par marie laure » jeu. déc. 20, 2007 4:45 pm
dodo a écrit :Bonjour!
Ma requête dépasse le cadre informatique de ce forum, mais je compte sur votre compréhension confraternelle.
A mes collègues orthophonistes: je viens d'avoir un entretien pénible avec la maman d'un petit patient: inquiète, inquisitrice, elle ne me fait pas confiance car elle trouve (pas moi!) que son enfant ne fait pas de progrès "assez vite" pour elle.
On a parfois ce genre de "réclamations" mais là c'est allé un peu loin, sous une courtoisie de pure forme, après de multiples demandes variées de la part de cette famille.
Question: A-t-on le droit de cesser les séances de notre fait, pour raisons personnelles, en quelque sorte?
A-t-on une obligation de soins, de prise en charge?
A-t-on un droit de retrait opposable aux familles ?
Je voudrais assurer mes arrières, la dame étant procédurière...
Merci de vos lumières et témoignages éventuels.
ce message m'interpelle un peu
étant libéral(e), nous avons je pense le droit d'accepter ou non les prise en charge de patient...sinon où est le libéral???
dans le cas où , il y a problème, le professionnel peut s'expliquer sans détour face à son client.
.je pense que si j'étais cliente, j'apprécierai la franchise ou que l'on me remette en place..la lettre recommandée, c'est du lourd!
Que peut elle faire comme procédure contre vous si vous n'avez pas fait de faute professionnelle??
il y a juste incompatibilité d'humeur..ou incompréhension..devant un tribunal, vous ne risquez rien
A mon avis, une bonne explication, voire une confrontation, vaut mieux que des écrits qui restent....ou elle vous fait confiance ou elle s'en va..un professionnel qui s'affirme est toujours plus convaicant que quelqu'un qui se défile...
comme dans toute rupture le plus important est le
dialogue
[quote="dodo"]Bonjour!
Ma requête dépasse le cadre informatique de ce forum, mais je compte sur votre compréhension confraternelle.
A mes collègues orthophonistes: je viens d'avoir un entretien pénible avec la maman d'un petit patient: inquiète, inquisitrice, elle ne me fait pas confiance car elle trouve (pas moi!) que son enfant ne fait pas de progrès "assez vite" pour elle.
On a parfois ce genre de "réclamations" mais là c'est allé un peu loin, sous une courtoisie de pure forme, après de multiples demandes variées de la part de cette famille.
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Question:[/b] A-t-on le [i]droit [/i] de cesser les séances de notre fait, pour raisons personnelles, en quelque sorte?
A-t-on une obligation de soins, de prise en charge?
A-t-on un droit de retrait opposable aux familles ?
Je voudrais assurer mes arrières, la dame étant procédurière...
Merci de vos lumières et témoignages éventuels.[/quote]
ce message m'interpelle un peu
étant libéral(e), nous avons je pense le droit d'accepter ou non les prise en charge de patient...sinon où est le libéral???
dans le cas où , il y a problème, le professionnel peut s'expliquer sans détour face à son client.
.je pense que si j'étais cliente, j'apprécierai la franchise ou que l'on me remette en place..la lettre recommandée, c'est du lourd!
Que peut elle faire comme procédure contre vous si vous n'avez pas fait de faute professionnelle??
il y a juste incompatibilité d'humeur..ou incompréhension..devant un tribunal, vous ne risquez rien
A mon avis, une bonne explication, voire une confrontation, vaut mieux que des écrits qui restent....ou elle vous fait confiance ou elle s'en va..un professionnel qui s'affirme est toujours plus convaicant que quelqu'un qui se défile...
comme dans toute rupture le plus important est le [u]dialogue[/u]