par marco » jeu. juin 26, 2008 4:01 pm
ManuPatout a écrit :marco a écrit :Manu ,on ne peut etre que d'accord avec toi sur ce sujet bien precis mais que va et que peut faire l'ordre contre la "legale-illegalité" de l'embauche de staps a l'hopital dans des activités ressemblant vraiment beaucoup a de la kinesitherapie pour ne pas dire autre chose????
info lue sur le forum Alizé.
Je n'ai fait ici qu'un copier-coller ...
Encore une fois c'est Marco qui va plus loin que l'éternel sujet "Ordre ou pas ordre".
C'est bien évidemment le genre de situation que rend impossible la non-inscription au tableau, et donc la responsabilité est sans doute, comme le dit Daniel, dans les bureaux de cet hôpital.
On peut imaginer la précipitation d'un centre hospitalier à embaucher un MK(DE), et donc passer outre les vérifications d'usage au moment de l'embauche ... Cela pourrait nous arriver en libéral sans un minimum de vigilance !
Devenant une denrée rare les MK sont très recherchés, on ouvre les portes aux "Staps" (parfois des recalés des concours des IFMK), le problème est peut-être le
numérus clausus (seulement 70 étudiants de plus à la rentrée 2008), donc la démographie de la masso-kinésithérapie ...
Qui dit plus de MK, dit plus de cotisants, dit un régime de retraite plus viable, dit ... enfin ce serait trop simple

.
excuse moi Manu je tente de rester a la hauteur de ma reputation de "chieur" mais je crois utile de mettre en evidence le fait que si UN individu est repéré en exercice illégal par l'ordre ,ou plutot par la gendarmerie,combien de staps vont pratiquer sous couvert du terme de moniteur gymnaste ou autre des interventions relevant purement du kine et ceci a l'hopital!! (en attendant une autre percée!)
nous avons deja (j'en ai une a coté) les "ninis" en ville non considerés comme profession de santé mais qui font du médical a plein regime sur recommandation de nos "bons amis" qui y voient une façon d'alléger leur profil ......!!!
c'est un patient revenant du nini ,toujours avec ses douleurs....qui me l'a avoué me donnant le nom du medecin "conseilleur"!
alors numerus clausus d'un cote pour les kines ,concurrence déloyale et exercice illegale de la kine ,embauche de sous kines a qui on va faire faire de la kine ,masseurs illegaux dans les cures et ailleurs,je ne pense pas que le cri de victoire soit de mise !
j'attends des actions plus convaincantes et plus fortes pour la défense réelle de la profession que la nullité crasse de ce que nous voyons actuellement contre les confrères.
derniere nouvelle reçue depuis mon post et amenant de l'eau au moulin de la reflexion:
copier-coller:
Depuis 2 jours tout le monde y va de sa petite phrase et de son analyse sur la proposition de monsieur Frédéric VAN ROEKEGHEM, Directeur Général de l’UNCAM, de ne plus rembourser qu'à 35 % les médicaments, à service médical faible, aux assurés en affection de longue durée (ALD).
Belle proposition qui fait parler d’elle mais qui a éclipsé tout le reste : 250 millions d’euros d’économies mais un plan de redressement à 3 milliards.
Et les 2,750 milliards restants ? Où sont-ils ?
Certes, pas cachés du tout, il suffit de savoir lire et écouter… mais bien lire et bien écouter… c’est en tout petit !
«Le nombre de séances de kiné après une intervention (prothèse de hanche, par exemple), très inégal d'un département à l'autre, pourrait être plafonné».
Après les honoraires de masso-kinésithérapie qui ont augmenté de 7,5 %, et qui auraient dérapé…selon le rapport des comptes de la sécu rité sociale 2007.
Après la proposition de la Mission d'évaluation et de contrôle de la Sécurité sociale (Mecss), « d'envisager de nouveaux transferts de charges », notamment en kinésithérapie, « en direction des assureurs complémentaires ».
Après la proposition de création d’un nouveau métier de « préventionniste » ou « d'éducateur médico-sportif », acteur de santé publique.
Voici venir l’annonce, dans le cadre du retour à l’équilibre de l’Assurance maladie en 2011 souhaité par le gouvernement, le plafonnement du nombre de séances par pathologie.
Les kinés ne sont plus dans le collimateur… Ils sont carrément sur la première ligne du front… où au poteau d’exécution… c’est selon…
[quote="ManuPatout"][quote="marco"]Manu ,on ne peut etre que d'accord avec toi sur ce sujet bien precis mais que va et que peut faire l'ordre contre la "legale-illegalité" de l'embauche de staps a l'hopital dans des activités ressemblant vraiment beaucoup a de la kinesitherapie pour ne pas dire autre chose????
info lue sur le forum Alizé.[/quote]
Je n'ai fait ici qu'un copier-coller ...
Encore une fois c'est Marco qui va plus loin que l'éternel sujet "Ordre ou pas ordre".
C'est bien évidemment le genre de situation que rend impossible la non-inscription au tableau, et donc la responsabilité est sans doute, comme le dit Daniel, dans les bureaux de cet hôpital.
On peut imaginer la précipitation d'un centre hospitalier à embaucher un MK(DE), et donc passer outre les vérifications d'usage au moment de l'embauche ... Cela pourrait nous arriver en libéral sans un minimum de vigilance !
Devenant une denrée rare les MK sont très recherchés, on ouvre les portes aux "Staps" (parfois des recalés des concours des IFMK), le problème est peut-être le [i]numérus clausus[/i] (seulement 70 étudiants de plus à la rentrée 2008), donc la démographie de la masso-kinésithérapie ...
Qui dit plus de MK, dit plus de cotisants, dit un régime de retraite plus viable, dit ... enfin ce serait trop simple :wink: .[/quote]
excuse moi Manu je tente de rester a la hauteur de ma reputation de "chieur" mais je crois utile de mettre en evidence le fait que si UN individu est repéré en exercice illégal par l'ordre ,ou plutot par la gendarmerie,combien de staps vont pratiquer sous couvert du terme de moniteur gymnaste ou autre des interventions relevant purement du kine et ceci a l'hopital!! (en attendant une autre percée!)
nous avons deja (j'en ai une a coté) les "ninis" en ville non considerés comme profession de santé mais qui font du médical a plein regime sur recommandation de nos "bons amis" qui y voient une façon d'alléger leur profil ......!!!
c'est un patient revenant du nini ,toujours avec ses douleurs....qui me l'a avoué me donnant le nom du medecin "conseilleur"!
alors numerus clausus d'un cote pour les kines ,concurrence déloyale et exercice illegale de la kine ,embauche de sous kines a qui on va faire faire de la kine ,masseurs illegaux dans les cures et ailleurs,je ne pense pas que le cri de victoire soit de mise !
j'attends des actions plus convaincantes et plus fortes pour la défense réelle de la profession que la nullité crasse de ce que nous voyons actuellement contre les confrères.
derniere nouvelle reçue depuis mon post et amenant de l'eau au moulin de la reflexion:
copier-coller:
Depuis 2 jours tout le monde y va de sa petite phrase et de son analyse sur la proposition de monsieur Frédéric VAN ROEKEGHEM, Directeur Général de l’UNCAM, de ne plus rembourser qu'à 35 % les médicaments, à service médical faible, aux assurés en affection de longue durée (ALD).
Belle proposition qui fait parler d’elle mais qui a éclipsé tout le reste : 250 millions d’euros d’économies mais un plan de redressement à 3 milliards.
Et les 2,750 milliards restants ? Où sont-ils ?
Certes, pas cachés du tout, il suffit de savoir lire et écouter… mais bien lire et bien écouter… c’est en tout petit !
«Le nombre de séances de kiné après une intervention (prothèse de hanche, par exemple), très inégal d'un département à l'autre, pourrait être plafonné».
Après les honoraires de masso-kinésithérapie qui ont augmenté de 7,5 %, et qui auraient dérapé…selon le rapport des comptes de la sécu rité sociale 2007.
Après la proposition de la Mission d'évaluation et de contrôle de la Sécurité sociale (Mecss), « d'envisager de nouveaux transferts de charges », notamment en kinésithérapie, « en direction des assureurs complémentaires ».
Après la proposition de création d’un nouveau métier de « préventionniste » ou « d'éducateur médico-sportif », acteur de santé publique.
Voici venir l’annonce, dans le cadre du retour à l’équilibre de l’Assurance maladie en 2011 souhaité par le gouvernement, le plafonnement du nombre de séances par pathologie.
Les kinés ne sont plus dans le collimateur… Ils sont carrément sur la première ligne du front… où au poteau d’exécution… c’est selon…