par altiligérien » sam. oct. 02, 2010 12:20 pm
Comme ça me fait plaisir de lire les messages de Paul, Théné, Marco et André. J'avais, en son temps, alerté nos têtes soit disant pensantes et décisionnaires du danger présenté par la suppression de la DEP, du danger présenté par la liberté du quantitatif etc..., tout cela demandé par certains, frustrés de devoir demander "l'autorisation" de soigner car non prescripteurs. On voit aujourd'hui ce que cela a donné (retour de la DEP déguisée en DAP, limitation du quantitatif pour certaines indications et tout ce qui va sûrement nous arriver dans un proche avenir).
Moi, j'en n'ai rien à cirer du nombre de séances si celui-ci est mentionné. Je fais mon boulot,si le patient est guéri avant, j'arrête, si il faut une prolongation, je demande au médecin. Si il y a besoin, je fais ma DEP pardon, ma DAP, et je n'en fait surtout pas une maladie.
Par contre, je suis plus préoccupé par l'avenir de nos jeunes confrères et consoeurs. Moi,
personnellement, à quelques mois de la retraite, mon avenir professionnel ne me concerne plus.
Ma réaction reflète-t-elle l'éternel conflit des générations ?....
Comme ça me fait plaisir de lire les messages de Paul, Théné, Marco et André. J'avais, en son temps, alerté nos têtes soit disant pensantes et décisionnaires du danger présenté par la suppression de la DEP, du danger présenté par la liberté du quantitatif etc..., tout cela demandé par certains, frustrés de devoir demander "l'autorisation" de soigner car non prescripteurs. On voit aujourd'hui ce que cela a donné (retour de la DEP déguisée en DAP, limitation du quantitatif pour certaines indications et tout ce qui va sûrement nous arriver dans un proche avenir).
Moi, j'en n'ai rien à cirer du nombre de séances si celui-ci est mentionné. Je fais mon boulot,si le patient est guéri avant, j'arrête, si il faut une prolongation, je demande au médecin. Si il y a besoin, je fais ma DEP pardon, ma DAP, et je n'en fait surtout pas une maladie.
Par contre, je suis plus préoccupé par l'avenir de nos jeunes confrères et consoeurs. Moi,
personnellement, à quelques mois de la retraite, mon avenir professionnel ne me concerne plus.
Ma réaction reflète-t-elle l'éternel conflit des générations ?....