par Alain Alvo » mar. oct. 07, 2008 9:00 pm
Rebonsoir Mid. Je t'ai fait cette réponse "rationnelle" parce que tu as dit choisir de "t'incliner et basta". Maintenant, tout dépend de l'ambiance qu'il règne dans ton département, lors des commissions paritaires départementales, et là tu peux en savoir plus, par le biais des "commissaires" paritaires de ton département : tu peux les contacter, même si tu n'es pas syndiquée FNO.
En règle générale, il me semble qu'il est, de toutes façons, préférable de demander à rencontrer le médecin-conseil qui a notifié la décision (ou, au pire, de lui téléphoner) pour "s'expliquer" car, AMHA, s'incliner en silence, sous-entend, quelque part, qu'on reconnaît "une espèce d'abus" (même involontaire) et laisse également entendre qu'une récidive n'est pas exclue ...
Le risque de ne pas réagir est donc d'avoir d'autres contrôles, et d'autres modifications de cotations.
(Dans mon département, lors des commissions paritaires, les médecins-conseils nous expliquent leur façon de procéder ; ils nous ont même demandé notre avis, quant aux refus qu'ils avaient notifiés, par rapport au contrat de bonne pratique, au vu de certains bilans orthophoniques "trop légers" ...)
Voilà Mid, à toi de peser le pour, le contre ... et le juste.
Moralité : Quand ta balance est au milieu, c'est un fléau qui bloque l'ortho.
Rebonsoir Mid. Je t'ai fait cette réponse "rationnelle" parce que tu as dit choisir de "t'incliner et basta". Maintenant, tout dépend de l'ambiance qu'il règne dans ton département, lors des commissions paritaires départementales, et là tu peux en savoir plus, par le biais des "commissaires" paritaires de ton département : tu peux les contacter, même si tu n'es pas syndiquée FNO.
En règle générale, il me semble qu'il est, de toutes façons, préférable de demander à rencontrer le médecin-conseil qui a notifié la décision (ou, au pire, de lui téléphoner) pour "s'expliquer" car, AMHA, s'incliner en silence, sous-entend, quelque part, qu'on reconnaît "une espèce d'abus" (même involontaire) et laisse également entendre qu'une récidive n'est pas exclue ...
Le risque de ne pas réagir est donc d'avoir d'autres contrôles, et d'autres modifications de cotations.
(Dans mon département, lors des commissions paritaires, les médecins-conseils nous expliquent leur façon de procéder ; ils nous ont même demandé notre avis, quant aux refus qu'ils avaient notifiés, par rapport au contrat de bonne pratique, au vu de certains bilans orthophoniques "trop légers" ...)
Voilà Mid, à toi de peser le pour, le contre ... et le juste.
Moralité : Quand ta balance est au milieu, c'est un fléau qui bloque l'ortho. :wink:
