marco a écrit :tu es gentil Thené mais place aux jeunes,c'est de leur avenir qu'on parle.
A eux de changer les formules qui ne fonctionnent pas ou plus.
Non non :
Faut pas appliquer la politique du "Après moi : le déluge."
Trop facile.
Bien au contraire!
Les jeunes ont besoin de l'expérience des anciens baroudeurs. Ces derniers n'ont plus rien à perdre et, s'ils aiment leur choix de pratique, ils doivent participer activement à sa défense et à son organisation.
Le respect de celles et ceux qui ont fait le choix de soigner ne doit pas être galevaudé.
De nos jours, il est nécessaire d'affirmer cette valeur.
Si, pour des raisons budgétaires, il est nécessaire de faire des économies ; il me parait que d'autres pistes soient plus adaptées telle la res-pon-sa-bi-li-sa-tion des patients comme des prescripteurs.
De plus, si évolution il y a ; l'expérience des anciens saura constituer un argumentaire fort et objectif au près des "technocrates d'opérette".
Mefiez vous !
Aujourd'hui, les décideurs doivent prendre des décisions dans l'urgence. Plus le temps de faire une étude sérieuse des dossiers.
Aussi, le nouveau "jeu" consiste à faire ce que je nome "de la décision par défaut".
Si personne ne rale ; on continue...
Si quelqu'un rale ; fallait venir m'en parler avant.
Bref, on passe sa vie à "sentir le souffe chaud dans la nuque"...Si tu vois ce que je veux dire...
Pensez aux "petits". Faites en sorte que "ça ne leur pique pas trop les yeux" tout de suite...
Vous : Il y a belles lurettes que "ça ne pique plus".
Alors :
Odile président. Marco suppléant
Odile président. Marco suppléant
Odile président. Marco suppléant
Odile président. Marco suppléant
Odile président. Marco suppléant
[quote="marco"]tu es gentil Thené mais place aux jeunes,c'est de leur avenir qu'on parle.
A eux de changer les formules qui ne fonctionnent pas ou plus.[/quote]
Non non :
Faut pas appliquer la politique du "Après moi : le déluge."
Trop facile.
Bien au contraire!
Les jeunes ont besoin de l'expérience des anciens baroudeurs. Ces derniers n'ont plus rien à perdre et, s'ils aiment leur choix de pratique, ils doivent participer activement à sa défense et à son organisation.
Le respect de celles et ceux qui ont fait le choix de soigner ne doit pas être galevaudé.
De nos jours, il est nécessaire d'affirmer cette valeur.
Si, pour des raisons budgétaires, il est nécessaire de faire des économies ; il me parait que d'autres pistes soient plus adaptées telle la res-pon-sa-bi-li-sa-tion des patients comme des prescripteurs.
De plus, si évolution il y a ; l'expérience des anciens saura constituer un argumentaire fort et objectif au près des "technocrates d'opérette".
Mefiez vous !
Aujourd'hui, les décideurs doivent prendre des décisions dans l'urgence. Plus le temps de faire une étude sérieuse des dossiers.
Aussi, le nouveau "jeu" consiste à faire ce que je nome "de la décision par défaut".
Si personne ne rale ; on continue...
Si quelqu'un rale ; fallait venir m'en parler avant.
Bref, on passe sa vie à "sentir le souffe chaud dans la nuque"...Si tu vois ce que je veux dire...
Pensez aux "petits". Faites en sorte que "ça ne leur pique pas trop les yeux" tout de suite...
Vous : Il y a belles lurettes que "ça ne pique plus".
Alors :
[b][size=200]Odile président. Marco suppléant[/size][/b]
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