Impossible d'être euphorique alors que notre planète vient d'encaisser un cataclysme d'une rare violence dans des régions qui, jusqu'alors, semblaient paradisiaques.
Ceci devrait nous apprendre à relativiser nos petits problèmes qui sont moins que rien en regard de la douleur des familles des victimes et des souffrances physiques et morales des centaines de milliers de gens qui essayent de survivre dans les zones sinistrées.
Il me semble important de manifester notre soutien et notre admiration à tous les membres des équipes de secours et encore plus particulièrement à nos collègues soignants qui sont partis se dévouer au coeur de l'horreur.
Alors, juste un voeu pour 2005: que cette année ne connaisse surtout pas de nouvelle catastrophe.