Vega5 : Forum

Bonjour,

Le guide de prise en main de Vé-Vé mentionne (p.5) :

Véga5 est largement ouvert à Internet et aux nouvelles normes d’échange. Vous pouvez ainsi être informé dynamiquement de la possibilité de mises à jour,

Ce simple petit début de phrase suscite ma curiosité :
Ainsi : Si Internet n’est pas à proprement parler une « nouvelle norme d’échange », le fait d’y faire référence pour informer « dynamiquement » un utilisateur des possibilités de m à j de Vé-Vé, prend une autre dimension.
Doit-on entrevoir la possibilité de mettre à jour Vé-Vé par des téléchargements qui seront signalés aux utilisateurs à l’ouverture du logiciel ?
Je suppose que l’abonnement à la maintenance de Vé-Vé, sera un préalable à une réponse affirmative de votre part.

Mais alors :
Pourquoi ne pas inclure, dans la séquence de démarrage de Vé-Vé, une « requête » permettant de télécharger la m à j d’une façon « transparente » pour l’utilisateur.
Celle-ci s’activant suivant le choix de l’utilisateur (abonnement ou pas).

Je souhaiterai avoir l’avis des premiers utilisateurs de Vé-Vé sur ce point, compte tenu que ces « pionniers », reçoivent, apparemment, des flux de m a j par ce canal.

J’en profite pour saluer ces mêmes « pionniers » qui méritent de toute la tribu bleue une marque de respect plus que d’envie, digne des petits écoliers de CM2.

Bonjour,

L'outil de télémise à jour de Vega5 permet effectivement d'être prévenu des mises à jour à effectuer, et bien sur de les installer... (vous retrouvez ce genre de fonction très pratique avec votre antivirus par exemple).

Sans trop rentrer dans les détails sachez que, par exemple, le monde Organiseur est basé sur la norme PIM.
C'est une norme d’échange internationale qui est relative à tous les appareils d’échange d’informations personnelles, comme par exemple les Palm, PC Pocket, téléphones portables etc…grâce à cette compatibilité Vega5 sera capable, (sur des futur versions), d’échanger des données avec tous ces outils.

OUF!!!!

Théné Lamour a écrit :Bonjour,

Le guide de prise en main de Vé-Vé mentionne (p.5) :

Véga5 est largement ouvert à Internet et aux nouvelles normes d’échange. Vous pouvez ainsi être informé dynamiquement de la possibilité de mises à jour,

Je souhaiterai avoir l’avis des premiers utilisateurs de Vé-Vé sur ce point, compte tenu que ces « pionniers », reçoivent, apparemment, des flux de m a j par ce canal.

Bonsoir Théné,

Effectivement, Mise à jour auto de V5, que ce soit pour l'outil lui même ou pour les tables réglementaires.
Bonne soirée

Bonjour Kristof

Si l’outil de télé m a j fait partie « intégrante » de Vé-Vé, pourquoi, alors, ne pas passer au « stade supérieur » dans ce domaine des fonctionnalités ?
Ainsi :
Pourquio ne pas envisager que l’abonnement à Vé-Vé permette à son utilisateur d’y accéder exclusivement via la liaison Internet.
De ce fait « l’original » de Vé-Vé serait obligatoirement LA version à jour des dernières modifications (puisque « unique » et mis à disposition exclusivement par Epsilog qui – rappelons-le – est LE maître d’œuvre en la matière).

…Certes, d’autres problèmes se poseraient alors.
Par exemple :
Vé-Vé serait développé en version « serveur »…Et, aujourd’hui, ce n’est pas à l’ordre du jour chez Epsilog.
…Dommage…Mais comme disait La Belle Dormeuse :
« Un jooour le Prince viendraaaaa »…
Les données de chaque abonné devront rester une exclusive propriété du praticien.
…Ce qui implique de dissocier les données du logiciel en programmant leur
stockage dans l’ordi de l’utilisateur et non dans celui d’Epsilog.
…Mais, cette faisabilité existe.
…Tiens, il n’y a pas si longtemps, on a évoqué la télésauvegarde…et les pb
des hébergeurs de données de santé, la CNIL, etc…
…Mais avec une bonne politique de Sûreté et Sécurité Informatique (SSI) – agréée en la circonstance – il doit être possible d’exploiter cette « niche »
dans ce domaine...Où TOUT reste à faire.
Tel la création de la société VégaData, filiale d’Epsilog va sans dire…
La « cerise sur le gâteau » reviendrait, amha, à tout ce qui à trait à la fonctionnalité (le monde) de la télétransmission.
…En version 1.40 va sans dire…

Il n’empêche qu’un Vé-Vé toujours au top – et de façon transparente – pour ses utilisateurs, réglerait pas mal de problèmes.
Qu’en pensent les autres utilissateurs ?...

Sur ce, je vais aller me prendre un NessAlvo

Salut Théné

Je n' ai rien contre ton idée, mais cela poserait problème à ceux qui font la compta ( ou autre chose ) à la maison , sur un ordinateur non relié à Internet.

Bonjour Albert,

Certes; l'accès Internet est un préalable à mon histoire.
Quoi que, aujourd'hui, cette possibilité est faisable via un tel. mobile relié direct à un ordi (+ carte modem intégré à ce dernier).
Mais alors, l'accès à Véga comme à ses données est possible de nimporte où...dans le monde!!!!

Enfin, une telle politique pourrait également déboucher sur le e-learning...

Théné Lamour a écrit :
……Dommage…Mais comme disait La Belle Dormeuse :
« Un jooour le Prince viendraaaaa »…

Désolé, mais c'est la croqueuse de pomme qui chantait ça !!
Celle qui vivait chez les p'tits gars de la mine!!

Salut Tof, tu as raison, mais Théné aussi car c'est en croquant dans son Ordi (un Mac de chez Apple, bien sûr) que (la belle) Blanche neige est devenue une dormeuse ...

Moralité : Si tu goûtes à un Mac, c'est pour longtemps que tu t'empoisonnes la vie ... Il te faudra alors attendre le PC (Prince Charmant) pour t'en sortir ...
Pardon aux "Macos", mais c'est pour rire ...

Théné Lamour a écrit :Bonjour Kristof

Si l’outil de télé m a j fait partie « intégrante » de Vé-Vé, pourquoi, alors, ne pas passer au « stade supérieur » dans ce domaine des fonctionnalités ?
Ainsi :
Pourquio ne pas envisager que l’abonnement à Vé-Vé permette à son utilisateur d’y accéder exclusivement via la liaison Internet.
De ce fait « l’original » de Vé-Vé serait obligatoirement LA version à jour des dernières modifications (puisque « unique » et mis à disposition exclusivement par Epsilog qui – rappelons-le – est LE maître d’œuvre en la matière).

…Certes, d’autres problèmes se poseraient alors.
Par exemple :
Vé-Vé serait développé en version « serveur »…Et, aujourd’hui, ce n’est pas à l’ordre du jour chez Epsilog.
…Dommage…Mais comme disait La Belle Dormeuse :
« Un jooour le Prince viendraaaaa »…
Les données de chaque abonné devront rester une exclusive propriété du praticien.
…Ce qui implique de dissocier les données du logiciel en programmant leur
stockage dans l’ordi de l’utilisateur et non dans celui d’Epsilog.
…Mais, cette faisabilité existe.
…Tiens, il n’y a pas si longtemps, on a évoqué la télésauvegarde…et les pb
des hébergeurs de données de santé, la CNIL, etc…
…Mais avec une bonne politique de Sûreté et Sécurité Informatique (SSI) – agréée en la circonstance – il doit être possible d’exploiter cette « niche »
dans ce domaine...Où TOUT reste à faire.
Tel la création de la société VégaData, filiale d’Epsilog va sans dire…
La « cerise sur le gâteau » reviendrait, amha, à tout ce qui à trait à la fonctionnalité (le monde) de la télétransmission.
…En version 1.40 va sans dire…

Il n’empêche qu’un Vé-Vé toujours au top – et de façon transparente – pour ses utilisateurs, réglerait pas mal de problèmes.
Qu’en pensent les autres utilissateurs ?...

Sur ce, je vais aller me prendre un NessAlvo

Bonjour,

Ce sont des propositions intéressantes, peut-être qu'un jour (qui sait) la technologie nous permettra de travailler de cette façon simple et fiable...
Et pour vous reprendre: Comme disait La Belle Dormeuse : « Un jooour le Prince viendraaaaa »…

Bonjour Kristof,

Merci pour le su-sucre
...On ne se mouille pas...on est zen...
Surtout! On fait "lisse" et on ne dit surtout rien...On a l'impression à avoir à faire à un fonctionnaire...A chaque jour suffit sa peine n'est-ce pas?

C'est surprenant de voir (lire donc penser), que vous ne travaillez pas "à l'avant des évennements"

Tout va bien dans le meilleur des mondes...

Merci monsieur Kristof.

Théné Lamour a écrit :Bonjour Kristof,

Merci pour le su-sucre
...On ne se mouille pas...on est zen...
Surtout! On fait "lisse" et on ne dit surtout rien...On a l'impression à avoir à faire à un fonctionnaire...A chaque jour suffit sa peine n'est-ce pas?

C'est surprenant de voir (lire donc penser), que vous ne travaillez pas "à l'avant des évennements"

Tout va bien dans le meilleur des mondes...

Merci monsieur Kristof.

Bonjour,

Réponse de fonctionnaire je n’espère pas, je vous ai répondu sur le ton de l’humour, je pensais que votre proposition était plus une réflexion idéologique qu’une réelle attente.
Sérieusement, ce genre de fonctionnement qui imposerait un accès internet, est problématique pour plusieurs raisons :
_tout le monde n’a pas envie d’utiliser une connexion pour travailler, (ou son mobile)
_tout le monde n’a pas de connexion haut débit (y compris au niveau des réseaux des GSM)
=> imposer une connexion restreindrait le nombre d’utilisateur
_ son fonctionnement serait tributaire des services des FAI, et là très franchement on peut pas dire que tout soit encore réglé.
Votre solution est certainement une solution d’avenir, après concernant nos projets à longs termes Stéphane Bernabé sera le mieux placé pour vous répondre.
Salutations

Salut Théné,
il peut y avoir des avantages à utiliser un logiciel "en ligne", c'est vrai. Mais ils sont objectivement minimes : un bon mécanisme de télé-mise-à-jour suffit par exemple pour avoir toujours la bonne version du logiciel. Pour ce qui est de pouvoir travailler à partir de plusieurs ordinateurs, franchement, la possibilité de réinstaller Vega autant de fois qu'on le veut est elle aussi suffisante. Vega n'est pas "lié" à la machine comme les grands logiciels américains.
Les inconvénients repris par Kristofs sont nombreux : mauvaise infrastructure d'accès Internet en France, services et prix pas adaptés, qualité de la connexion (fiabilité, débit) pas suffisant à mes yeux, etc.
Mais en complément, je vais rajouter quelques réflexions d'un autre ordre.

Tout d'abord, en France, on est très attaché à la "possession" des choses. Acheter son logiciel, c'est encore très souvent avoir un CD, une doc papier, une boîte, etc. Pour les plus jeunes le téléchargement est rentré dans les habitudes, mais c'est soit en achetant, soit en piratant. Dans les deux cas on a le logiciel chez soi...
La location d'un logiciel est loin d'être une habitude facile à vendre en France : un logiciel est encore trop souvent considéré comme une "chose". Pourtant, des gens comme nous ne vendons qu'un droit d'usage (une licence) et pas un logiciel. Dès lors, nous pourrions très bien limiter ce droit, le louer, etc. Mais la confusion entre le CD et la licence est trop ancrée en France.

A titre personnel, je déteste les logiciels en ligne, alors que mon métier me permet d'en comprendre tous les aspects. Je n'aime pas leur lenteur, leur interface dépendante de standard qui ne sont pas encore faits pour ça, l'illusion qu'ils entretiennent quant à leurs fonctionnalités réelles. S'ils ne sont destinés qu'à gérer des données en ligne (mails, transactions financières, commandes de matériel, etc), pas de souci. Mais s'ils sont destinés à opérer localement sur mon ordinateur ou mes données (anti-virus, logiciel de retouche d'image ou de composition de livres-photos, etc, je ne fais pas.

Je ne crois pas que nous ne soyons pas "à l'avant des évènements" : à ce niveau, chacun peut avoir sa vision du monde pour les 5, 10 ou 20 ans à venir. La mienne (et qui influence largement Epsilog, Vega et le reste) n'est pas autant axée sur le "tout en ligne" que celle de Théné. Elle priorise plus le besoin des usagers que l'usage des nouvelles technologies.

Voila, voila. J'ai bien répondu ? Pas trop lisse ni politiquement correct