le CDO m'adresse une toute fraiche consœur tentée par le libéral mais qui craint d'y louper son entrée - sur ce point on la comprend pour y être tous passés.
Je lui propose un aménagement qui évoluerait d'un assistanat initial standard à une reprise exclusive à bon compte au terme de mon activité - d'abord elle trouve ça OK -
Puis elle bute sur la close de non installation ---> pas question, desfois que....que quoi? qu'elle s'épaississe un fichier de patients chez moi à qui elle annonce dans quelques mois qu'ils peuvent la suivre dans un beau local à 200m d'ici? surtout que mes réserves territoriales de non implantation sont presque symboliques (pratiquement à mi-distance des cabinets voisins, soit un rayon de 10-12km peuplé d'orge et de colza) et que je ne compte pas plus sévir encore trés longtemps...
En fait, à l'écouter, elle a déjà coincé sur cette rubrique du contrat avec plusieurs confrères avant de me rencontrer. Voudrait-elle le beurre et l'argent du beurre?
Dommage- une transition en douceur, à mes débuts, j'aurais apprécié.
Ma question est posée à tous les paraméd du forum:
- persévérer avec elle sur ce projet d'assistanat initial (merci dans ce cas de ma suggérer des arguments expérimentés chez ceux qui connaissent cette formule)
- lui objecter que maintenant que l'idée s'est organisée dans ma tête, je cherche un autre assistant moins compliqué.
- accepter ses conditions? (mais là il faut m'expliquer pourquoi)
- autres façons de voir liées à un vécu...
close de non concurrence
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BIZETTES LORRAINES DE LORD TITJO
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Vincent HOVASSE
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Denys.IDEL
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Dans ton cas la clause de non concurrence semble plutôt symbolique : tu es seul dans un rayon de 12-12 Kms et tu es, semble t-il près de la retraite (surement bien mérité 
)
2éme facteur: y a t-il un potentiel (dans ton cabinet ) d'un 2éme kiné ?
Mais je pense qu'il est important que tu mettes cette close de non concurrence pour faire comprendre à cette future jeune libérale que ce n'est pas elle qui doit imposer ses conditions: Je crois que dans les contrats types , cette close est toujours spécifiée .
)2éme facteur: y a t-il un potentiel (dans ton cabinet ) d'un 2éme kiné ?
Mais je pense qu'il est important que tu mettes cette close de non concurrence pour faire comprendre à cette future jeune libérale que ce n'est pas elle qui doit imposer ses conditions: Je crois que dans les contrats types , cette close est toujours spécifiée .
Doucement le matin , pas trop vite l'après-midi
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marie laure
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Vincent HOVASSE
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Visiblement en campagne, ta clause de NC ressemble fortement à la surface de la commune, elle parait donc tout à fait justifiée.
Cette clause existe dans tous les contrats, même dans les contrats de remplacements, elle est légale du moment qu'elle n'est pas exagérée en distance et dans le temps.
Ceci dit, quand cela commence à pinailler, la collaboration part me semble t-il du mauvais pied.
Peut être devrais-tu sonder un peu plus sur les exigences de cette jeune consœur (manière de travailler, motivation à faire des domiciles, envie d'investissement personnel, horaires et vacances désirés).
Si ça boite au départ, il y a de fortes chances de tomber en cours de route.
Ton CDO peut te fournir, non pas un contrat type, mais un listing des clauses importantes à prévoir dans un contrat de collaboration, rapproche toi d'eux.
Il faut aussi faire valoir que lors de ton départ, cette consœur n'aura aucune perte de revenus, puisque déjà installée. Et peut être la possibilité alors de prendre un collaborateur à ta place donc toucher une rétrocession qui payera en partie ses frais de rachat de clientèle.
Tout ça me parait bien intéressant au regard d'une clause de NC.
Cette clause existe dans tous les contrats, même dans les contrats de remplacements, elle est légale du moment qu'elle n'est pas exagérée en distance et dans le temps.
Ceci dit, quand cela commence à pinailler, la collaboration part me semble t-il du mauvais pied.
Peut être devrais-tu sonder un peu plus sur les exigences de cette jeune consœur (manière de travailler, motivation à faire des domiciles, envie d'investissement personnel, horaires et vacances désirés).
Si ça boite au départ, il y a de fortes chances de tomber en cours de route.
Ton CDO peut te fournir, non pas un contrat type, mais un listing des clauses importantes à prévoir dans un contrat de collaboration, rapproche toi d'eux.
Il faut aussi faire valoir que lors de ton départ, cette consœur n'aura aucune perte de revenus, puisque déjà installée. Et peut être la possibilité alors de prendre un collaborateur à ta place donc toucher une rétrocession qui payera en partie ses frais de rachat de clientèle.
Tout ça me parait bien intéressant au regard d'une clause de NC.
Plus d'interrogation:
Pour la convivialité et l'échange quoi qu'en pensent certains!
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Gérald
Tu lui proposes un aménagement qui évoluerait d'un assistanat initial standard à une reprise exclusive à bon compte au terme de ton activité - d'abord elle trouve ça OK ....
Il ne te reste donc plus longtemps à exercer et,il va sans dire que, la cession d'une clientèle améliore sensiblement notre quotidien au moment de prendre sa retraite.
Imagine, alors, que cette assistante s'en aille, pas trop loin, juste avant la fin de ton activité. Qui voudra reprendre ta succession et à quel prix? La vente de clientèle est déjà si difficile.
Cela pose un réel problème.
J'ai déjà rencontré ce problème lors d'un arrêt d'une année, à la suite d'un accident. C'est un jeune qui m'avait remplacé. Pendant ce remplacement il s'est présenté une opportunité pour lui: acheter la clientèle d'un confère qui exerçait dans le même bourg que moi, à 400m environ.
Je ne lui ai pas imposé cette clause, pourtant écrite, car je me suis dit, qu'après tout, chacun de nous avait le droit à travailler, que je ne pouvais empêcher mon confrère de vendre sa clientèle et de partir sereinement à la retraite. J'ai simplement demandé à mon remplaçant qu'il se trouve lui même son remplaçant et qu'il maintienne son niveau d'activité au plus haut possible.
Le compromis était le bon.
Un nouveau remplaçant est arrivé, son carnet de rendez-vous était plein, et j'entretiens des très bonnes relations avec ce jeune, de dix ans de plus maintenant.
Il n'a pas fait de détournement de clientèle, ou alors si peut que je ne m'en suis pas aperçu, et nous nous envoyons des patients lorsque nous sommes débordés, c'est à dire très souvent..
Peut-être il y a-t-il , pour toi aussi, un compromis de ce genre à trouver ?
Cordialement.
Il ne te reste donc plus longtemps à exercer et,il va sans dire que, la cession d'une clientèle améliore sensiblement notre quotidien au moment de prendre sa retraite.
Imagine, alors, que cette assistante s'en aille, pas trop loin, juste avant la fin de ton activité. Qui voudra reprendre ta succession et à quel prix? La vente de clientèle est déjà si difficile.
Cela pose un réel problème.
J'ai déjà rencontré ce problème lors d'un arrêt d'une année, à la suite d'un accident. C'est un jeune qui m'avait remplacé. Pendant ce remplacement il s'est présenté une opportunité pour lui: acheter la clientèle d'un confère qui exerçait dans le même bourg que moi, à 400m environ.
Je ne lui ai pas imposé cette clause, pourtant écrite, car je me suis dit, qu'après tout, chacun de nous avait le droit à travailler, que je ne pouvais empêcher mon confrère de vendre sa clientèle et de partir sereinement à la retraite. J'ai simplement demandé à mon remplaçant qu'il se trouve lui même son remplaçant et qu'il maintienne son niveau d'activité au plus haut possible.
Le compromis était le bon.
Un nouveau remplaçant est arrivé, son carnet de rendez-vous était plein, et j'entretiens des très bonnes relations avec ce jeune, de dix ans de plus maintenant.
Il n'a pas fait de détournement de clientèle, ou alors si peut que je ne m'en suis pas aperçu, et nous nous envoyons des patients lorsque nous sommes débordés, c'est à dire très souvent..
Peut-être il y a-t-il , pour toi aussi, un compromis de ce genre à trouver ?
Cordialement.
