Page 1 sur 3

marre...

Posté : lun. nov. 10, 2008 5:57 pm
par sophie
aujourd'hui, bien motivee je me dis que je vais aller au boulot et pas faire le pont car 4 jours sans kine peut etre un peu long pour certains patients nouvellement operés (un peu (trop?) de conscience professionnelle).
Je vois 1 patient par demi heure donc je ne peux pas voir tout le monde aujourd'hui: je note 22 RDV en essayant d'accorder un max de monde.
Et depuis ce matin le telephone n'arrete pas: conclusion 5 RDv annulés pour des motifs plus ou moins valables....bref je me retrouve avec 17 RDV.

Y en a marre des personnes qui insistent pour etre prises rapidement car c'est urgent (et apres bilan on retrouve juste une petite dlr au poignet quand le patient fait des pompes !!) et qui au final n'en ont rien a faire !
j'essaie de bosser "correctement" mais des fois on se demande a quoi ca sert: passer 12h au boulot pour ne voir que 17 pers, ca me semble pas tres rentable, surtout par les temps qui courent !! Et en plus ils a d'autres patients qui trinquent car eux seraient bien venus mais il n'y avait plus de place pour aujourd'hui !

Conclusion: a quoi ca sert de "respecter la deontologie" sinon de se faire avoir
la prochaine fois je ferais le pont !!

Donc voila c'etait mon coup de gueule du soir mais ca fait du bien !
Desolés pour ceux que ca ennuie mais j'en avais besoin

Sur ce, bon 11 novembre a tous

Posté : lun. nov. 10, 2008 6:07 pm
par Invité
1)17 rdv au lieu de 22, sois contente tu rentreras plus tôt.
2)Même si le code de déontologie insiste sur la continuité des soins, il n'interdit pas de faire les ponts.
3)En rentrant chez toi prends un bon apéro et cooooool....

Re: marre...

Posté : lun. nov. 10, 2008 7:25 pm
par Vincent HOVASSE
sophie a écrit :la prochaine fois je ferais le pont !!
Ce sont des journées qu'il faut effectivement bien préparer si on ne veut pas se retrouver avec un emploi du temps très décousu dans ces moments là.
Personnellement cela m'est arrivé souvent de me retrouver avec 3 pelés 1 tondu étalés sur une journée de 12h; depuis je suis très méfiant et si je décide de bosser, je ne le dis qu'aux patients que j'ai sélectionnés pour ce jour là et après les avoir interrogés sur leur présence possible.
Mais tu te remettras, la journée de demain sera bien meilleure.
ImageImageImage

Posté : lun. nov. 10, 2008 7:54 pm
par Théné Lamour
Chère sophie,
Ceci est malheureusement monnaie courante lors de ces journées coincées entre deux jours non oeuvrés...
Mais, je ne te racontes pas ce que cela donne sur la cote d'azur l'été... :x
Du style : RDV d'une patiente à 15h30 qui appelle à 15h05 pour dire :
Je suis désolée mais je ne pourrais pas être au RDV à 15h30. Je suis à la plage de...(plage qui se trouve de l'autre coté de la rade). :twisted:
...Et là, sophie, tu n'as même pas le temps de te retourner pour demander à tes patients suivants s'ils peuvent venir plus tôt...Et tu as un "trou" de 30mn qui t'obligeras à ne rentrer chez toi qu'à 19h30...après tes 12h de travail...
Tu auras beau faire ton travail avec compétence, attention, etc...
MAIS, rares sont les patients qui manifestent la moindre reconnaissance envers l'efficacité de ton travail, le soulagement que tu leur as apporté...C'est, malheureusement, le lot de beaucoup de prestataires de services...

Posté : lun. nov. 10, 2008 7:59 pm
par sophie
merci de votre sollicitude ca va deja mieux .... et comme l'a dit vincent la prochaine fois mefiance :twisted: je ne me ferais plus avoir (enfin esperons !)
Bonne soiree

Posté : lun. nov. 10, 2008 11:16 pm
par Invité
chrisD a écrit : Pour info : je ne fais que des soins à domicile et quand j'ai repris ma tournée habituelle, un de mes patients m'a fait remarqué qu'il faisait nuit à 17 h 30 donc qu'il fermait sa porte à cette heure-là et que je devais changer mon horaire de passage, après une dure négociation, je n'ai pas cédé et je passe toujours à 18 h 30 comme avant !

Bonne journée de repos demain
Ben voilà une occasion de demander un dépassement pour exigence personnelle du patient.
Mais je suis comme toi; je fixe mes horaires et refuse les exigences personnelles telles que celle-ci

Il ne faut pas oublier que nous sommes au service du patient et non à la disposition de celui-ci!

Bonne soirée

Posté : lun. nov. 10, 2008 11:47 pm
par Invité
Une petite précision: avec moi il n'y a jamais de dures négociations.

Lorsque je me présente mon discours est le suivant:

"Je suis très ponctuel pour mes rendez vous! J'arrive toujours très préciément et très exactement à n'importe quelle heure.
Vous faites partie de ma tournée, je viens en principe chez vous entre telle et telle heure (2h00 de battement, une avant, une après), car certaines fois, un patient peut très bien m'appeller en urgence et dans ce cas j'inverse ma tournée ce qui fait que je peux voir ceux du matin en fin d'après midi. Et dans ce cas, comme tout est chamboulé, je ne sais pas vraiment comment je vais fonctionner, alors je ne préviens pas. La chose est sûre: lorsque j'ai un imprévu et que je ne peux honorer ma séance je téléphone. Mais puisque vous me demandez des séances à domicile, cela signifie que vous y êtes en permanance."

Cela choque au premier abord mais, au deuxième, les patients le comprennent et acceptent.

J'ai ma tournée, mes patients sont intégrés dedans et si cela ne leur convient pas je leur indique d'autres personnes.

Cela étant je jongle, bien entendu, avec les visites des infirmières (iers), des médecins, des examens, voirs des repas de familles qui sont essentiels pour cetains patients...tout est question d'évaluation.

Mais l'heure pour l'heure, pas question!


J'ai toujours été étonné des MKDE qui refusent de d'effectuer des dépassement mais qui cèdent à ce genre d'exigences.
Personnellement je n'applique aucun dépassement mais je refuse systématiquement les exigences personnelles (non médicales) des patients.

Oui, nous sommes au services des patients, mais il ne faut pas oublier que nous avons une famille et que de notre qualité de vie dépend notre qualité de travail et vice versa. (en terminale mon prof de math disait: et lycée de Versailles....bof).
Et surtout que rien ne doit entraver notre qualité de vie familiale, que nous avons choisie, alors que nous sommes obligés de travailler!

Posté : lun. nov. 10, 2008 11:59 pm
par Invité
Je viens de voir ton dernier post et je réponds haut et fort:

OUI UNE CLINTELE S'EDUQUE!!!

Notre survie en dépend!

Pour ce qui est de l'anonymat: invité ne l'est pas plus que "chrisD" du Lot et Garonne.
Si tu veux je peux m'enregister sous "L'un vit Thé sur Prise" de France et de Navarre.

Seuls les propos sont importants. Et il ne semble pas que les miens soient déplacés. Dans le cas contraire, que les administrateurs les suppriment, en ne laissant que ces deux dernières phrase.

Posté : mar. nov. 11, 2008 12:08 am
par Chris
23 RDV / 23 honoré aujourd'hui ;)
Faut dire que mes patients me connaissent : si ils me plantent, ils prennent une secouée, le coup d'après : au bout du 2° plantage, c'est dehors


Sinon, je suis très sympa dans la vie, si, si.... :D

Posté : mar. nov. 11, 2008 12:10 am
par TITJO
chrisD a écrit :t : la clientèle s'éduque donc acte
merci de ton soutien Ô Invité anonyme

que c'est dur le français... Image


---> Étymologie de DONT ACTE

Ellipse de l’expression « Ce dont il est donné acte » ou « Ce dont il est pris acte » (le mot « acte » étant utilisé au sens juridiqueImage ).

écoute ( ---> sanzesse vu que c'est la 2ème personne de l'impératif présent du 1er groupe) Chris, il y a un vent d'orthographie qui souffle sur le forum - et je crois que c'est contagieux - et là tu offres une petite occasion au Végachaland malveillant de s'éclater - merci - sans rancune?

dicton du soir: si tu veux faire des amplettes demain jour de l'armistice,
fais un tour à Londres, au Bénélux, en Allemagne, Italie, Espagne ou en Suisse.
Image

Posté : mar. nov. 11, 2008 12:28 am
par Invité
A lire jusqu'au bout la fin est écrite en fin de post.

Oui tu as raison, Titjo en écriture le française c'est dur et l'écrit dure.
"l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure,
l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure,
l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure,
l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure,
l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure,
l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure,
l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure,
l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure,
l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure,
l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure,
l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure,
l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure,
l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure,
l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure,
l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure,
l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure, l'écrit dure………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………."

Fin

Je vous l'avais dit, la fin est écrite en fin de message!!!

Posté : mar. nov. 11, 2008 12:33 am
par Vincent HOVASSE
Et voila qui va donner du boulot à Johnathan.

Posté : mar. nov. 11, 2008 12:40 am
par fred
Un tiens vaut mieux que deux tu l'auras
Un tiens vaut mieux que deux tu l'auras
Un tiens vaut mieux que deux tu l'auras
Un tiens vaut mieux que deux tu l'auras
Un tiens vaut mieux que deux tu l'auras
Un tiens vaut mieux que deux tu l'auras
Un tiens vaut mieux que deux tu l'auras
Un tiens vaut mieux que deux tu l'auras
Un tiens vaut mieux que deux tu l'auras
Un tiens vaut mieux que deux tu l'auras
Un tiens vaut mieux que deux tu l'auras
Un tiens vaut mieux que deux tu l'auras
Un tiens vaut mieux que deux tu l'auras
Un tiens vaut mieux que deux tu l'auras
Un tiens vaut mieux que deux tu l'auras
Un tiens vaut mieux que deux tu l'auras

petite colle pour les cinéphiles... :wink:

Posté : mar. nov. 11, 2008 12:43 am
par Invité
Ben oui, pendant que certains travaillent certains font le pont...c.. et il faut bien leur donner un peu de taf au retour.