Daniel MOINE a écrit :l'Ordre ne représente pas les professionnels mais la profession, ce qui est significativement différent.

Bonjour Daniel,
Depuis tes interventions concernant l'Ordre, c'est la 1ère fois que tu donnes cette définition fondamentale AMHA.
Par ailleurs, tu dis également quel'Ordre travaille dans l'urgence et que son conseil n'a pas le temps de s'occuper de sa communication (le coté pédagogique qui fait cruellement défaut pour sa juste perception et donc son acceptation par tous les praticiens).
Sans présager des tâches premières qui doivent être accomplies pour asseoir l'Ordre, j'ai du mal à comprendre ce choix différé pour les raisons suivantes :
1- Si l'Ordre représente la proffession; permet mois de m'étonner quand j'immagine que cette dernière ne soit pas encore définie depuis son existance.

Quand je dis cela, je parle de la définition technique et non juridique.
Afin de lever toute ambigüité sur ce que je dis je précise que je perçois l'Ordre comme le "Service Qualité". Ce dernier se place en bout de chaîne de production d'un produit et vérifie bien que ce dernier est conforme au cahier des charges. J'ajoute qu'il est alors implicite, pour ce Service Qualité, qu'il avalise par la même :
a)- La conformité des moyens de fabrication pour produire le produit.
b)- Le fabriquant (garant de la production), qui ne serait être tenu pour responsable en cas d'utilisation du produit à des fins différentes de celle pour lequel il a été produit.
c)- Par contre, s'agissant de la Santé Publique, l'Ordre - contrairement au Service Qualité - doit également se porter garant de la
qualité de mise en oeuvre du produit

Il vient que j'adhère pleinement au fait que l'Ordre recherche (et fasse appliquer) un code de probité (d'où la demande de casier judiciaire).
2- En partant du postulat qu'une proffession (un métier donc), implique des proffessionnels qui la pratiquent; je ne comprends pas que l'Ordre ne s'attache pas - en priorité - à communiquer vers ces derniers afin de mieux être accepté et par la même recevoir une large adhésion à ses fins.
3- Quand l'Ordre représente la proffession, j'ai également du mal à comprendre pourquoi cette institution s'intérresse aux moyens mis en oeuvre par les proffessionnels pour l'exercer.

En quoi cela regarde l'Ordre de savoir que le proffessionnel à (dans son actif proffessionnel),un leasing pour un véhicule pour ses domiciles par exemple

Je crois que la crainte des
liberaux, est de se voir - à terme - être imposé par l'Ordre, une liste de marques et de produits
reglementaires pour exercer la proffession.
Je suis certain, cher Daniel, que tes réponses éclairées sur les points que je me permet d'évoquer ici, seront - implicitement - un grand pas en matière de communication sur l'Ordre, comme le fait qu'elles appaiseront (ou dissiperont), les craintes et les malentendus que je perçois dans les posts de certains contributeurs.
[quote="Daniel MOINE"]l'Ordre ne représente pas les professionnels mais la profession, ce qui est significativement différent.[/quote]
:) Bonjour Daniel,
Depuis tes interventions concernant l'Ordre, c'est la 1ère fois que tu donnes cette définition fondamentale AMHA.
Par ailleurs, tu dis également quel'Ordre travaille dans l'urgence et que son conseil n'a pas le temps de s'occuper de sa communication (le coté pédagogique qui fait cruellement défaut pour sa juste perception et donc son acceptation par tous les praticiens).
Sans présager des tâches premières qui doivent être accomplies pour asseoir l'Ordre, j'ai du mal à comprendre ce choix différé pour les raisons suivantes :
1- Si l'Ordre représente la proffession; permet mois de m'étonner quand j'immagine que cette dernière ne soit pas encore définie depuis son existance.
:arrow: Quand je dis cela, je parle de la définition technique et non juridique.
Afin de lever toute ambigüité sur ce que je dis je précise que je perçois l'Ordre comme le "Service Qualité". Ce dernier se place en bout de chaîne de production d'un produit et vérifie bien que ce dernier est conforme au cahier des charges. J'ajoute qu'il est alors implicite, pour ce Service Qualité, qu'il avalise par la même :
a)- La conformité des moyens de fabrication pour produire le produit.
b)- Le fabriquant (garant de la production), qui ne serait être tenu pour responsable en cas d'utilisation du produit à des fins différentes de celle pour lequel il a été produit.
c)- Par contre, s'agissant de la Santé Publique, l'Ordre - contrairement au Service Qualité - doit également se porter garant de la [b]qualité de mise en oeuvre du produit[/b]
:arrow: Il vient que j'adhère pleinement au fait que l'Ordre recherche (et fasse appliquer) un code de probité (d'où la demande de casier judiciaire).
2- En partant du postulat qu'une proffession (un métier donc), implique des proffessionnels qui la pratiquent; je ne comprends pas que l'Ordre ne s'attache pas - en priorité - à communiquer vers ces derniers afin de mieux être accepté et par la même recevoir une large adhésion à ses fins.
3- Quand l'Ordre représente la proffession, j'ai également du mal à comprendre pourquoi cette institution s'intérresse aux moyens mis en oeuvre par les proffessionnels pour l'exercer.
:arrow: En quoi cela regarde l'Ordre de savoir que le proffessionnel à (dans son actif proffessionnel),un leasing pour un véhicule pour ses domiciles par exemple :?:
:arrow: Je crois que la crainte des [b]liberaux[/b], est de se voir - à terme - être imposé par l'Ordre, une liste de marques et de produits [b]reglementaires[/b] pour exercer la proffession. :shock:
Je suis certain, cher Daniel, que tes réponses éclairées sur les points que je me permet d'évoquer ici, seront - implicitement - un grand pas en matière de communication sur l'Ordre, comme le fait qu'elles appaiseront (ou dissiperont), les craintes et les malentendus que je perçois dans les posts de certains contributeurs.