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montagne

Posté : lun. sept. 03, 2007 8:59 am
par marco
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j'ai rencontré le "dahut"!! blague pour initiés......

Posté : lun. sept. 03, 2007 11:42 am
par CLB
dahut montant ou descendant ?

Posté : lun. sept. 03, 2007 12:06 pm
par marco
le "dahut" tourne autour du sommet par definition c'est pour cela qu'il a les deux pattes plus courtes d'un cote par rapport a l'autre.
droites ou gauches selon le sens de rotation.........

Posté : lun. sept. 03, 2007 12:56 pm
par ManuPatout
Salut Marco !
Est-ce-qu'il marche à l'amble le dahut?
Moi j'ai chassé la bête féroce dans mes rosiers :
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Posté : mer. sept. 05, 2007 5:55 pm
par alain branchard
ignares
Description commune du Dahu

L’animal étudié possède une particularité unique qu’on ne retrouve chez aucun autre mammifère. Nul ne doute que sous son pelage brun-gris, parfois tacheté de gris clair, il cache une curiosité que seul un oeil expert et entraîné peut distinguer : outre sa nonchalance qui le caractérise, l’animal est doté de quatre pattes dont celles de gauche sont plus courtes de moitié que celles de droite.

Illustration 1 - Silhouette de Dahu vue de dos Barbarisme de la nature, déformation génétique, ou originale adaptation à son environnement ? Car le Dahu vit exclusivement dans les montagnes où il règne en maître incontesté. Le fier animal tire en effet un grand profit de son " anomalie " puisque sur les chemins escarpés et pentus des montagnes, il peut avantageusement évoluer en gardant ses quatre pattes à même le sol sans perdre de son horizontalité, ce qui lui assure une stabilité sans égal dans son environnement naturel.

Chasse au Dahu

Le Dahu est un animal très convoité, en raison essentiellement de la difficulté à le saisir. Il se chasse essentiellement en groupe.

L’atout que mère nature lui a offert est également son talon d’achille : les chasseurs de Dahu profitent de la particularité morphologique de l’animal pour le piéger avec une astuce dont les inventeurs peuvent être fiers.

Pour capturer l’animal, il faut d’abord s’armer de beaucoup de patience, et parfois attendre des jours à l’affût dans un buisson. Lorsque la bête s’approche, il faut retenir son souffle, et le laisser dépasser le buisson : toute tentative de capture prématurée s’avérerait vaine, puisqu’il est extrêmement agile sur son territoire. Lorsqu’il s’éloigne, il suffit de le siffler pour que, piégé par sa légendaire curiosité, il se retourne et chute, livré au funeste dessein du chasseur, aussi vil soit il