salon de massage
- marie laure
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non tu as dis les ide ça sert à rien...et c'est toi qui commence à descendre les collègues.. personne n'a encore écrit que les mk ne servaient à rien... pour ce qui est du travail, il y a longtemps chez nous que les aide soignantes font les toilettes et les auxillaires de vie aussi (toilette très simple).. et je sais très bien faire les différences dans les comparaisons.. nous il y a longtemps que nous avons laché du lest..j'ironise!! .et on est encore très très utiles..
tigger lily chubb
- alain branchard
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Désolé d'en arriver là mais force est de constater que cette discussion n'amènera en rien à ce que tout le monde recherche : l'union des auxiliaires médicaux quels qu'ils soient. Arretons ces querelles sempiternelles et pueriles. Il est tout naturel que chacun défende sa profession et respecte celle des autres, non ??
- marie laure
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- bernard delalande
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- michel67
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a partir du moment ou l' on ne croit plus a ce que l'on fait ,il vaut mieux changer de boulot....depuis 30 ans que je sevis comme kine ,je ne me suis jamais poser la question , je crois a ce que je fais et lorsque des sceances ne s'imposent plus par manque de resultat , ou d'efficacite, je n'hesite pas a le dire et a me retirer....
- bernard delalande
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C'est tout à votre honneur, mais je ne suis pas convaincu que cela soit une vérité universelle.je crois a ce que je fais et lorsque des sceances ne s'imposent plus par manque de resultat , ou d'efficacite, je n'hesite pas a le dire et a me retirer....
De plus, avec nos bilans, si le patient ne nécessite que 8 voire 6 séances, le bilan devient gratuit.
Je suis généreux, certes mais peut-être pas encore totalement débile. Les textes nous engagent à un minimum de séances pour benéficier du paiement du bilan...
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- bernard delalande
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Pas d'indu: c'est le nombre de séances prescrites (par la médecin ou le MK suite à son BDK) qui détermine la possibilité de facturation.
Une prescription de 10 séances ou plus entraîne la facturation d'un BDK. La patient peut se faire tuer en sortant du cabinet: la scéance et le BDK demeurent facturables...
Et, sauf cas de tiers-payant, la Cour de cassation s'oppose à ce qu'un indu puisse être demandé pour une somme qui ne nous a pas été versée...
Une prescription de 10 séances ou plus entraîne la facturation d'un BDK. La patient peut se faire tuer en sortant du cabinet: la scéance et le BDK demeurent facturables...
Et, sauf cas de tiers-payant, la Cour de cassation s'oppose à ce qu'un indu puisse être demandé pour une somme qui ne nous a pas été versée...
La force de la conviction est exclusive de la violence du propos.
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Re: salon de massage
Bonjour à tous,
La question de la légalité des salons de massage pour détente et bien-être en dehors du cadre médical est une problématique récurrente dans le domaine de la santé et du bien-être. Selon la législation française, le terme "massage" est effectivement réservé aux masseurs-kinésithérapeutes diplômés (MKDE), qui sont des professionnels de santé qualifiés. Cependant, il existe une distinction claire entre les massages à visée thérapeutique, qui relèvent de la compétence des MKDE, et les massages de bien-être, qui ne prétendent pas à une finalité médicale et peuvent donc être pratiqués par des non-professionnels de santé.
L'installation de salons proposant des massages de détente et bien-être est donc légale tant que ces derniers ne sont pas présentés ou perçus comme des actes médicaux ou paramédicaux. Ces établissements répondent à une demande croissante de soins non thérapeutiques dédiés à la relaxation et à l'évasion du quotidien.
En ce qui concerne les recours possibles si l'on suspecte un exercice illégal de la kinésithérapie, il est recommandé de contacter le conseil départemental de l'Ordre des masseurs-kinésithérapeutes. Ils sont les plus à même de fournir des informations précises et d’agir en conséquence si nécessaire.
Il est également important de souligner que la coexistence des salons de bien-être et des praticiens médicaux peut être bénéfique. Elle pousse à une réflexion sur l'évolution des pratiques et l'adaptation aux besoins actuels des patients et clients, qui cherchent autant le soin que la prévention ou le confort.
Pour les professionnels de santé, c'est une opportunité d'envisager l'intégration de services de bien-être dans leur offre, en respectant bien sûr le cadre légal et déontologique de leur profession.
Cordialement.
La question de la légalité des salons de massage pour détente et bien-être en dehors du cadre médical est une problématique récurrente dans le domaine de la santé et du bien-être. Selon la législation française, le terme "massage" est effectivement réservé aux masseurs-kinésithérapeutes diplômés (MKDE), qui sont des professionnels de santé qualifiés. Cependant, il existe une distinction claire entre les massages à visée thérapeutique, qui relèvent de la compétence des MKDE, et les massages de bien-être, qui ne prétendent pas à une finalité médicale et peuvent donc être pratiqués par des non-professionnels de santé.
L'installation de salons proposant des massages de détente et bien-être est donc légale tant que ces derniers ne sont pas présentés ou perçus comme des actes médicaux ou paramédicaux. Ces établissements répondent à une demande croissante de soins non thérapeutiques dédiés à la relaxation et à l'évasion du quotidien.
En ce qui concerne les recours possibles si l'on suspecte un exercice illégal de la kinésithérapie, il est recommandé de contacter le conseil départemental de l'Ordre des masseurs-kinésithérapeutes. Ils sont les plus à même de fournir des informations précises et d’agir en conséquence si nécessaire.
Il est également important de souligner que la coexistence des salons de bien-être et des praticiens médicaux peut être bénéfique. Elle pousse à une réflexion sur l'évolution des pratiques et l'adaptation aux besoins actuels des patients et clients, qui cherchent autant le soin que la prévention ou le confort.
Pour les professionnels de santé, c'est une opportunité d'envisager l'intégration de services de bien-être dans leur offre, en respectant bien sûr le cadre légal et déontologique de leur profession.
Cordialement.
Rédactrice pour Dis Vague, Pour un équilibre entre soin et sérénité !