par Invité » mar. nov. 08, 2011 8:54 pm
D'un sujet à l'autre toujours cette notion de clientèle. Je remarque au passage qu'il s'agit bien d'une notion de clientèle et non de patientèle (terme que je trouve tout aussi hypocrite que vous trouvez hypocrite la notion de présentation de clientèle).
Cela étant, comme vous le réaffirmez, la clientèle est constituée de clients/patients qui n'appartiennent à personne et qui font ce qu'il veulent.
Le vendeur vends alors un carnet d'adresse, une renomée, et rien d'autre, les patients n'étant pas attachés au cabinet.
Pourquoi ce vendeur ne peut-il pas s'installer deux rues à côté de son ancien cabinet? Simplement parce qu'il ne faut pas qu'il puisse faire de la concurrence déloyale à l'acheteur en récupérant sa clientèle, laquelle a été supposée vendue.
Supposée, oui, simplement supposée vendue, car si elle avait réellement été vendue l'acheteur ne pourrait pas craindre la récupération de celle-ci par l'ancien "propriétaire", qui n'est d'ailleurs propriétaire de rien sinon de la qualité des soins qu'il prodigue et qui fait que les clients lui sont fidèles.
C'est en cela que je parle de vente de droit à la présentation à la clientèle. Ce terme vous parraît hypocrite, soit! Pour moi vente de clientèle me parraît mensonger. Ce n'est qu'une question de termes, me direz vous, mais je pense que les mots ont un sens, et que sans être juriste je peux débattre sur le sens des mots.
Comme vous le dites, la loi est la loi et a toujours raison même lorsqu'elle a tort.
Dans ce cas, a-t-elle tort d'avoir raison ou raison d'avoir tort?
D'un sujet à l'autre toujours cette notion de clientèle. Je remarque au passage qu'il s'agit bien d'une notion de clientèle et non de patientèle (terme que je trouve tout aussi hypocrite que vous trouvez hypocrite la notion de présentation de clientèle).
Cela étant, comme vous le réaffirmez, la clientèle est constituée de clients/patients qui n'appartiennent à personne et qui font ce qu'il veulent.
Le vendeur vends alors un carnet d'adresse, une renomée, et rien d'autre, les patients n'étant pas attachés au cabinet.
Pourquoi ce vendeur ne peut-il pas s'installer deux rues à côté de son ancien cabinet? Simplement parce qu'il ne faut pas qu'il puisse faire de la concurrence déloyale à l'acheteur en récupérant sa clientèle, laquelle a été supposée vendue.
Supposée, oui, simplement supposée vendue, car si elle avait réellement été vendue l'acheteur ne pourrait pas craindre la récupération de celle-ci par l'ancien "propriétaire", qui n'est d'ailleurs propriétaire de rien sinon de la qualité des soins qu'il prodigue et qui fait que les clients lui sont fidèles.
C'est en cela que je parle de vente de droit à la présentation à la clientèle. Ce terme vous parraît hypocrite, soit! Pour moi vente de clientèle me parraît mensonger. Ce n'est qu'une question de termes, me direz vous, mais je pense que les mots ont un sens, et que sans être juriste je peux débattre sur le sens des mots.
Comme vous le dites, la loi est la loi et a toujours raison même lorsqu'elle a tort.
Dans ce cas, a-t-elle tort d'avoir raison ou raison d'avoir tort?