge auquel on se pose la question, les solutions sont variées. Car il ne faut pas non plus se rétrillonner à tout prix pendant la période active au prétexte que pour les vieux jours il n'aura soi-disant plus que des clopinettes.
En premier lieu:
- suis-je propriétaire de mon logement?
- suis-je propriétaire de mon local d'activité que le pourrai louer par la suite?
- suis-je propriétaire de parts négociables dans mon activité?
- Pourquoi ne pas épargner sur des valeurs qui, non soumises à la réversion, profiteront pleinement au survivant du ménage (foncier, SCPI, assurance-vie...) ou ouvrir un PERP (défiscalisant) pour mon épouse?
- pour regarder les réalités en face et sans hypocrisie: des successions/héritages ne vont-ils pas un jour optimiser mon patrimoine?
- de quels moyens financiers je veux disposer après mon activité?
- Et bien d'autres questions à se poser pour définir et quantifier le besoin de se constituer un complément de retraite, puis de l'intégrer dans un cadre comptable/fiscal - pourquoi pas Madelin*? A partir de là il faut trouver l'organisme sérieux, fiable, efficace - comparer les offres - faire écrire et signer par l'interlocuteur tout ce qu'il annonce.
*attention: en Madelin, contrairement à ce quécrit LIBERAL, la restitution du capital est impossible (sauf en cas de décès du cotisant durant sa période active) - et les droits de retraites sont calculés, entre autres, à partir du capital constitué au moment de l'arrêt de l'activité ---> si les fonds placés sont adossés à des valeurs fluctuantes comme la bourse, un plan Madelin qui se réalise pendant une chute des valeurs sera définitivement pénalisé du fait d'un capital de référence réduit.
Bonjour Véga,
Pas de réponse type à ce genre de question très importante.
Je dirais pour ma part que si le praticien ne cotise que pour lui-même jusqu'à 65 ans, que son conjoint cotise aussi pour lui-même de son côté, la rente carpimko actuelle est acceptable.
Tout est à reconsidérer pour un conjoint ne se constituant pas de retraite (épouse non active) et aussi si le praticien envisage de cesser son activité avant 65 ans. En fonction de l'âge auquel on se pose la question, les solutions sont variées. Car il ne faut pas non plus se rétrillonner à tout prix pendant la période active au prétexte que pour les vieux jours il n'aura soi-disant plus que des clopinettes.
En premier lieu:
- suis-je propriétaire de mon logement?
- suis-je propriétaire de mon local d'activité que le pourrai louer par la suite?
- suis-je propriétaire de parts négociables dans mon activité?
- Pourquoi ne pas épargner sur des valeurs qui, non soumises à la réversion, profiteront pleinement au survivant du ménage (foncier, SCPI, assurance-vie...) ou ouvrir un PERP (défiscalisant) pour mon épouse?
- pour regarder les réalités en face et sans hypocrisie: des successions/héritages ne vont-ils pas un jour optimiser mon patrimoine?
- de quels moyens financiers je veux disposer après mon activité?
- Et bien d'autres questions à se poser pour [b]définir et quantifier le besoin[/b] de se constituer un complément de retraite, puis de l'intégrer dans un cadre comptable/fiscal - pourquoi pas Madelin*? A partir de là il faut trouver l'organisme sérieux, fiable, efficace - comparer les offres - faire écrire et signer par l'interlocuteur tout ce qu'il annonce.
*attention: en Madelin, contrairement à ce quécrit LIBERAL, la restitution du capital est impossible (sauf en cas de décès du cotisant durant sa période active) - et les droits de retraites sont calculés, entre autres, à partir du capital constitué au moment de l'arrêt de l'activité ---> si les fonds placés sont adossés à des valeurs fluctuantes comme la bourse, un plan Madelin qui se réalise pendant une chute des valeurs sera définitivement pénalisé du fait d'un capital de référence réduit.