dan35 a écrit :
j'essaierai un jour où je suis d'humeur dispose. mais bon, grâce à bloctel

, je ne connaitrais plus ce genre de désagréements

moi j'ai le temps et parfois l'humeur dispose - je me dis aussi que les esclaves qui appellent ont tout de même droit au respect - leur stratégie de base et de clouer le bec jusqu'au moment où ils posent une question pour vous confronter à leur grille de compatibilité (âge? tranche d'impôts? propriétaire? quel chauffage? etc...) - c'est le seul moment où l'on peut enfin parler - et plutôt que de répondre aux questions, il est utile de recadrer l'entretien:
- m'avez-vous demandé si vous ne me dérangiez pas?
- appelez-vous depuis un N°que je pourrais rappeler?
- le passage d'un "conseiller" avec lequel vous souhaitez que je prenne R.V. lui sera facturé 60€/h - me réglera-t-il par chèque ou CB?
ou encore:
- ne quittez pas je vais demander à Monsieur s'il est là - (un peu plus tard) > "désolé mais Monsieur vous informe qu'il n'est pas là".
ou encore:
- ah salut Armand! Sacré petit farceur, tu te fais passer pour un de ces harceleurs téléphoniques! Comment vas-tu mon Armand? (ou Colette si c'est une vois féminine qui appelle).
ou encore:
- passez-moi le RH qui écoute notre conversation, j'ai à lui parler! (on ne vous le passera jamais)
ou encore:
- vous appelez d'où? avec votre accent exotique je ne comprends rien à ce que vous dites - entraînez-vous déjà à prononcer mon nom correctement, demandez conseil au RH qui nous écoute par derrière.
ou encore:
- cessez de me draguer - ma femme écoute!
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je les ai toutes jouées - et d'autres selon le temps et l'humeur - mais je plains sincèrement ces gens qui se font jeter toute la journée - un soir, un jeune m'appelais pour me refiler chépakoi - j'étais dispo et lui ai demandé... comment il allait - il m'a confié son cafard, s'est mis à sangloter - on a passé un peu de temps - il m'a dit que ce taf, c'est l'enfer.