archives

[ManuPatout]

C'était il y a une douzaine d'année ... je me souviens de notes poivrées très agréables, effectivement jamais retrouvées depuis, c'était de la réserve personnelle du patron . Sans doute un vin que le vigneron savait laisser se faire, mieux que les chimistes légalisés d'aujourd'hui .

[Odile N.]

Ne m’amenez pas sur les chemins de la gastronomie, vous ne pourriez qu’être déçus.
Mais, contrairement à ce que l’on me laisse attendre lorsque j’évoque ce manque d’intérêt pour la table, nombreux sont mes plaisirs : laissez moi seulement vous guider le long des chemins de Forez, apprécier la rudesse de monts du Meygal, vous oublier dans un coucher de soleil au Meyzenc, respirer l’air vif des monts du Cantal, vous faire fouetter le visage par la burle de la Margeride, vous fondre dans les landes des plateaux lozèriens.
L’empreinte de mes pieds dans la mousse, le crissement du sable sous les sabots des chevaux, la redécouverte d’une clairière maintes et maintes fois traversée, l’odeur entêtante des genêts …………. et le granit, changeant, varié, brut, taillé, mais toujours vous transmettant sa force tout en vous envoûtant avec ses légendes.
Quand on aime (la hte loire), notre amour déborde sur …. (tout le massif central)
Messieurs d’Epsilog, par chez nous, on a ce tout ce qu’il faut pour un séminaire, non pas sous les cocotiers, mais au vert. C’est quand vous voulez.
Quelqu’un avait parlé de hors sujet ? Je compte sur votre indulgence.

[ManuPatout]

Ton évocation n'est qu'une fine dentelle de plaisir, nul besoin de mettre des lentilles, ta prose sent bon le papier du moulin Richard de Bas et me rappelle les matins de septembre en Livradois-Forez ...
Merci Odile .