Bonjour à Marco et à toutes et tous,
remets-tu toujours aussi à plus tard la lecture des magazines syndicaux?
depuis une quarantaine d'années que perso j'y ai accès, je peux y voir annoncées les menaces de la solution finale. Et c'est vrai que depuis cette époque, le contexte professionnel a subi pas mal d'agressions. Et nous sommes toujours là, car il me semble qu'une grande qualité du paramédlib, c'est son ardeur à la besogne avec cette faculté à plier l'échine face à l'adversité, progresser courageusement dans le brouillard, à croire en lui et à ce qu'il fait.
Mais là je ressors du kinépresse avec un bourdon majuscule, trop usé pour comprendre le sens des changements annoncés en rafale, et plus envie...
voilà le grand paradoxe ---> aimer et vivre son métier ...mais plus envie de cette profession où les intérêts de l'usager s'étiolent au gré des conjonctures
