cotation:Un p' tit conseil soiuplé les zorthos
cotation:Un p' tit conseil soiuplé les zorthos
Je suis dans la plus grande des expectatives:
Je vois une jeune fille de 10 ans après un très grave accident de vélo avec coma de plusieurs semaines et un an de réadaptation fonctionnelle (dans un centre réservé aux adultes, mais bon...)
Bonne récupération motrice.
MAIS persistent des troubles d' attention, de concentration, de mémoire, du raisonnement mathématique, du langage écrit: vaste programme pour la prise en charge orthophonique à venir avant une entrée en 6° qu'il n'est pas question de remettre en cause, re-mais bon...
Question aux collègues: comment coter cette prise en charge tous azimuts ?
Lorsqu 'on fait du langage écrit dans les rééducations de troubles d'origine neurologique doit on coter en AMO 10.1 ou en AMO 15,2 ?
Bref je patauge: merci de vos aide et suggestions.
A bientôt !
Vaste questionnement...
Je vois une jeune fille de 10 ans après un très grave accident de vélo avec coma de plusieurs semaines et un an de réadaptation fonctionnelle (dans un centre réservé aux adultes, mais bon...)
Bonne récupération motrice.
MAIS persistent des troubles d' attention, de concentration, de mémoire, du raisonnement mathématique, du langage écrit: vaste programme pour la prise en charge orthophonique à venir avant une entrée en 6° qu'il n'est pas question de remettre en cause, re-mais bon...
Question aux collègues: comment coter cette prise en charge tous azimuts ?
Lorsqu 'on fait du langage écrit dans les rééducations de troubles d'origine neurologique doit on coter en AMO 10.1 ou en AMO 15,2 ?
Bref je patauge: merci de vos aide et suggestions.
A bientôt !
Vaste questionnement...
- Annie
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- Enregistré le : jeu. févr. 14, 2008 3:09 pm
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Bonjour, Ô,
La question à se poser est de savoir si les troubles que tu décris existaient avant l'accident, dans ce cas, la cotation serait, AMHA, en 10,2 (troubles logico-maths), ou s'ils sont consécutifs à son accident, dans ce cas, il faut coter en 15,2.
Etant donné qu'elle entre en 6ème à l'âge de 10 ans, on peut supposer qu'elle n'avait aucun trouble auparavant et que tout provient donc de son coma. Que ce soit de l'oral ou de l'écrit n'a pas d'importance puisque tout est regroupé en 15,2.
La question à se poser est de savoir si les troubles que tu décris existaient avant l'accident, dans ce cas, la cotation serait, AMHA, en 10,2 (troubles logico-maths), ou s'ils sont consécutifs à son accident, dans ce cas, il faut coter en 15,2.
Etant donné qu'elle entre en 6ème à l'âge de 10 ans, on peut supposer qu'elle n'avait aucun trouble auparavant et que tout provient donc de son coma. Que ce soit de l'oral ou de l'écrit n'a pas d'importance puisque tout est regroupé en 15,2.
- Alain Alvo
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- Enregistré le : mer. sept. 18, 2002 8:03 am
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Merci de vos réponses rapides et qui me conviennent totalement.
Un médecin consulté lors de périgrinations z orthophoniques récentes *(un jour j'écrirai un livre à ce sujet!) avait eu l' aplomb (restons courtoise!) de me répondre que cela dépendait de ce que je ferais avec cette enfant ...
OR les troubles d' origine neurologique relèvent d'un traitement spécifique en orthophonie, non ?
Ou alors depuis des décennies je suis à l' Ouest...bien que je réside effectivement à l'ouest...
*
Al'
Un médecin consulté lors de périgrinations z orthophoniques récentes *(un jour j'écrirai un livre à ce sujet!) avait eu l' aplomb (restons courtoise!) de me répondre que cela dépendait de ce que je ferais avec cette enfant ...
OR les troubles d' origine neurologique relèvent d'un traitement spécifique en orthophonie, non ?
Ou alors depuis des décennies je suis à l' Ouest...bien que je réside effectivement à l'ouest...
*

- Annie
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- Enregistré le : jeu. févr. 14, 2008 3:09 pm
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Bonjour Ô,(désolée pour ma réponse un peu sèche hier, j'étais entre deux RV de bilans et ai dû faire court pour pouvoir te répondre au plus vite!)
La question que tu soulèves est en effet au centre de toute la NGAP, à savoir que la cotation demandée dépend de la pathologie et non de la méthode employée pour la rééduquer.
Et il est parfois difficile de faire entrer dans les cases de la nomenclature les différents troubles constatés lors du bilan, qui ne s'assemblent pas forcément en une pathologie spécifique mais plutôt comme une mosaïque d'éléments à récupérer.
Je pense que c'est pour cela que l'intitulé de la cotation en 15,2 est vague, il permet d'y "fourrer" les différents symptômes dès lors que la cause est bien d'origine neurologique, et dans le cas que tu cites, comme il y a eu T.C, il n'y a aucun doute.
Quant à ce médecin, il devait justement mal interpréter la nomenclature et confondre trouble et rééducation pour la cotation.
Je me souviens avoir emmené une fois une jeune patiente aphasique dans un supermarché pour la remettre en situation réelle, ce qui l'avait bien stimulée et lui avait donné la force de continuer, et je me demande quelle en aurait été la cotation si j'avais écouté ton médecin! Et en plus, ayant "exercé" dans le supermarché, j'aurais peut-être dû en payer la taxe professionnelle!
Bon courage pour cette PEC passionnante, un beau défi pour toi et pour cette jeune fille!

La question que tu soulèves est en effet au centre de toute la NGAP, à savoir que la cotation demandée dépend de la pathologie et non de la méthode employée pour la rééduquer.
Et il est parfois difficile de faire entrer dans les cases de la nomenclature les différents troubles constatés lors du bilan, qui ne s'assemblent pas forcément en une pathologie spécifique mais plutôt comme une mosaïque d'éléments à récupérer.
Je pense que c'est pour cela que l'intitulé de la cotation en 15,2 est vague, il permet d'y "fourrer" les différents symptômes dès lors que la cause est bien d'origine neurologique, et dans le cas que tu cites, comme il y a eu T.C, il n'y a aucun doute.
Quant à ce médecin, il devait justement mal interpréter la nomenclature et confondre trouble et rééducation pour la cotation.
Je me souviens avoir emmené une fois une jeune patiente aphasique dans un supermarché pour la remettre en situation réelle, ce qui l'avait bien stimulée et lui avait donné la force de continuer, et je me demande quelle en aurait été la cotation si j'avais écouté ton médecin! Et en plus, ayant "exercé" dans le supermarché, j'aurais peut-être dû en payer la taxe professionnelle!

Bon courage pour cette PEC passionnante, un beau défi pour toi et pour cette jeune fille!
Bonjour,
Il n'est pas dit qu'elle "entre en 6ème à 10ans", mais qu'elle a 10 ans (peut-être 10 1/2?) et qu'elle va entrer en 6ème, elle est donc dans une tranche d'âges en rapport avec son niveau scolaire...
ce qui n'exclut pas un trouble du langage oral/écrit, avant son TC. Nombre de dyslexiques sont en CM2 à 10ans1/2.
Néanmoins, même si des troubles existaient avant le coma, la rééducation se justifie aujourd'hui par les séquelles de son TC et coma.
Pour ce qui est de la cotation, je suppose que la jeune fille a subi quelques explorations dans son centre de réadaptation fonctionnelle, ce qui devrait permettre de justifier une prise en charge en AMO15.2 (avec, bien sûr, un bilan complet qui tienne la route et qui puisse, le cas échéant, servir de référence en cas de refus de la sécu).
Bien à vous.
Un ortho qui passait par là.
Déduction un peu hâtive, non?Annie a écrit :Etant donné qu'elle entre en 6ème à l'âge de 10 ans, on
peut supposer qu'elle n'avait aucun trouble auparavant et que tout provient donc de son coma.
Il n'est pas dit qu'elle "entre en 6ème à 10ans", mais qu'elle a 10 ans (peut-être 10 1/2?) et qu'elle va entrer en 6ème, elle est donc dans une tranche d'âges en rapport avec son niveau scolaire...
ce qui n'exclut pas un trouble du langage oral/écrit, avant son TC. Nombre de dyslexiques sont en CM2 à 10ans1/2.
Néanmoins, même si des troubles existaient avant le coma, la rééducation se justifie aujourd'hui par les séquelles de son TC et coma.
Pour ce qui est de la cotation, je suppose que la jeune fille a subi quelques explorations dans son centre de réadaptation fonctionnelle, ce qui devrait permettre de justifier une prise en charge en AMO15.2 (avec, bien sûr, un bilan complet qui tienne la route et qui puisse, le cas échéant, servir de référence en cas de refus de la sécu).
Bien à vous.
Un ortho qui passait par là.
Merci les collègues de vos avis avisés,
J' écoute, je réfléchis, après mon bilan "qui tient la route" (j'espère!)
Cependant avec An' et Al' il me semble que la NGAP fait allusion aux causes du trouble rééduqué et non aux techniques mises en oeuvre par le praticien.
Il me semble avoir des arguments convaincants pour 'défendre' ma position.
Ah ! Ces interprétations de notre NGAP!...
J' écoute, je réfléchis, après mon bilan "qui tient la route" (j'espère!)
Cependant avec An' et Al' il me semble que la NGAP fait allusion aux causes du trouble rééduqué et non aux techniques mises en oeuvre par le praticien.
Il me semble avoir des arguments convaincants pour 'défendre' ma position.
Ah ! Ces interprétations de notre NGAP!...
- Annie
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Anonymous a écrit :Bonjour,Déduction un peu hâtive, non?Annie a écrit :Etant donné qu'elle entre en 6ème à l'âge de 10 ans, on
peut supposer qu'elle n'avait aucun trouble auparavant et que tout provient donc de son coma.
Il n'est pas dit qu'elle "entre en 6ème à 10ans", mais qu'elle a 10 ans (peut-être 10 1/2?) et qu'elle va entrer en 6ème, elle est donc dans une tranche d'âges en rapport avec son niveau scolaire...
ce qui n'exclut pas un trouble du langage oral/écrit, avant son TC. Nombre de dyslexiques sont en CM2 à 10ans1/2.
Bien à vous.
Un ortho qui passait par là.
J'ai bien écrit: on peut supposer
D'une enfant de 10 ans, même de 10ans1/2 si vous préférez, qui va passer en 6ème, après un accident qui lui a valu un an dans un centre spécialisé, alors qu'elle pourrait être maintenue en primaire jusqu'à ce qu'elle ait 12 ans pour consolider ses apprentissages et qui présente de tels troubles, on peut légitimement penser que c'était une bonne élève sans problème cognitif majeur auparavant, dont l'école pense que le niveau scolaire était satisfaisant, et que par conséquent les troubles observés sont bien consécutifs à son TC.
Je n'appelle pas cela une déduction hâtive, juste un raisonnement logique!
Certes, des dyslexiques sont en CM2 à 10ans1/2, mais laisser passer en 6ème des DL+troubles cognitifs tels que décrits plus haut, ce serait les envoyer au massacre et généralement, les équipes éducatives sont là pour éviter ces erreurs.
C'est pourquoi je suis tout à fait d'accord avec Ô lorsqu'elle émet un doute sur la capacité actuelle de cette enfant à passer en 6ème. N'y a-t-il pas moyen d'expliquer cela aux parents et de laisser du temps à cette enfant pour récupérer?
Pour la suite, je vous rejoins, ortho de passage, le bilan montrera dans l'anamnèse l'étiologie des troubles et permettra de trancher.

- Annie
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Pour revenir à notre sujet avec un sourire, un souvenir d'il y a fort fort longtemps me remonte à l'esprit:
J'avais commencé tardivement la rééducation d'un monsieur âgé présentant une aphasie+alexie-agraphie(les détails importent peu, je reprends le diagnostic "sec" du neurologue et ce que montrait mon bilan).
Le kiné qui m'avait précédée dans la prise en charge me remet un cahier où il avait essayé de commencer à le faire écrire, copie de lettres, de dessins, etc...
Et donc me voilà, pleine d'enthousiasme, et les cours de Madame Ducarne tout frais dans la tête, à le faire mimer, jouer aux cartes, aux puzzles, puis signer, copier, compléter des phrases, associer par écrit des noms de "vedettes", enfin, tout ce qu'on m'avait appris à faire dans ce cas. Je préparais mes séances, y consacrais beaucoup de temps, c'était l'un de mes premiers aphasiques, alors, pensez!
L'évolution était cependant plus que moyenne mais le monsieur était âgé, la PEC tardive, cependant nous avions rempli un plein cahier, le monsieur s'y prêtait volontiers, était très content de ce qu'il faisait, en redemandait.
Au bout de trente séances, re-RV chez le neurologue et je dis à son épouse que je ne voyais jamais (elle profitait de ma présence pour aller faire ses courses), mais qui m'avait attendue cette fois:" Vous montrerez le cahier au neurologue pour qu'il se rende compte de ce que votre mari peut faire maintenant".
Elle parcourt alors le cahier et me regarde étonnée: "Vous l'avez fait écrire, mais... mon mari ne sait ni lire, ni écrire, c'est toujours moi qui tenais ses comptes, il ne sait même pas signer son nom!"
Alors, la cotation, hein??
Heureusement, il restait l'aphasie, sinon, j'aurais dû rembourser la Sécu puisqu'il n'y avait pas (du moins à l'époque et à ma connaissance) de cause neurologique, il était illettré"!
J'avais commencé tardivement la rééducation d'un monsieur âgé présentant une aphasie+alexie-agraphie(les détails importent peu, je reprends le diagnostic "sec" du neurologue et ce que montrait mon bilan).
Le kiné qui m'avait précédée dans la prise en charge me remet un cahier où il avait essayé de commencer à le faire écrire, copie de lettres, de dessins, etc...
Et donc me voilà, pleine d'enthousiasme, et les cours de Madame Ducarne tout frais dans la tête, à le faire mimer, jouer aux cartes, aux puzzles, puis signer, copier, compléter des phrases, associer par écrit des noms de "vedettes", enfin, tout ce qu'on m'avait appris à faire dans ce cas. Je préparais mes séances, y consacrais beaucoup de temps, c'était l'un de mes premiers aphasiques, alors, pensez!
L'évolution était cependant plus que moyenne mais le monsieur était âgé, la PEC tardive, cependant nous avions rempli un plein cahier, le monsieur s'y prêtait volontiers, était très content de ce qu'il faisait, en redemandait.
Au bout de trente séances, re-RV chez le neurologue et je dis à son épouse que je ne voyais jamais (elle profitait de ma présence pour aller faire ses courses), mais qui m'avait attendue cette fois:" Vous montrerez le cahier au neurologue pour qu'il se rende compte de ce que votre mari peut faire maintenant".
Elle parcourt alors le cahier et me regarde étonnée: "Vous l'avez fait écrire, mais... mon mari ne sait ni lire, ni écrire, c'est toujours moi qui tenais ses comptes, il ne sait même pas signer son nom!"
Alors, la cotation, hein??
Heureusement, il restait l'aphasie, sinon, j'aurais dû rembourser la Sécu puisqu'il n'y avait pas (du moins à l'époque et à ma connaissance) de cause neurologique, il était illettré"!

- Vincent HOVASSE
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- Messages : 5248
- Enregistré le : dim. mai 27, 2007 5:18 pm
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Une p'tite histoire drôle Annie?
Trois Irlandais sont en traitement chez une orthophoniste parce qu'ils bégaient. Mais ces trois zigotos ne font aucun progrès. L'orthophoniste, qui se trouve être très jolie et plutôt bien roulée, trouve alors une idée pour les motiver: elle leur propose d'instaurer un système de récompense : elle fera l'amour avec ceux qui sauront dire le nom de la ville où ils sont nés à condition qu'ils ne bégaient pas en le prononçant. Le premier Irlandais se lève et dit :
- B-B-B-B-Belf-f-f-f-ast puis il se rassied aussitôt, son visage marqué par la déception.
Le deuxième Irlandais se lève et prononce :
- D-D-D-Dublin et lui aussi se rassied rongé par le désappointement.
Le troisième se lève alors et dit rapidement :
- London
Stupéfaite, l'orthophoniste le prend par la main et l'emmène dans la pièce d'à côté où ils se font une partie de ça-va-ça-vient mémorable. Une demi-heure plus tard, ils sont de retour, l'Irlandais arborant un sourire béat...La thérapeute est sur le point de reprendre le cours. Elle demande si quelqu'un a quelque chose à dire, et c'est là que le troisième Irlandais se lève et dit :
d-d-d-d-erry

Trois Irlandais sont en traitement chez une orthophoniste parce qu'ils bégaient. Mais ces trois zigotos ne font aucun progrès. L'orthophoniste, qui se trouve être très jolie et plutôt bien roulée, trouve alors une idée pour les motiver: elle leur propose d'instaurer un système de récompense : elle fera l'amour avec ceux qui sauront dire le nom de la ville où ils sont nés à condition qu'ils ne bégaient pas en le prononçant. Le premier Irlandais se lève et dit :
- B-B-B-B-Belf-f-f-f-ast puis il se rassied aussitôt, son visage marqué par la déception.
Le deuxième Irlandais se lève et prononce :
- D-D-D-Dublin et lui aussi se rassied rongé par le désappointement.
Le troisième se lève alors et dit rapidement :
- London
Stupéfaite, l'orthophoniste le prend par la main et l'emmène dans la pièce d'à côté où ils se font une partie de ça-va-ça-vient mémorable. Une demi-heure plus tard, ils sont de retour, l'Irlandais arborant un sourire béat...La thérapeute est sur le point de reprendre le cours. Elle demande si quelqu'un a quelque chose à dire, et c'est là que le troisième Irlandais se lève et dit :
d-d-d-d-erry
Plus d'interrogation:
Pour la convivialité et l'échange quoi qu'en pensent certains!
Pour la convivialité et l'échange quoi qu'en pensent certains!
- Alain Alvo
-
- Messages : 3068
- Enregistré le : mer. sept. 18, 2002 8:03 am
- Profimage : O
Exactement, c'est le trouble diagnostiqué qui détermine le cotation, quels que soient les techniques et les moyens utilisés en rééducation.Ô a écrit :Merci les collègues de vos avis avisés,
J' écoute, je réfléchis, après mon bilan "qui tient la route" (j'espère!)
Cependant avec An' et Al' il me semble que la NGAP fait allusion aux causes du trouble rééduqué et non aux techniques mises en oeuvre par le praticien.
Il me semble avoir des arguments convaincants pour 'défendre' ma position.
Ah ! Ces interprétations de notre NGAP!...
@ "l'orthophoniste qui passait par là" : Certains termes et tournures de phrases ne trompent pas ... Pourquoi rester "invité" (en fait : invitée) toi qui passes souvent par là ... ?
Moralité :


???@ "l'orthophoniste qui passait par là" : Certains termes et tournures de phrases ne trompent pas ... Pourquoi rester "invité" (en fait : invitée) toi qui passes souvent par là ... ?
Tu as raison pour la partie "toi qui passes souvent par là". Il est vrai que je viens souvent ici (certaines choses me font sourire) et ailleurs aussi.
En revanche je suis bien UN ortho, désolé de te décevoir!
Sans rancune aucune!
UN ortho, qui passe et repasse et puis s'en va.
- Alain Alvo
-
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- Enregistré le : mer. sept. 18, 2002 8:03 am
- Profimage : O
Bonsoir "ortho repasseur"Anonymous a écrit :???@ "l'orthophoniste qui passait par là" : Certains termes et tournures de phrases ne trompent pas ... Pourquoi rester "invité" (en fait : invitée) toi qui passes souvent par là ... ?
Tu as raison pour la partie "toi qui passes souvent par là". Il est vrai que je viens souvent ici (certaines choses me font sourire) et ailleurs aussi.
En revanche je suis bien UN ortho, désolé de te décevoir!
Sans rancune aucune!
UN ortho, qui passe et repasse et puis s'en va.

Moralité : "Rancune" ? Que signifie ce mot ?

