par Stéphane Bernabé » mar. nov. 15, 2005 12:31 pm
La transmission de données de santé (bilans, DSI, comptes-rendus d'analyse, commentaires entre PS, CR opératoires, etc) est désormais réglementée par la Loi. De telles transmissions doivent mettre en oeuvre des procédés de cryptage, de sécurité et d'authentification agréés, par exemple en utilisant la carte CPS. La CNIL veille au grain. Quelques systèmes de messagerie sécurisées existent déjà, à l'usage habituel des médecins. Des systèmes de cryptage (APICRYPT par exemple) sont aussi très répandus. Le problème est que ces systèmes sont par nature tous soumis à abonnement payant, et ne sont pas "universels".
En clair : envoyer une fiche de synthèse en format PDF à un médecin est pratique, facile à faire, immédiatement exploitable par le destinataire. Mais tout à fait illégal...
La transmission de données de santé (bilans, DSI, comptes-rendus d'analyse, commentaires entre PS, CR opératoires, etc) est désormais réglementée par la Loi. De telles transmissions doivent mettre en oeuvre des procédés de cryptage, de sécurité et d'authentification agréés, par exemple en utilisant la carte CPS. La CNIL veille au grain. Quelques systèmes de messagerie sécurisées existent déjà, à l'usage habituel des médecins. Des systèmes de cryptage (APICRYPT par exemple) sont aussi très répandus. Le problème est que ces systèmes sont par nature tous soumis à abonnement payant, et ne sont pas "universels".
En clair : envoyer une fiche de synthèse en format PDF à un médecin est pratique, facile à faire, immédiatement exploitable par le destinataire. Mais tout à fait illégal...