par JMD » mar. sept. 29, 2009 7:41 pm
Au temps pour moi.
Le barème kilométrique couvre :
- la dépréciation du véhicule (amortissement),
- les dépenses courantes d’entretien et de réparation, y compris les frais de pneumatiques,
- les frais de carburant,
- les taxes et primes d’assurances.
Il ne couvre donc pas, a contrario :
- les frais de stationnement (location de parking, parcmètres, etc.)
- les intérêts des emprunts contractés pour l’acquisition du véhicule,
- les frais de réparation imprévus (accidents, etc.), à condition que cet imprévu soit lié à un déplacement professionnel.
Ces trois postes de frais peuvent donc s’ajouter au montant de la déduction calculée à partir du barème kilométrique. A condition naturellement de produire les justificatifs et de les “proratiser” en fonction du kilométrage parcouru à titre professionnel.
Au temps pour moi.
Le barème kilométrique couvre :
- la dépréciation du véhicule (amortissement),
- les dépenses courantes d’entretien et de réparation, y compris les frais de pneumatiques,
- les frais de carburant,
- les taxes et primes d’assurances.
Il ne couvre donc pas, a contrario :
- les frais de stationnement (location de parking, parcmètres, etc.)
- les intérêts des emprunts contractés pour l’acquisition du véhicule,
- les frais de réparation imprévus (accidents, etc.), à condition que cet imprévu soit lié à un déplacement professionnel.
Ces trois postes de frais peuvent donc s’ajouter au montant de la déduction calculée à partir du barème kilométrique. A condition naturellement de produire les justificatifs et de les “proratiser” en fonction du kilométrage parcouru à titre professionnel.