par ManuPatout » mer. juin 13, 2007 9:42 pm
Vu sur egora.fr :
"Application des revalorisations nomenclaturaires : aucune unité
Franck Gougeon
Alors que le texte de la convention est paru au Journal officiel, le paysage kinésithérapique français présente une diversité pour le moins étonnante. Quelques exemples. A Paris, les praticiens n´ont pas noté de problème particulier avec les CPAM de la capitale. En Dordogne, la CPAM de Périgueux refuse de prendre en compte les revalorisations au motif que la revalorisation nomenclaturaire n´est pas passée au Journal officiel. En revanche, la Caisse locale de la Mutualité sociale agricole prend en charge les soins.
Dans l´Oise, les masseurs-kinésithérapeutes se heurtent à un refus total de la part de leur Caisse primaire, tout comme en Haute-Savoie où la CPAM applique la nouvelle convention… sauf les revalorisations nomenclaturaires. Enfin, dans la Seine-Saint-Denis, certaines Caisses acceptent les revalorisations sans discuter depuis le 15 avril dernier, d´autres depuis le 17 mai et d´autres enfin opposent un refus total aux praticiens et rejettent les feuilles de soins."
Vu sur egora.fr :
"Application des revalorisations nomenclaturaires : aucune unité
Franck Gougeon
Alors que le texte de la convention est paru au Journal officiel, le paysage kinésithérapique français présente une diversité pour le moins étonnante. Quelques exemples. A Paris, les praticiens n´ont pas noté de problème particulier avec les CPAM de la capitale. En Dordogne, la CPAM de Périgueux refuse de prendre en compte les revalorisations au motif que la revalorisation nomenclaturaire n´est pas passée au Journal officiel. En revanche, la Caisse locale de la Mutualité sociale agricole prend en charge les soins.
Dans l´Oise, les masseurs-kinésithérapeutes se heurtent à un refus total de la part de leur Caisse primaire, tout comme en Haute-Savoie où la CPAM applique la nouvelle convention… sauf les revalorisations nomenclaturaires. Enfin, dans la Seine-Saint-Denis, certaines Caisses acceptent les revalorisations sans discuter depuis le 15 avril dernier, d´autres depuis le 17 mai et d´autres enfin opposent un refus total aux praticiens et rejettent les feuilles de soins."