par Stéphane Bernabé » jeu. déc. 20, 2007 2:50 pm

Chaque année, au Mans (siège du GIE SESAM-Vitale) se tiennent les "journées des correspondants SV" des différentes CPAM. A cette occasion ils échangent leurs visions de terrain sur la mise en place de SV, sur les contraintes matérielles qui leur sont imposées, sur les difficultés relationnelles, sur les problèmes financiers, les problèmes de droit, etc.
Il est vite apparu que les dirigeants qui ont mis en place SV on modifié le travail des professionnels de santé de façon substantielle (
informatique, télétrans, actualisation des logiciels régulières, etc). Idem chez les éditeurs (
on aimerait tous reprendre un peu notre cœur de métier : faire un logiciel correspondant aux demandes de nos clients et pas uniquement aux exigences règlementaires). Mais ce qui est peu connu c'est que c'est aussi le chantier dans les caisses !
Ainsi, la Trésorerie paie toujours les actes prescrits sous sa propre responsabilité. En circuit papier c'est simple, l'ordo est classée au même endroit que la DEP/DSI et feuille de soins. Le paiement peut donc avoir lieu. En SV il n'est pas possible, pour la trésorerie, de savoir si les actes ont réellement été prescrits. Hors, pour se dégager de sa responsabilité propre, elle a besoin des ordo. Donc elle essaie de faire au mieux par rapport aux contraintes de SV qui lui sont imposées (
plus de feuilles papier utilisable).
Et pour ça, elle demande aux professionnels de lui envoyer (
ou de tenir à sa disposition) les ordo classées et identifiées selon les n° de lots de télétrans. Et chaque année, au Mans, les délégués SV se tiennent informés des "recettes" qui fonctionnent le mieux en matière de paiement des actes, de suivi, et de gestion de responsabilité...
Vous en subissez les conséquences (
en matière d'archivage, d'impression, etc.). Et le personnel des caisses aussi (
ils ne sont pas tous "responsables" des décisions prises à Paris ou au Mans...).

:lol: Chaque année, au Mans (siège du GIE SESAM-Vitale) se tiennent les "journées des correspondants SV" des différentes CPAM. A cette occasion ils échangent leurs visions de terrain sur la mise en place de SV, sur les contraintes matérielles qui leur sont imposées, sur les difficultés relationnelles, sur les problèmes financiers, les problèmes de droit, etc.
Il est vite apparu que les dirigeants qui ont mis en place SV on modifié le travail des professionnels de santé de façon substantielle ([i]informatique, télétrans, actualisation des logiciels régulières, etc[/i]). Idem chez les éditeurs ([i]on aimerait tous reprendre un peu notre cœur de métier : faire un logiciel correspondant aux demandes de nos clients et pas uniquement aux exigences règlementaires[/i]). Mais ce qui est peu connu c'est que c'est aussi le chantier dans les caisses !
Ainsi, la Trésorerie paie toujours les actes prescrits sous sa propre responsabilité. En circuit papier c'est simple, l'ordo est classée au même endroit que la DEP/DSI et feuille de soins. Le paiement peut donc avoir lieu. En SV il n'est pas possible, pour la trésorerie, de savoir si les actes ont réellement été prescrits. Hors, pour se dégager de sa responsabilité propre, elle a besoin des ordo. Donc elle essaie de faire au mieux par rapport aux contraintes de SV qui lui sont imposées ([i]plus de feuilles papier utilisable[/i]).
Et pour ça, elle demande aux professionnels de lui envoyer ([i]ou de tenir à sa disposition[/i]) les ordo classées et identifiées selon les n° de lots de télétrans. Et chaque année, au Mans, les délégués SV se tiennent informés des "recettes" qui fonctionnent le mieux en matière de paiement des actes, de suivi, et de gestion de responsabilité...
Vous en subissez les conséquences ([i]en matière d'archivage, d'impression, etc.[/i]). Et le personnel des caisses aussi ([i]ils ne sont pas tous "responsables" des décisions prises à Paris ou au Mans...[/i]). :?