precription kine non quantitative?

[nonos]

bonjour,
j'ai un doute...je ne suis pas certain de bien faire les choses.
Depuis un certain temps, les medecins peuvent faire des prescriptions kiné non quantitatives, et nous pouvons nous kiné quantifier les soins dont on pense avoir besoin.
concretement comment ca se passe?
-faut il faire une DEP en mentionnant sur celle ci le nombre , et en joignant la prescription NON quantitative (sans ecrire le nombre sur la prescription).
-faut il rajouter sur la prescription le nombre de seances voulu?
faut il juste faire la DEP avec le nombre de seances, sans rajouter le nombre sur la prescription, sans rien envoyer a la secu du moment que c'est en dessous de 30 seances?

merci de votre aide

[Invité]

Tu fais une DEP à laquelle tu joins l'ordonnance et surtout ton bdk qui justifie le nombre de séances demandées.

[C'est PAM92]

Es tu sûr qu'il faille envoyer le BDK et non le tenir à disposition?

[Vincent HOVASSE]

La fiche de synthèse du BDK est tenue à disposition de la caisse.
Quant à la DEP, nous sommes censés ne plus en faire pour moins de 30 séances sur les 12 mois passés où 30 sur une même série.

Cela permet parfois d'ajuster au fur et à mesure du besoin (on fait ça surtout pour les nourrissons en respi)

[nonos]

donc au final....
on ne rajoute pas le nombre de seances sur la prescription? (en fait spontanement je rajoutais le nombre sur la prescription, puis je me suis dis qu on avait pt etre pas le droit de "modifier" celle ci...)
juste sur la DEP et le bdk, et on tient ces derniers a disposition a qui veut...

[sophie]

on n'a pas le droit "d'ecrire" sur l'ordo; il faut juste preciser le nombre sur la DEP (si plus de 30 seances dans l'année)

[TITJO]

bonjour à tous,

Nous revoici dans des commentaires de texte.

Ni les prescripteurs ni les caisses n'appliquent les règles conventionnelles ---> les prescriptions non quantitatives relèvent de l'exception et certaines caisses bloquent toujours les réglements ou remboursements si elles n'ont pas reçu les DEP antérieurement aux soins... (c'est comme la revalorisation de la lettre-clé, rien ne change vraiment dans les faits).

Si les textes étaient limpides et appliqués par tous les intéressés, nous n'en serions pas à échanger des opinions ou des recettes personnelles en nous demandant si on marche ou non dans les clous.