obsolescence programmée des radars routiers
Posté : dim. janv. 31, 2016 10:35 am
Bonjour les Végamis,
Quand vous conduisez votre véhicule, vous pouvez constater deux choses :
- Votre GPS vous indique avec une insolente précision la vitesse autorisée sur le tronçon de route que vous parcourez et la vitesse de votre engin.
- Si vous respectez la vitesse prescrite, vous êtes très souvent dépassés par les autres usagers, et notamment les véhicules avec un A* sur la vitre arrière, ce qui semble préciser qu’ils sont prioritaires et pressés. Cela s’assortit parfois d’un coup de klaxon et d’un doigt dressé.
*Je viens de me faire dépasser par une épave au bas de caisse dentelé par la corrosion, à la géométrie fantaisiste, dont la pilote tenait son mobile de la main gauche et un clop de la main droite (et accessoirement le volant) – sur un tronçon en bande jaune continue… !
La société VEGALOG, une filiale d’un célèbre éditeur de logiciels pro pour auxiliaires médicaux a été contactée pour développer un système qui signe la fin des radars routiers pour le 1er janvier 2019. En voici le principe :
- Tous les véhicules motorisés à 2, 3 , 4 roues et plus seront équipés en série d’une speedbox VEGALOG agréée
– cet appareil numérique pourra envoyer en temps réel, vers une station centrale, des informations sur la vitesse du véhicule comparée à la vitesse autorisée sur la zone où il roule – en cas d’infraction constatée, des algorithmes éditeront immédiatement un avis de contravention au titulaire de la carte grise (qui après devra gesticuler pour prouver que ce n’est pas lui qui pilotait).
Une autre formule plus coercitive avait été envisagée :
- Une limitation automatique de vitesse des véhicules (couplée aux limitateurs de vitesse déjà embarqués) par système feedback en fonction des vitesses prescrites. Mais cette mesure, techniquement facile à mettre en place, aurait soi-disant porté atteinte à la liberté individuelle des conducteurs – la réalité est en fait plus terre à terre : les amendes pour infraction au code de la route, et surtout les transgressions mineures (et très peu accidentogènes mais) très lucratives pour l’Etat, n’existeraient plus – le manque à gagner a été très mal perçu par Bercy (un peu comme pour le tabac "dangereux" mais toujours commercialisé).
bizettes provinciales
élucubrations de Titjo-le-prophète
Quand vous conduisez votre véhicule, vous pouvez constater deux choses :
- Votre GPS vous indique avec une insolente précision la vitesse autorisée sur le tronçon de route que vous parcourez et la vitesse de votre engin.
- Si vous respectez la vitesse prescrite, vous êtes très souvent dépassés par les autres usagers, et notamment les véhicules avec un A* sur la vitre arrière, ce qui semble préciser qu’ils sont prioritaires et pressés. Cela s’assortit parfois d’un coup de klaxon et d’un doigt dressé.
*Je viens de me faire dépasser par une épave au bas de caisse dentelé par la corrosion, à la géométrie fantaisiste, dont la pilote tenait son mobile de la main gauche et un clop de la main droite (et accessoirement le volant) – sur un tronçon en bande jaune continue… !
La société VEGALOG, une filiale d’un célèbre éditeur de logiciels pro pour auxiliaires médicaux a été contactée pour développer un système qui signe la fin des radars routiers pour le 1er janvier 2019. En voici le principe :
- Tous les véhicules motorisés à 2, 3 , 4 roues et plus seront équipés en série d’une speedbox VEGALOG agréée
– cet appareil numérique pourra envoyer en temps réel, vers une station centrale, des informations sur la vitesse du véhicule comparée à la vitesse autorisée sur la zone où il roule – en cas d’infraction constatée, des algorithmes éditeront immédiatement un avis de contravention au titulaire de la carte grise (qui après devra gesticuler pour prouver que ce n’est pas lui qui pilotait).
Une autre formule plus coercitive avait été envisagée :
- Une limitation automatique de vitesse des véhicules (couplée aux limitateurs de vitesse déjà embarqués) par système feedback en fonction des vitesses prescrites. Mais cette mesure, techniquement facile à mettre en place, aurait soi-disant porté atteinte à la liberté individuelle des conducteurs – la réalité est en fait plus terre à terre : les amendes pour infraction au code de la route, et surtout les transgressions mineures (et très peu accidentogènes mais) très lucratives pour l’Etat, n’existeraient plus – le manque à gagner a été très mal perçu par Bercy (un peu comme pour le tabac "dangereux" mais toujours commercialisé).
bizettes provinciales
élucubrations de Titjo-le-prophète