Les premiers Vega fonctionnaient ainsi : saisie sur une DEP stylisée, facturation sur une FDS digitalisée. Le logiciel que j'avais écrit auparavant (il y a plus de 20 ans maintenant) fonctionnait sous DOS et avait déjà ce type d'interfaçage. Vega sous Windows a au départ continué à exploiter ces formulaires digitalisés, mais nous avons abandonné ça avec SESAM-Vitale : trop de cas de figure ne "rentraient" plus dans ces formulaires. Etrangement, c'est à cette époque que certains de nos concurrents ont recopié ce que faisait Vega en matière de saisie/affichages sur formulaires réels

Je connais même un logiciel concurrent qui a longtemps été un "clone" de Vega, écrit par le frère d'un de nos propres clients ! Depuis les captures de ces masques de saisies initialement fabriqués par mes soins à la palette graphique, jusqu'à l'ordre des colonnes du "tableau de bord", alias liste des traitements.
Les premières maquettes internes de Vega pour Windows avaient une interface "photo réaliste". Il y a 15 ans... Vous ne l'avez jamais vue, c'est vrai

J'avais même poussé le vice jusqu'à faire disparaître du logiciel les boutons [Valider] et [Annuler]. Quand on remplit une fiche bristol, on le la "valide pas", n'est-ce pas ?
En pratique, ce type d'interface sympa est vite pénible à utiliser. C'est super dans un utilitaire, mais vite lourd dans un logiciel de gestion.
Pour les saisies sur DEP, DAP ou FDS digitalisées, la plupart des utilisateurs n'ont pas des écrans assez grands ou assez précis pour afficher tout le formulaire : les défilements sont alors franchement pénibles. Testez le remplissage de certains formulaires Cerfa en ligne (impôts p. ex.) pour essayer.
Le principe me plait beaucoup : je l'ai implémenté dans mes premiers Vega, et il est simple d'apprentissage. Mais les limites en sont très (trop) vite atteintes : pratique pour des cotations de kiné, souvent irréaliste pour des infirmières. Sans compter l'obscure gestion des complémentaires et des cas "tordus" de couverture sociale.
A creuser cependant, c'est typiquement le genre de réflexion qui permet de réellement améliorer un logiciel.
Les premiers Vega fonctionnaient ainsi : saisie sur une DEP stylisée, facturation sur une FDS digitalisée. Le logiciel que j'avais écrit auparavant (il y a plus de 20 ans maintenant) fonctionnait sous DOS et avait déjà ce type d'interfaçage. Vega sous Windows a au départ continué à exploiter ces formulaires digitalisés, mais nous avons abandonné ça avec SESAM-Vitale : trop de cas de figure ne "rentraient" plus dans ces formulaires. Etrangement, c'est à cette époque que certains de nos concurrents ont recopié ce que faisait Vega en matière de saisie/affichages sur formulaires réels :D Je connais même un logiciel concurrent qui a longtemps été un "clone" de Vega, écrit par le frère d'un de nos propres clients ! Depuis les captures de ces masques de saisies initialement fabriqués par mes soins à la palette graphique, jusqu'à l'ordre des colonnes du "tableau de bord", alias liste des traitements.
Les premières maquettes internes de Vega pour Windows avaient une interface "photo réaliste". Il y a 15 ans... Vous ne l'avez jamais vue, c'est vrai :roll: J'avais même poussé le vice jusqu'à faire disparaître du logiciel les boutons [Valider] et [Annuler]. Quand on remplit une fiche bristol, on le la "valide pas", n'est-ce pas ? :D
En pratique, ce type d'interface sympa est vite pénible à utiliser. C'est super dans un utilitaire, mais vite lourd dans un logiciel de gestion.
Pour les saisies sur DEP, DAP ou FDS digitalisées, la plupart des utilisateurs n'ont pas des écrans assez grands ou assez précis pour afficher tout le formulaire : les défilements sont alors franchement pénibles. Testez le remplissage de certains formulaires Cerfa en ligne (impôts p. ex.) pour essayer.
Le principe me plait beaucoup : je l'ai implémenté dans mes premiers Vega, et il est simple d'apprentissage. Mais les limites en sont très (trop) vite atteintes : pratique pour des cotations de kiné, souvent irréaliste pour des infirmières. Sans compter l'obscure gestion des complémentaires et des cas "tordus" de couverture sociale.
A creuser cependant, c'est typiquement le genre de réflexion qui permet de réellement améliorer un logiciel.