Le dernier train
Le dernier train
Le dernier train
Ton corps recroquevillé n'est plus que douleurs
Contre lesquelles mes mains, pauvres mains,
Ne peuvent plus rien.
Des doses massives de dérivés morphiniques
Ont pris leur relais et t'aident
De te rapprocher de cet instant
Qui te libérera enfin de ce monde inhumain.
Je suis à tes côtés, tes yeux sont fermés,
Ta respiration est lente et paisible.
Tu es détendue; pour une fois.
Nous le savons, le grand voyage est imminent.
Tu ne seras pas seule pour l'heure du départ.
Je resterai là, comme l'on reste sur le quai d'une gare
A attendre que le train arrive et happe l'autre
Pour une destination inconnue et toujours trop lointaine.
Depuis combien de temps nous connaissons nous?
Depuis combien de temps nous aimons nous?
Tu étais une belle femme, gracieuse, sensuelle et désirable,
Gaie, souriante, toujours d'humeur égale,
Et moi un gamin, un praticien inexpérimenté,
Lorsque mes mains ont glissé le long de ton corps
Pour la première fois. Elles y ont glissé
S'y sont promenées, l'ont découvert
S'y sont perdues, l'ont aimé et s'y sont attachées.
Plaisir, frissons, émotion intense et partagée.
Corps magnifique, lisse et doux d'une femme
Aussi belle et fascinante qu'une aurore boréale.
Plaisir et désir partagés, plaisir et désir refoulés.
Amants d'un jour, que serions nous devenus?
A l'aube de ta vie, je t'aime toujours ma belle.
J'aime ton visage fripé et creusé par ses rides,
J'aime tes mains fines et toujours aussi douces
J'aime ta chevelure blanche et satinée
J'aime ton corps maigre et délabré.
Je t'aime d'avoir été et de m'avoir fait être
Je t'aime pour ce que tu m'as fait devenir.
Oui, après tant d'année de vie séparée je t'aime
Comme je t'aimais lorsque je te rêvais.
Pour notre ultime rencontre je passerai la nuit à tes côtés,
La première qui aura existé, la première que nous nous serons permise.
La première, la seule et la dernière à la fois.
Mes mains glissent sur ton corps déchiré pour te rassurer.
Tu es déjà partie, comme tu l'as toujours fait,
Discrètement, sans mot dire, sans prévenir, pour revenir
Plus tard, un autre jour, toujours sans prévenir.
Mais tu ne reviendras pas.
Je t'embrasse une dernière fois,
Je ne pleure pas, tu ne l'aurais pas voulu.
Je garderai ton souvenir,
Heureux de t'avoir rencontrée, heureux de t'avoir vécue
Heureux de t'avoir accompagnée prendre ce dernier train.
Meilleurs années ma tendre amie.
Ton corps recroquevillé n'est plus que douleurs
Contre lesquelles mes mains, pauvres mains,
Ne peuvent plus rien.
Des doses massives de dérivés morphiniques
Ont pris leur relais et t'aident
De te rapprocher de cet instant
Qui te libérera enfin de ce monde inhumain.
Je suis à tes côtés, tes yeux sont fermés,
Ta respiration est lente et paisible.
Tu es détendue; pour une fois.
Nous le savons, le grand voyage est imminent.
Tu ne seras pas seule pour l'heure du départ.
Je resterai là, comme l'on reste sur le quai d'une gare
A attendre que le train arrive et happe l'autre
Pour une destination inconnue et toujours trop lointaine.
Depuis combien de temps nous connaissons nous?
Depuis combien de temps nous aimons nous?
Tu étais une belle femme, gracieuse, sensuelle et désirable,
Gaie, souriante, toujours d'humeur égale,
Et moi un gamin, un praticien inexpérimenté,
Lorsque mes mains ont glissé le long de ton corps
Pour la première fois. Elles y ont glissé
S'y sont promenées, l'ont découvert
S'y sont perdues, l'ont aimé et s'y sont attachées.
Plaisir, frissons, émotion intense et partagée.
Corps magnifique, lisse et doux d'une femme
Aussi belle et fascinante qu'une aurore boréale.
Plaisir et désir partagés, plaisir et désir refoulés.
Amants d'un jour, que serions nous devenus?
A l'aube de ta vie, je t'aime toujours ma belle.
J'aime ton visage fripé et creusé par ses rides,
J'aime tes mains fines et toujours aussi douces
J'aime ta chevelure blanche et satinée
J'aime ton corps maigre et délabré.
Je t'aime d'avoir été et de m'avoir fait être
Je t'aime pour ce que tu m'as fait devenir.
Oui, après tant d'année de vie séparée je t'aime
Comme je t'aimais lorsque je te rêvais.
Pour notre ultime rencontre je passerai la nuit à tes côtés,
La première qui aura existé, la première que nous nous serons permise.
La première, la seule et la dernière à la fois.
Mes mains glissent sur ton corps déchiré pour te rassurer.
Tu es déjà partie, comme tu l'as toujours fait,
Discrètement, sans mot dire, sans prévenir, pour revenir
Plus tard, un autre jour, toujours sans prévenir.
Mais tu ne reviendras pas.
Je t'embrasse une dernière fois,
Je ne pleure pas, tu ne l'aurais pas voulu.
Je garderai ton souvenir,
Heureux de t'avoir rencontrée, heureux de t'avoir vécue
Heureux de t'avoir accompagnée prendre ce dernier train.
Meilleurs années ma tendre amie.
Confrère invité
Tu nous offres à lire une nouvelle composition – cette fois elle me dérange à plusieurs titres.
Et je sais que mes présents propos risquent de dénoter parmi les posts élogieux qui ne manqueront pas de suivre.
Il semble que ton regard se tourne (avec jubilation ?) vers les tableaux représentant l’humanité dans sa souffrance, ses échecs – ta poésie chante un monde sans salut, maudit, croulant sous la malédiction.
Bien sûr, à chacun ses sources d’inspiration - Ici certains s’émerveillent en contemplant les ciels crépusculaires ou les montagnes grandioses et nous en font part aussi…la destinée et la condition humaines en est une aussi et depuis toujours - mais prends garde de ne point glisser sur son versant obscur.
Car dans les termes de ton récit, tu informes que tu es masseur – et il semble que cette position professionnelle t’entraîne vers des liens praticien/patient, qui même s’ils restent implicites (platoniques?), franchissent des dimensions relationnelles que j’en m’engage à qualifier d’équivoques.
Les paraméd sont reconnus et appréciés pour leur disponibilité, leur écoute, leur attention, leur sympathie, leur empathie, leur complicité, leur compassion, leur énergie contagieuse, mais il est essentiel que dans leur tête la relation qui les lie aux patients soit toujours limpide.
Bonne année quand même, poète lugubre, que tes mains apaisent bien et longtemps les souffrances humaines et écrivent de belles histoires.
Tu nous offres à lire une nouvelle composition – cette fois elle me dérange à plusieurs titres.
Et je sais que mes présents propos risquent de dénoter parmi les posts élogieux qui ne manqueront pas de suivre.
Il semble que ton regard se tourne (avec jubilation ?) vers les tableaux représentant l’humanité dans sa souffrance, ses échecs – ta poésie chante un monde sans salut, maudit, croulant sous la malédiction.
Bien sûr, à chacun ses sources d’inspiration - Ici certains s’émerveillent en contemplant les ciels crépusculaires ou les montagnes grandioses et nous en font part aussi…la destinée et la condition humaines en est une aussi et depuis toujours - mais prends garde de ne point glisser sur son versant obscur.
Car dans les termes de ton récit, tu informes que tu es masseur – et il semble que cette position professionnelle t’entraîne vers des liens praticien/patient, qui même s’ils restent implicites (platoniques?), franchissent des dimensions relationnelles que j’en m’engage à qualifier d’équivoques.
Les paraméd sont reconnus et appréciés pour leur disponibilité, leur écoute, leur attention, leur sympathie, leur empathie, leur complicité, leur compassion, leur énergie contagieuse, mais il est essentiel que dans leur tête la relation qui les lie aux patients soit toujours limpide.
Bonne année quand même, poète lugubre, que tes mains apaisent bien et longtemps les souffrances humaines et écrivent de belles histoires.
BIZETTES LORRAINES DE LORD TITJO
- Alain Alvo
-
- Messages : 3068
- Enregistré le : mer. sept. 18, 2002 8:03 am
- Profimage : O
Bonjour TITJO et bonjour invité poète.
Souvent, les "psys" conseillent, lorsqu'on a une pensée triste et/ou qui nous angoisse, d'écrire cette pensée sur un papier puis de déchirer, voire de brûler ce papier ... Pourquoi cela ? Parce-que leur théorie (que je ne fais que citer, en toute neutralité) est que nous nous identifions totalement, dans notre être tout entier, à cette pensée, et, que pour l'évacuer de nous et donc, redevenir et rester nous-mêmes, en tant qu'êtres humains et non en tant que pensée personnifiée, il faut la faire sortir par ce "système symbolique"
AMHA, nous avons tous des sentiments et des pensées, tant négatives que positives ; certaines sont exprimées, certaines sont refoulées ... Peut-être que notre poète invité a trouvé une autre forme de papier pour écrire, un papier qui ne se déchire pas ni ne se brûle, un papier qui fait réfléchir et qui peut parfois déranger, parce que ce qu'il contient est fort et surtout très humain.
C'est à nous de comprendre, c'est à nous de réfléchir. Ce qui est certain, c'est que notre poète invité, par l'humanité et la force des mots qu'il utilise, est également rempli de l'autre versant, le positif, et je suis persuadé qu'il sait réconforter ses patients et ceux qui en ont besoin, avec la même force et le même talent.
Enfin, cher poète invité, je tiens également à t'exprimer toute mon admiration pour ton talent, mais aussi et peut-être surtout, pour ton courage, car il est AMHA beaucoup plus simple d'écrire des plaisanteries, des piques et des messages frisant la démagogie, que d'aller chercher au plus profond de son être, des sentiments et des pensées qui font mal mais qui sont réels, puisque chacun de nous peut y être confronté.
Moralité : Un jour Descartes a écrit : "je pense donc je suis" ...
Souvent, les "psys" conseillent, lorsqu'on a une pensée triste et/ou qui nous angoisse, d'écrire cette pensée sur un papier puis de déchirer, voire de brûler ce papier ... Pourquoi cela ? Parce-que leur théorie (que je ne fais que citer, en toute neutralité) est que nous nous identifions totalement, dans notre être tout entier, à cette pensée, et, que pour l'évacuer de nous et donc, redevenir et rester nous-mêmes, en tant qu'êtres humains et non en tant que pensée personnifiée, il faut la faire sortir par ce "système symbolique"
AMHA, nous avons tous des sentiments et des pensées, tant négatives que positives ; certaines sont exprimées, certaines sont refoulées ... Peut-être que notre poète invité a trouvé une autre forme de papier pour écrire, un papier qui ne se déchire pas ni ne se brûle, un papier qui fait réfléchir et qui peut parfois déranger, parce que ce qu'il contient est fort et surtout très humain.
C'est à nous de comprendre, c'est à nous de réfléchir. Ce qui est certain, c'est que notre poète invité, par l'humanité et la force des mots qu'il utilise, est également rempli de l'autre versant, le positif, et je suis persuadé qu'il sait réconforter ses patients et ceux qui en ont besoin, avec la même force et le même talent.
Enfin, cher poète invité, je tiens également à t'exprimer toute mon admiration pour ton talent, mais aussi et peut-être surtout, pour ton courage, car il est AMHA beaucoup plus simple d'écrire des plaisanteries, des piques et des messages frisant la démagogie, que d'aller chercher au plus profond de son être, des sentiments et des pensées qui font mal mais qui sont réels, puisque chacun de nous peut y être confronté.
Moralité : Un jour Descartes a écrit : "je pense donc je suis" ...


- marie laure
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- Messages : 2238
- Enregistré le : lun. mars 26, 2007 1:48 pm
- Profimage : I
- Localisation : LOT ET GARONNE
j'ai essayé de suivre ta logique et donc de comprendre et de réfléchir..suis pas douée...désolée!!!Alain Alvo a écrit :Bonjour TITJO et bonjour invité poète.
C'est à nous de comprendre, c'est à nous de réfléchir. Ce qui est certain, c'est que notre poète invité, par l'humanité et la force des mots qu'il utilise, est également rempli de l'autre versant, le positif, et je suis persuadé qu'il sait réconforter ses patients et ceux qui en ont besoin, avec la même force et le même talent.
Enfin, cher poète invité, je tiens également à t'exprimer toute mon admiration pour ton talent, mais aussi et peut-être surtout, pour ton courage, car il est AMHA beaucoup plus simple d'écrire des plaisanteries, des piques et des messages frisant la démagogie, que d'aller chercher au plus profond de son être, des sentiments et des pensées qui font mal mais qui sont réels, puisque chacun de nous peut y être confronté.
Moralité : Un jour Descartes a écrit : "je pense donc je suis" ...

y a quand même une réflexion qui me taraude..pourquoi vouloir absolument qu'un poème soit un vécu???..Notre poête qui écrit avec beaucoup de talent est peut être un orthophoniste, un infirmier, ou un lecteur lambda(cheminot??) du forum qui se met à la place d'un kiné...(ils savent écrire les kinés???

Alors, vu ces écrits, qui pour l'instant tourne autour du mélodrame, j'ai juste envi de demander à notre poête un écrit plus gai...genre:
elle partait cheveux au vent
douce et tendre en souriant
rejoindre ses clients
malades mais contents
de voir la joie rentrer dans leur maison
malade oui, mais heureux avec raison
d'avoir une bise pour le nouvel an...
ouais, bof, je suis plus douée pour les piques



je suis sure qu'il doit avoir des poèmes gais dans ses tiroirs.!!..
Bonne année poetique, gentil inconnu
tigger lily chubb
- Alain Alvo
-
- Messages : 3068
- Enregistré le : mer. sept. 18, 2002 8:03 am
- Profimage : O
Bonsoir marie laure, il me semble que la volonté d'un vécu n'est pas aussi obligatoire que tu le penses ; on peut avoir des espoirs, des craintes, des fausses joies telles les déceptions, des peurs et mêmes de vraies angoisses mais non fondées.marie laure a écrit :pourquoi vouloir absolument qu'un poème soit un vécu???..
Pour reprendre la "théorie psy" (là encore en toute neutralité) le problème, c'est lorsque ces pensées négatives sont si fortes, qu'elles envahissent l'être tout entier, au point qu'il devient, lui-même, ces pensées négatives, voire morbides. Alors, toujours selon cette théorie, le fait de les écrire, les éloigne de l'être qu'elles avaient envahi.
Voilà, je ne dis pas que j'adhère à cette théorie, parce que je ne suis ni psy ni anti-psy. Ce que je dis, c'est que, les écrits, comme les pièces de théâtre ou les films, ne sont pas toujours gais ni toujours tristes ; ils ne sont pas non plus forcément basés sur des faits réels. Mais il y a des gens qui savent, par leurs messages, leurs pièces ou leurs films, faire remonter en nous, des sentiments avec lesquels nous vivions, sans vraiment y penser.
A partir de là, chacun, selon sa personnalité et sa sensibilité, adhère, conçoit ou refuse ...
Moralité : On peut pleurer de rire comme on peut rire jaune, l'important, c'est de savoir pourquoi.
Moralité 2 : En ce qui la concerne, la grenouille préfère rire, elle ne sait pas pourquoi, mais c'est comme ça !


- Vincent HOVASSE
-
- Messages : 5248
- Enregistré le : dim. mai 27, 2007 5:18 pm
- Profimage : K
- Localisation : 66000
Personnellement si je trouve ces poèmes très beau, ils me gênent beaucoup par leur tristesse infinie.
Comme Marie Laure, je trouve qu'il y manque un peu des joies dont nos métiers sont remplis, petites et grandes joies, petits moments de bonheur que nous apportons à nos patients et que nos patients nous apportent.
Mais peut être que notre invité n'est pas dans le paramédical?
C'est vrai que j'aimerais en "savoir" un peu plus sur lui pour le connaitre. Je serais très heureux qu'il s'inscrive sous un pseudo et nous parle un peu.
En accord avec la grenouille, le fait d'écrire ce que nous portons en nous, permet de se débarrasser de ces pensées qui peuvent aller jusqu'à obséder en toute inconscience, il est important d'écrire ce que l'on pense et ce que l'on ressent à défaut de pouvoir en parler.
Je noterais pour finir, et ce n'est pas une critique, qu'il est plus facile de faire de la prose sur ce genre de sujet que sur la joie et le bonheur. C'est ainsi que lors du remariage de mon meilleur ami (veuf), j'ai fait pleurer les mariés en écrivant dans le journal qu'ils avaient mis à disposition des invités, (j'ai été dans les premiers à écrire et ensuite plus personne n'a rien osé écrire). Et pourtant cela parlait de bonheur et de joie, le leur et la mienne.
Comme Marie Laure, je trouve qu'il y manque un peu des joies dont nos métiers sont remplis, petites et grandes joies, petits moments de bonheur que nous apportons à nos patients et que nos patients nous apportent.
Mais peut être que notre invité n'est pas dans le paramédical?
C'est vrai que j'aimerais en "savoir" un peu plus sur lui pour le connaitre. Je serais très heureux qu'il s'inscrive sous un pseudo et nous parle un peu.
En accord avec la grenouille, le fait d'écrire ce que nous portons en nous, permet de se débarrasser de ces pensées qui peuvent aller jusqu'à obséder en toute inconscience, il est important d'écrire ce que l'on pense et ce que l'on ressent à défaut de pouvoir en parler.
Je noterais pour finir, et ce n'est pas une critique, qu'il est plus facile de faire de la prose sur ce genre de sujet que sur la joie et le bonheur. C'est ainsi que lors du remariage de mon meilleur ami (veuf), j'ai fait pleurer les mariés en écrivant dans le journal qu'ils avaient mis à disposition des invités, (j'ai été dans les premiers à écrire et ensuite plus personne n'a rien osé écrire). Et pourtant cela parlait de bonheur et de joie, le leur et la mienne.
Plus d'interrogation:
Pour la convivialité et l'échange quoi qu'en pensent certains!
Pour la convivialité et l'échange quoi qu'en pensent certains!
- Odile N.
-
- Messages : 515
- Enregistré le : ven. mars 01, 2002 10:16 am
- Profimage : K
- Localisation : GEVAUDAN
Chacun sa sensibilité, chacun son style...............
Que serait la littérature sans les drames, les tragédies.............
La poésie sans les odes à l'amour blessé, déchiré............
La variété sans les chansons de Brel, de Piaf (pour la plupart pas très gaies) .............
Je ne sais pas ce qui est le plus facile à écrire, si ce sont des textes d’inspiration gaie ou triste mais ce que l’on peut dire c’est que notre invité excelle dans le style que lui a inspiré cette rencontre.
Histoire vécue (Eh alors, j’ai vraiment l’impression qu’il a su malgré tout respecter nos règles déontologiques, sinon ça ne m’offusque pas que deux personnes adultes et consentantes les aient refusées et aient acceptés de vivre une histoire qui les dépasse) ou transcendée dans ses écrits.
Beau, très beau.
Mais, effectivement, en littérature, en chansons, au cinéma, je préfère la mélancolie, la tristesse, les sentiments tourmentés, les drames ………………. à la comédie, au rire, aux humoristes qui, de ce fait, doivent être excellents pour me séduire
Que serait la littérature sans les drames, les tragédies.............
La poésie sans les odes à l'amour blessé, déchiré............
La variété sans les chansons de Brel, de Piaf (pour la plupart pas très gaies) .............
Je ne sais pas ce qui est le plus facile à écrire, si ce sont des textes d’inspiration gaie ou triste mais ce que l’on peut dire c’est que notre invité excelle dans le style que lui a inspiré cette rencontre.
Histoire vécue (Eh alors, j’ai vraiment l’impression qu’il a su malgré tout respecter nos règles déontologiques, sinon ça ne m’offusque pas que deux personnes adultes et consentantes les aient refusées et aient acceptés de vivre une histoire qui les dépasse) ou transcendée dans ses écrits.
Beau, très beau.
Mais, effectivement, en littérature, en chansons, au cinéma, je préfère la mélancolie, la tristesse, les sentiments tourmentés, les drames ………………. à la comédie, au rire, aux humoristes qui, de ce fait, doivent être excellents pour me séduire
- CATHY
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- Messages : 160
- Enregistré le : dim. déc. 14, 2008 5:17 pm
- Profimage : I
- Localisation : Lot et Garonne
bonjour; le poème de notre invité me met franchement mal à l'aise surtout si c'est un professionnel de la santé qui s'exprime sur une de ses patientes; si par contre, c'est un homme qui s'exprime sur sa compagne entrain de mourir, c'est effectivement un beau poème et une belle déclaration d'amour.
cathy