par marco » jeu. sept. 13, 2007 10:06 am
Selon la Direction de la recherche, des études, de l´évaluation et des statistiques (DREES), un service du ministère de la Santé, «la création d´indemnités kilométriques pour les masseurs-kinésithérapeutes a contribué exceptionnellement à la croissance des dépenses». Selon la Drees, «les dépenses de prescriptions autres que médicamenteuses, qui regroupent les analyses de biologie, les soins d´infirmiers, les masseurs-kinésithérapeutes et autres auxiliaires médicaux (orthophonistes, etc.), ainsi que les cures thermales, «représentent plus de 15 % des dépenses totales de soins de ville». «Si en 2006, la croissance des prescriptions a connu une forte progression, ce sont les dépenses d´infirmières et de kinésithérapeutes (qui) expliquent en grande partie la hausse du taux de croissance» indique la DREES. En effet, «bien que ces deux postes représentent respectivement 30,5 % et 27,5 % dans le total des dépenses, elles contribuent à des taux bien supérieurs à la croissance, soit 39 % et 32,6 % en volume».
Toujours selon la DREES, «la création d´indemnités kilométriques pour les masseurs-kinésithérapeutes (qui) s´est traduite par une hausse de près de 50 % des frais de déplacement, a également contribué exceptionnellement à la croissance des dépenses».
Pourtant, en 2006, le montant total des dépenses de kinésithérapie représentaient 3,8 millions d´euros et l´assurance maladie a payé 114,5 millions d´euros de frais de déplacement, soit à peu près 0,30 % du montant des dépenses remboursées.
Selon la Direction de la recherche, des études, de l´évaluation et des statistiques (DREES), un service du ministère de la Santé, «la création d´indemnités kilométriques pour les masseurs-kinésithérapeutes a contribué exceptionnellement à la croissance des dépenses». Selon la Drees, «les dépenses de prescriptions autres que médicamenteuses, qui regroupent les analyses de biologie, les soins d´infirmiers, les masseurs-kinésithérapeutes et autres auxiliaires médicaux (orthophonistes, etc.), ainsi que les cures thermales, «représentent plus de 15 % des dépenses totales de soins de ville». «Si en 2006, la croissance des prescriptions a connu une forte progression, ce sont les dépenses d´infirmières et de kinésithérapeutes (qui) expliquent en grande partie la hausse du taux de croissance» indique la DREES. En effet, «bien que ces deux postes représentent respectivement 30,5 % et 27,5 % dans le total des dépenses, elles contribuent à des taux bien supérieurs à la croissance, soit 39 % et 32,6 % en volume».
Toujours selon la DREES, «la création d´indemnités kilométriques pour les masseurs-kinésithérapeutes (qui) s´est traduite par une hausse de près de 50 % des frais de déplacement, a également contribué exceptionnellement à la croissance des dépenses».
Pourtant, en 2006, le montant total des dépenses de kinésithérapie représentaient 3,8 millions d´euros et l´assurance maladie a payé 114,5 millions d´euros de frais de déplacement, soit à peu près 0,30 % du montant des dépenses remboursées.