Marco, j'ai repris la plume pour l'occasion et t'ai bricolé une petite chanson que, j'espère, tu te chanteras en souvenir de ton petit chien.
Le grand Georges ne m'en voudra pas de lui avoir emprunté sa chanson,et même si mes rimes ne valent pas les siennes, ses paroles d'origine me semblaient bien adaptées à Popeye...je les ai un peu trafiquées à ma façon.
En toute amitié.
MON COPAIN D’ALORS
Non ce n’était pas le nabot
De la cambuse ce cabot,
Qu’on se le dise sur tous les posts,
Dise sur tous les posts.
Se baladait en père peinard
Avec son maître le montagnard
Et s’app’lait Popeye, chien en or,
Mon copain d’alors.
Ses aboiements et ses murmures,
C’était pas d’la littérature,
N’en déplaise aux jeteurs de sorts,
Aux jeteurs de sorts
Avec son maître, le Marco,
Il s’en allait faire des photos,
Un vrai ami, franco de port,
Mon copain d’alors.
Cétait pas un p’tit chien de luxe,
Un petit Castor ou Pollux,
Un chien de mémère qui mord,
De mémère qui mord,
C’était bien un ami choisi,
Sur la montagne des Saisies,
Sur les pentes il aboyait fort,
Mon copain d’alors.
C’était pas un toutou non plus,
Les grandes villes il avait pas vu,
Mais il était tout l’temps dehors,
Tout le temps dehors,
De Picardie jusqu’aux Saisies,
C’était vraiment mon seul ami,
Mon poto, mon petit cador,
Mon copain d’alors.
Et sur les pas du Montagnard,
C’est l’amitié qui prenait l’quart,
C’est elle qui nous montrait le nord,
Nous montrait le nord
Et quand on allait à la messe,
C’était pas pour dire confesse,
Mais pour boire un coup au dehors,
Mon copain d’alors.
Au rendez-vous des bons copains,
Tu n’nous poseras pas de lapin,
Ta photo toujours restera,
Toujours restera,
Oui car jamais au grand jamais,
Ton post ne sera refermé,
Cent ans après, coquin de sort,
Tu m’manqueras encor’.
Des clébards j’en ai vus beaucoup,
Mais le seul qu’ait valu le coup,
Qui n’ait jamais quitté le Nord,
N’ait quitté le Nord,
Se baladait en père peinard
Avec son maître, le montagnard,
Et s’appelait Popeye au cœur d’or,
Mon copain d’alors.
Marco, j'ai repris la plume pour l'occasion et t'ai bricolé une petite chanson que, j'espère, tu te chanteras en souvenir de ton petit chien.
Le grand Georges ne m'en voudra pas de lui avoir emprunté sa chanson,et même si mes rimes ne valent pas les siennes, ses paroles d'origine me semblaient bien adaptées à Popeye...je les ai un peu trafiquées à ma façon. :?
En toute amitié.
MON COPAIN D’ALORS
Non ce n’était pas le nabot
De la cambuse ce cabot,
Qu’on se le dise sur tous les posts,
Dise sur tous les posts.
Se baladait en père peinard
Avec son maître le montagnard
Et s’app’lait Popeye, chien en or,
Mon copain d’alors.
Ses aboiements et ses murmures,
C’était pas d’la littérature,
N’en déplaise aux jeteurs de sorts,
Aux jeteurs de sorts
Avec son maître, le Marco,
Il s’en allait faire des photos,
Un vrai ami, franco de port,
Mon copain d’alors.
Cétait pas un p’tit chien de luxe,
Un petit Castor ou Pollux,
Un chien de mémère qui mord,
De mémère qui mord,
C’était bien un ami choisi,
Sur la montagne des Saisies,
Sur les pentes il aboyait fort,
Mon copain d’alors.
C’était pas un toutou non plus,
Les grandes villes il avait pas vu,
Mais il était tout l’temps dehors,
Tout le temps dehors,
De Picardie jusqu’aux Saisies,
C’était vraiment mon seul ami,
Mon poto, mon petit cador,
Mon copain d’alors.
Et sur les pas du Montagnard,
C’est l’amitié qui prenait l’quart,
C’est elle qui nous montrait le nord,
Nous montrait le nord
Et quand on allait à la messe,
C’était pas pour dire confesse,
Mais pour boire un coup au dehors,
Mon copain d’alors.
Au rendez-vous des bons copains,
Tu n’nous poseras pas de lapin,
Ta photo toujours restera,
Toujours restera,
Oui car jamais au grand jamais,
Ton post ne sera refermé,
Cent ans après, coquin de sort,
Tu m’manqueras encor’.
Des clébards j’en ai vus beaucoup,
Mais le seul qu’ait valu le coup,
Qui n’ait jamais quitté le Nord,
N’ait quitté le Nord,
Se baladait en père peinard
Avec son maître, le montagnard,
Et s’appelait Popeye au cœur d’or,
Mon copain d’alors.