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Questions et réponses sur l’utilisation de Vega, discussions sur l’informatique de santé,
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La sauvegarde de données informatiques doit toujours etre un point crucial pour tout utilisateur (fiabilité, sûreté, pérennité, accessibilité, etc).
Dans cette optique, il vient la réflexion sur le type de support qui va contenir (recevoir) la (les) sauvegarde(s).
Par ailleurs, les moyens de connexions entre ordinateurs, sont en perpétuels progrès (en particulier en matière de vitesse de transfert).
Voici (AMHA), les principaux ingrédients qui conduisent des sociétés prestataires de services, à se spécialiser dans la sauvegarde de données.
Le monde industriel y fait appel.
Les sauvegardes sont réalisées :
- de façon multiples,
- sur des serveurs multiples, qui sont implantés en plusieurs points de la planète.
Pour l'utilisateur, la prestation de service se résume à un abonnement lui permettant de disposer d'une "clé informatique" unique lui permettant d'accéder à ses données de n'importe où sur la planète...moyennant un moyen de communication va sans dire.
Tout ceci s'appelle (je crois) Un Serveur Distant de Données.
Perso : L'idée d'utiliser ce type de service n'est pas inintéressante...
Fini l'histoire de sauvegarde sur un support qu'on trimbale du cab au dom pour poursuivre son travail.
Mieux : Je pars au ski avec mon portable, je me retrouve dans l'impossibilité de profiter de mon séjour alors que le reste de la famille s'éclate sur les pistes. Il m'est alors possible de récupérer mes donées et, faire quelques "petits trucs" que je reportais faute de temps.
En poussant la réflexion, pourquoi ne pas imaginer ce type de principe utilisable pour accéder à Véga?
ATTENTION : Je dis bien accéder à VéVé le logiciel. PAS aux données résultant de son utilisation.
...Mais une telle démarche (qui n'a jamais été à l'ordre du jour chez Epsilog), nécessiterait un travail FE-NO-ME-NAL dans la conception de notre logiciel préféré...
Pensez "simplement" comment répondre aux questions suivantes :
- Quand l'utilisateur ferme le logiciel, où vont se stoker ses données, sachant que moi (EPSILOG), je n'ai pas vocation à le faire...
- Quand un utilisateur effectue une TT, vers quel ordi (de l'utilisateur) va être dirigé le retour NOEMI...
Bonne journée à toute la tribue bleue.
Malgré la mauvaise nouvelle de ces derniers jours.
TITJO a écrit : un télécommercial m'a proposé une sauvegarde en ligne > il dit que mes fichiers déjà sauvegardés sur 2 disques différents c'est risqué.
Bonjour,
une petite réponse rapide :
- la sauvegarde en ligne est un principe intéressant pour des volumes de données relativement faibles, sinon les temps de transfert grimpent rapidement;
- les techniques qui consistent à ne sauvegarder "que ce qui a changé" ne dispensent pas de sauvegarder la totalité des données de façon régulière;
- la sécurité réelle apportée par ce genre de services ne dispense pas de pratiquer soi-même des sauvegardes quotidiennes sur un support amovible : CD, clé USB, etc.
- le point le plus sensible est que vos sauvegardes sont constituées par nature de données de santé nominatives. Dès lors où elles sont stockées sur un "serveur", même si elles sont compactées, même si elles sont cryptées, le prestataire en question tombe AMHA sous le coup de la récente Loi sur les hébergeurs de données de santé. Le cryptage et le transfert doivent en gros être réalisés via des protocoles quasi militaires, exploitant votre CPS. Je ne maîtrise pas cet aspect du sujet, mais c'est bien le plus sensible...
Stéphane Bernabé
"Si on paie ceux qui ne travaillent pas et si on impose ceux qui travaillent, il ne faut pas s'étonner si le chômage augmente."
Milton Friedman, prix Nobel d'économie en 1976
C'est une constante que la main droite ignore ce que fait la main gauche. AMHA nos législateurs auraient besoin d'un peu de réeducation : des volontaires ?
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jean jacques, et si l'on veut aller au bout de la loi il faudrait aussi la CPS pour utiliser les données cryptées de notre logiciel