par Vincent HOVASSE » dim. avr. 05, 2009 6:47 pm
Après la courge tu peux éventuellement faire
L'andouille
Faisant partie de la grande famille de la charcuterie, l’andouille, à ne surtout pas confondre avec l’andouillette, est composée en général, de chaudins – intestins – de tête, et de cœur de porc.
Salée, séchée et fumée, l’ensemble embosser dans un boyau noir, on trouve l’andouille dans toutes les régions de France : L’andouille de Charlieu, de la Sarthe, de Jargeau à base d’épaule et de poitrine, du massif centrale à la viande, du sud ouest à la couenne, basque au piment d’Espelette ou la sabardin de bœuf aromatisée au vin rouge.
Les deux plus célèbres sont les deux sœurs « ennemies » la Vire et la Guémené.
La bretonne est protégée par un label régional, et facilement reconnaissable à ses anneaux concentriques. Fumée au bois de hêtre ou de chêne, séchée pendant 9 mois et cuite lentement dans un bouillon parfumé au foin.
La normande moins chère que la bretonne est protégée par une AOC. Les morceaux sont coupés, salés et mis en macération. Embossées, fumées longuement au bois de hêtre, dessalées, et cuites au court-bouillon.
Après la courge tu peux éventuellement faire
[b][u] L'andouille[/u][/b]
Faisant partie de la grande famille de la charcuterie, l’andouille, à ne surtout pas confondre avec l’andouillette, est composée en général, de chaudins – intestins – de tête, et de cœur de porc.
Salée, séchée et fumée, l’ensemble embosser dans un boyau noir, on trouve l’andouille dans toutes les régions de France : L’andouille de Charlieu, de la Sarthe, de Jargeau à base d’épaule et de poitrine, du massif centrale à la viande, du sud ouest à la couenne, basque au piment d’Espelette ou la sabardin de bœuf aromatisée au vin rouge.
Les deux plus célèbres sont les deux sœurs « ennemies » la Vire et la Guémené.
La bretonne est protégée par un label régional, et facilement reconnaissable à ses anneaux concentriques. Fumée au bois de hêtre ou de chêne, séchée pendant 9 mois et cuite lentement dans un bouillon parfumé au foin.
La normande moins chère que la bretonne est protégée par une AOC. Les morceaux sont coupés, salés et mis en macération. Embossées, fumées longuement au bois de hêtre, dessalées, et cuites au court-bouillon.